Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 674
Membres
1 013 330

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Les commentaires de Miney

Commentaire ajouté par Miney 2024-03-10T08:22:20+01:00
Or

Je regrette de ne pas avoir pu me le procurer en format papier. L’objet-livre a l’air superbe et j’aime beaucoup l’idée des récits tête-bêche qu’on peut lire dans l’ordre qu’on veut et qui finissent par se rejoindre au milieu. L’ebook commence par la partie « Lui » donc c’est naturellement par celle-là que j’ai abordé le roman.

Avec « Lui », on part d’un quotidien terre à terre, de la civilisation, pour glisser petit à petit vers le fantastique et la sauvagerie. Christof est un homme exemplaire. Fraîchement retraité après des années à se consacrer à son entreprise florissante et patron modèle pour ses employés, nounou improvisé et ami bienveillant, sa vie est d’une lisse perfection. Mais est-ce vraiment un homme ? Et que se cache derrière cette perfection ?

Avec « Elle », on fait le chemin inverse, allant de l’onirique et du monde sauvage jusqu’à la normalité. j’ai eu plus de mal à entrer dans cette partie, parce que les repères acquis avec « Lui » sont immédiatement chamboulés avec cette histoire de chevaliers renards en guerre contre les loups. Mais une fois qu’on a pris ses marques, c’est une merveille et au final, je ne sais pas quelle partie j’ai préférée !

J’ai immédiatement accroché à l’écriture. Elle est poétique tout en restant simple et agréable à lire, sans fioritures. Il s’en dégage à la fois une force et une grande douceur, laissant deviner davantage qu’elle ne dit.

Et j’ai apprécié que la romance soit entre deux personnages ayant dépassé la soixantaine. C’est assez rafraîchissant !

« Laissez-nous la nuit. »

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Miney 2024-01-20T10:52:20+01:00
Argent

Un roman de fantasy YA bien sympathique.

Elisabeth Scrinever, une orpheline qui a grandi dans la bibliothèque magique d’Estive, rêve d’y devenir gardienne. Lorsqu’un dangereux grimoire se transforme en Maléfict, monstre d’encre et de papier, et tue la directrice de la bibliothèque, Elisabeth décide de mener l’enquête. Et elle n’a d’autre choix que de faire équipe avec Nathaniel Thorn, un magicien issu d’une longue lignée de nécromanciens, pour mettre à jour le complot qui se cache derrière ce meurtre.

L’histoire n’est pas extrêmement originale, mais elle est très entraînante. Il y a un bon dosage entre le développement de l’univers et des personnages, les scènes d’action, l’émotion et une petite pointe de romance qui n’étouffe pas le reste comme c’est trop souvent le cas. J’aurais juste aimé que l’identité du grand méchant ne soit pas dévoilée si facilement.

J’ai tout de suite accroché à l’univers. Il est peu détaillé, mais on a assez d’informations pour le visualiser rapidement. La plupart de l’intrigue se déroule au sein d’un réseau de bibliothèques contenant des grimoires magiques, qui ont chacun leur spécificité, leur dangerosité et… leur petit caractère ! On ajoute à ça mages, démons et combats à l’épée, et ça donne le genre de monde dans lequel on se sent vite chez soi au fil des pages.

Si Elisabeth la casse-cou et Nathaniel le sensible sont des personnages plutôt attachants à suivre, ils sont éclipsés par le charismatique Silas, le démon-servant de Nathaniel, malgré (ou grâce à ?) son caractère maléfique très décomplexé.

Une bonne découverte.

Afficher en entier
Or

Une fin satisfaisante pour cette trilogie qui a su se démarquer, avec un petit côté doux/amer qui n’est pas pour me déplaire. Ce qui me paraissait confus s’éclaircit petit à petit au fil des pages et au final, tout fait sens. Vu tous les mystères qui étaient soulevés dans les tomes d’avant, je suis même étonnée d’avoir la réponse à toutes mes questions !

Comme précédemment, c’est vraiment l’écriture qui m’a marquée. Dès les premières pages, elle frappe, âpre, maîtrisée, parfaite pour exprimer la complexité des tourments d’Essun et de Nassun sans rien nous épargner. C’est pour moi le gros point fort de cette œuvre, originale et pleine de caractère.

Essun, Nassun, Hoa et Schaffa sont des personnages tellement intenses que parfois, on a du mal à les suivre, mais leur développement est impressionnant de justesse. J’ai davantage aimé suivre la mère que la fille dans ce tome, parce que j’ai vraiment eu du mal à me faire à la relation père/fille dépeinte entre Schaffa et Nassun. Décidément, ça me fait froid dans le dos.

Avec le passé d’Hoa, on explore de nouveaux thèmes outre ceux qui ont déjà été développés, comme celui de la maternité, de la peur de la différence, de la persécution, et on peut dire que comme d’habitude, l’autrice tape là où ça fait mal.

Mon seul bémol, c’est que dans ce tome, j’ai eu l’impression de grosses facilités sur un détail concernant les déplacements des personnages.

Une excellente découverte que cette trilogie en tout cas !

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Miney 2023-10-03T10:14:02+02:00
Diamant

Un roman jeunesse absolument lumineux !

J’ai accroché à cette biographie romancée inspirée de Beatrix Potter dès les premières pages, mais avec une autrice comme Marie-Aude Murail, ce n’était pas une grande surprise.

Les dialogues sous forme de répliques de théâtre m’ont un peu étonnée au début mais on s’y fait très vite et ça apporte un côté assez vivant aux échanges des personnages, en plus d’avoir un vrai intérêt vu le tournant de l’histoire. La plume est légère, pétillante, avec un humour fin et pince-sans-rire. Et lorsque l’émotion est au premier plan, on en a le cœur tout serré.

Je me suis beaucoup attachée à Miss Charity, à réciter du Shakespeare et dessiner des champignons au milieu de sa petite ménagerie toute biscornue. Quant aux seconds rôles, on a droit à une belle brochette de personnages hauts en couleur.

Les croquis à l’aquarelle qui parsèment les pages apportent un vrai plus à l’univers.

Une pépite à mettre entre toutes les mains, de 9 à 99 ans.

Afficher en entier
Or

Une stagiaire de la compta qui découvre qu’elle est une sorcière avec autant de pouvoirs qu’un pétard mouillé, une organisation secrète de créatures surnaturelles, des enquêtes, un vampire sexy accro au café, un loup-garou surpuissant atteint de PTSD… On ne fait pas dans l’originalité dans ce qui ressemble à une énième série de bit-lit YA.

Et pourtant, je me suis marré de bout en bout des trois tomes. Le tome 1 m’a bien valu une moyenne de trois fou-rires par chapitre (ah, la scène mythique de la lune de miel caféinée). J’ai enchaîné les tomes 2 et 3 à la suite, même si le 3e tome m’a moins fait rire que les deux autres. Autant dire que j’ai complètement accroché à la plume et à l’humour de l’autrice. Sans compter les références à la pop-culture parce que oui, bon, face à des mentions de Gaiman et de Pratchett, je suis faible… C’est vraiment cette patte qui fait le charme de cette trilogie et qui la distingue des séries du même genre.

On s’attache vite à cette petite anti-héroïne boulotte et gouailleuse, ainsi qu’à ses collègues surnaturels, et les enquêtes sont entraînantes à suivre. Ça manque juste un peu de développement à mon goût dans les deux cas, parce que j’ai parfois eu l’impression qu’il aurait bien fallu une cinquantaine de pages supplémentaires par tome. Mais c’est sûrement la catégorisation jeunesse qui veut ça.

Une chouette lecture, idéale quand on a envie d’une bonne série légère et pas prise de tête.

Afficher en entier
Or

Retour mouvementé sur la Terre fracturée. Comme pour le premier tome, il m’a fallu un ou deux chapitres avant de réussir à me plonger dans cet univers si dense et si particulier, mais ensuite, difficile d’en décrocher !

En plus de suivre Essun, on découvre le point de vue de sa fille disparue, Nassun. J’ai autant apprécié les chapitres de la fille que ceux de la mère, sinon plus. Malgré son jeune âge, c’est un personnage fort et complexe. On voit vraiment son caractère se développer au fil des pages tandis qu’elle s’endurcit, qu’elle met en place des mécanismes pour survivre face à la Saison, à ses nouveaux mentors et surtout, à son père. Elle donne un nouvel éclairage au personnage d’Essun, qu’on voit sous un jour… pas toujours des plus flatteurs.

Elles vivent dans un monde dur, que la Saison rend plus âpre encore, et s’il y a de l’amour, il n’apporte aucune douceur.

De nombreuses questions restées en suspens dans le tome 1 trouvent ici leurs réponses, notamment en ce qui concerne les mangeurs de pierre et les obélisques, mais elles appellent encore davantage de questions. Les enjeux se précisent et j’avoue que je ne m’attendais pas du tout à ça !

Il y a certains éléments de l’intrigue, comme la magie, que j’ai un peu de mal à saisir, mais curieusement, ça ne m’a pas du tout empêchée d’être complètement embarquée dans l’histoire.

J’aime toujours autant l’écriture. Elle a un ton, un caractère qui me parle beaucoup, et j’aime toujours autant l’utilisation du « vous » dans les chapitres d’Essun.

Afficher en entier
Argent

Bien que ce ne soit pas un coup de cœur, j’ai été agréablement surprise par ce roman de fantasy YA que j’avais choisi en grande partie pour sa couverture. Grâce au mélange assez original d’enquête inspirée de Jack l’éventreur, de thème de la maladie mentale, de construction de cathédrale, de romance et de magie, j’ai passé un sympathique moment de lecture.

J’ai beaucoup aimé l’univers médiéval avec ses religions basées sur le soleil et la lune, notamment toutes les parties sur la construction de la cathédrale qui est au cœur de la vie de l’héroïne, et donc du récit lui-même. C'est en tout cas un superbe décor pour le récit. Même si on ne visite qu’une ville et qu’on se concentre sur le Sanctum, on a l’impression que le monde autour a une histoire, une géographie. Mon seul bémol est que la partie des Selenaes est mal introduite, l’autrice essaie de balancer toutes les informations en quelques chapitres seulement et ça devient un peu indigeste et superficiel.

L’enquête est lente et manque de rebondissements et de tensions à mon goût, d’autant que la liste des tueurs potentiels est très réduite, mais ça lui donne un côté « cosy mystery » qui n’est finalement pas si mal. J’ai quand même regretté le manque d’explications sur la façon dont Simon, l'enquêteur, dresse le profil du tueur, on ne sait pas vraiment comme il en vient à ses conclusions.

Concernant les personnages, ce n’est pas à celui de Catrin, l’héroïne, que j’ai le plus accroché, mais celui de Julianne que j’ai trouvée touchante et plus développée que je ne m’y attendais pour un personnage secondaire. D’ailleurs, j’ai apprécié le fait que chaque personnage secondaire possède des nuances et ne soit pas trop monolithique.

La romance est toute simple et mignonne, elle ne prend pas trop de place dans l’intrigue, mais je me serais passée du… carré (?) amoureux entre Catrin et la plupart des personnages masculins de son âge.

Afficher en entier
Diamant

J’ai passé les 2/3 du roman à ne rien comprendre ( avis aux futurs lecteurs : ayépapeur c’est normal) et j’ai adoré quand même. Arrivée au dernier tiers, je me suis pris dans la tronche deux cents pages alternant action épique et révélations monstrueuses qui ont fait monter mon niveau de fangirlisme à des niveaux stratosphériques. Bref, faut s’accrocher, mais c’est d’la bonne.

Harrow a rejoint les rangs clairsemés des Lycteurs, les Saints immortels de l’Empereur nécromancien (AKA Dieu. AKA John). Mais alors qu’elle a enfin atteint ce but, tout semble empirer.

D’un côté, ses souvenirs du passé ne collent absolument pas avec les faits du tome précédent, notamment avec l’absence flagrante d’une certaine cavalière, comme si cette dernière n’avait jamais existé. De l’autre, un présent chaotique avec un apprentissage du lyctorat éprouvant, une Morte qui la suit partout, des hallucinations visuelles et auditives, des tentatives de meurtre en pagaille et la soupe la plus dégueu de l’univers. Bref, notre bâton de réglisse maléfique préféré est complètement cinglée et elle ne comprend pas plus que le lecteur ce qu’il se passe, à part qu’elle est dans la merde.

J’ai deviné certaines choses avant leur révélation finale, mais beaucoup de retournements de situation m’ont laissée sur le cul (je deviens vulgaire, c’est la faute au roman). Un vrai yoyo émotionnel.

J’ai adoré me retrouver à nouveau balancée dans cet univers gore, macabre et foisonnant sans la moindre explication, avec cette écriture qui allie avec un curieux brio tournures complexes et vulgarité décapante. J’ai aimé la narration avec le « tu », surtout parce que c’est une des choses que j’avais réussi à deviner et que j’attendais impatiemment le dénouement à ce propos.

Harrow est toujours aussi complexe, attachante et torturée de la cervelle même si l’humour trash de Gideon m’a beaucoup manqué. J’ai traqué entre les lignes chacune des allusions la concernant.

Ianthe est très… ianthesque. J’ai du mal à la cerner, à savoir si je l’aime bien ou pas, mais c’est un personnage intéressant. Et les Lycteurs entre eux, c’est les Feux de l’amour qui durent depuis 10 000 saisons. J’ai apprécié retrouver des personnages qu’on avait à peine entrevus précédemment, et les voir développer alors que beaucoup n’étaient qu’à peine des figurants.

Bref, encore une fois un bon gros kiff et une série qui commence à se hisser sans peine parmi mes favorites. J’ai vraiment hâte que le tome 3 soit traduit (je me sens incapable de lire ce bordel en anglais) et je sens qu’une lecture des deux premiers sera de rigueur vu la richesse de l’intrigue et de l’univers.

One flesh, one end, bitch ! ☠

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Miney 2023-05-14T16:40:08+02:00
Bronze

D’un côté, Lou, jeune sorcière qui dissimule sa magie et survit en ville à coups de petits larcins. De l’autre, Reid, chasseur de sorcières assermenté par l’Église et qui s’est juré de débarrasser le monde de ce fléau. Entre les deux ? Un mariage malencontreux.

La romance n’offre pas beaucoup de surprise, mais elle est sympathique à lire. J’ai bien aimé les échanges entre Lou et Reid, notamment grâce à la répartie et à l’impertinence de la première (et son hymne favori, « Ninon gros nichons »). Le chasseur de sorcières taciturne et trop vertueux et la sorcière impertinente et mutine, ce n’est pas d’une originalité folle, mais c’est une recette qui marche bien. Ça m’a fait penser à la dynamique du couple Nina/Matthias dans Six of Crows de Leigh Bardugo.

L’univers m’a laissée sur la faim. Tout est flou, on a très peu de repères pour visualiser le monde qui entoure les personnages, et n’est expliqué que ce qui les concerne directement. C’est à peine si les lieux où ils évoluent sont nommés. Bref, ça fait décor en carton qui est monté à la va-vite autour des acteurs le temps d’une scène alors qu’on sent qu’il ne manque pas grand-chose pour avoir un monde vivant et intéressant.

Idem pour la magie. C’est très flou, à peine expliqué, et l’autrice finit son roman par une magistrale incohérence concernant les règles qu’elle avait édictées précédemment.

Je sais que c’est principalement une romance donc l’accent est mis sur la relation entre les protagonistes, mais quand même, à quoi sert de la placer dans un univers fantasy si c’est pour tout bâcler comme ça ?

Une lecture divertissante, mais qui ne m’a pas assez accrochée pour avoir envie d’en lire davantage.

Afficher en entier
Bronze

Jude, une adolescente humaine, a été élevée parmi les Faes et rêve d’y trouver sa place, malgré le mépris que celles-ci lui démontrent. Le prince Cardan, dernier héritier du roi de Terrafae, semble lui vouer une haine toute particulière.

Même pour du YA, c’est décidément beaucoup trop enfantin pour moi. Je l’aurais sans doute apprécié à 13/14 ans, mais pas plus.

Les 3/4 de l’histoire ne sont que des chicaneries dignes d’une cour de collège version fée, avec le « bully » gosse-de-riche-décérébré qui harcèle la fille pas populaire parce qu’il est secrètement (hahum…) amoureux d’elle.

Heureusement, le dernier quart du récit se révèle plus intéressant avec des complots et autres retournements de situation qui, s’ils sont très prévisibles, donnent un meilleur élan au roman. J’ai également apprécié le sauvetage de la servante humaine. Ça m’a presque donné envie de connaître la suite, mais je me contenterai des spoilers dans les commentaires sur le net.

Concernant les personnages, ils manquent tous d’un peu de développement.

Cardan est juste un petit con mesquin avec le charisme d’une chaussette sale. Jude est plutôt agaçante, du genre idiote à grande gueule qui réfléchit après (mais qui est soi-disant une grande stratège), et dont la moitié des choix ne semble pas cohérente avec sa personnalité. Sa sœur jumelle est encore plus horripilante. Il n’y a que Vivi que j’aie appréciée.

L’univers est sympathique, directement inspiré du folklore anglais, mais manque lui aussi de développement, et se résume souvent à du « name-dropping » de noms de créatures et de cours féeriques.

L’écriture est simple, pas exceptionnelle mais pas mauvaise non plus.

Pour ce qui est de la romance, je suis agréablement surprise par le fait qu’elle soit très lente voire quasiment inexistante, même si je me doute que ça prendra de l’ampleur dans les tomes suivants. C’est d’autant plus appréciable que si j’aime les « ennemies-to-lovers », je suis beaucoup moins fan du « tombe amoureuse de ton harceleur ».

Afficher en entier

733 résultats

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode