Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 356
Membres
1 011 701

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Les commentaires de PaperStreetSoapCo

Argent

Une curieuse histoire dont seul Brautigan a le secret. On y trouve pêle-mêle un couple contraint de s'adonner à la pratique de jeux sexuels sado-masochistes pour continuer à s'aimer, un étrange oiseau de papier mâché veillant sur sa nichée de trophées de bowling, une sordide fratrie de braqueurs de stations-services à la recherche de ces trophées volées et un couple cinéphile qui revient du cinéma où passait un film de Greta Garbo et qui peine lui aussi à s'aimer.

Malgré les apparences, le tout forme un ensemble loufoque et poétique, tendre et onirique, entre songe et réalité, grâce à la formidable légèreté de ton de Brautigan, et ce malgré une traduction qui n'est pas la hauteur de l'histoire, et c'est bien dommage.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par PaperStreetSoapCo 2021-09-12T13:23:03+02:00
Lu aussi

Un petit polar du siècle dernier, tendance vague ambiance années cinquante, narrant l'enquête d'un policier solitaire qui ne vit que pour son travail et la romance naissante qu'il entretient avec la principale suspecte, qu'il défend et protège seul contre les preuves accablantes qui s'accumulent contre elle. Une histoire pleine de poncifs et de vides, sans intérêt, avec en conclusion une fin qui parvient à être à la fois prévisible et inaboutie. Seul intérêt, une taille réduite, du vite lu qui permet au lecteur de vite s'en aller vers d'autres intrigues plus intéressantes.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par PaperStreetSoapCo 2021-08-24T22:52:55+02:00
Bronze

Les tribulations d'Harry Fabian, petit maquereau à la manque qui rêve grand sans en avoir l'envergure. Dans les bas-fonds londoniens de l'avant-guerre, il s'empêtre dans un quotidien minable et tente d'y échapper en faisant preuve d'un bagou monstre pour grimper l'échelle sociale, à grands coups de boniments et d'escroqueries à la petite semaine, sans se rendre compte qu'il n'a pas la force nécessaire pour arriver tout en haut sans dégâts et que c'est la chute qui le guette au moindre faux pas.

Publié en 1938, ce sympathique et vivant petit roman, porté par une excellente galerie de seconds rôles et une atmosphère plaisante, sera transposé au cinéma par Jules Dassin en 1950, sous le même titre, avec le duo Richard Widmark et Gene Tierney en tête d'affiche, pour devenir un excellent et tragique film noir, typique du genre et de son époque, qui se laisse encore regarder avec plaisir si l'on supporte ces vieux films sans couleurs à l'action lente.

Il trouvera ensuite son lectorat en France où, après une première publication chez Denoël en 1954, il passera chez Gallimard pour intégrer la collection Série Noire en 1959, avant de connaître une réédition dans la collection Carré Noir en 1972.

Sortit de l'oubli par le réalisateur Irwin Winkler en 1992, pour le film La Loi de la nuit, avec Robert De Niro et Jessica Lange, remake moderne et moyen du film de Dassin, il sera à nouveau réédité dans la collection Série Noire l'année suivante. Avant de retomber dans l'oubli, pour, qui sait, revenir un jour dans une nouvelle traduction ou adaptation, ce qu'il mériterait.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par PaperStreetSoapCo 2021-08-24T22:48:20+02:00
Bronze

Suite de Braquez, messieurs !, ce roman narre la nouvelle aventure de La Ligue des Gentlemen, qui se retrouvait en très mauvaise posture lors de leur dernier coup. Incarcérés dans une prison de haute sécurité, nos compères s'organisent et fomentent des projets d'évasions, tout en rêvant d'un nouveau gros coup, afin de poursuivre le rêve entre-aperçu lors du précédent opus. Une petite suite amusante et distrayante, datée et prévisible mais pas sans charme, qui se lit avec plaisir si l'on a notamment apprécié le précédent titre de l'auteur.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par PaperStreetSoapCo 2021-08-24T22:45:03+02:00
Bronze

L'histoire du braquage d'une banque par une troupe d'anciens militaires britanniques chassés de l'armée après diverses infractions, magouilles et entorses au règlement interne. Sous la conduite du major Hyde, qui s'inspire lui-même d'un roman de l'écrivain américain Lionel White (l'excellent En mangeant de l’herbe, Clean Break en version originale, plus connu aujourd'hui pour avoir donné lieu au sympathique film L'Ultime Razzia de Stanley Kubrick), cette bande de pieds nickelés des temps anciens va mettre au point un audacieux braquage, sans effusion de sang mais au combien lucratif pour chacun des membres de cette drôle d'expédition.

On suit alors avec plaisir la préparation de ce gros coup, la mise en œuvre, puis la fuite de nos braqueurs, en guettant du coin de l’œil les péripéties diverses et les rebondissements nombreux que l'auteur sème dans son récit, avant la chute finale, qui laissera quelques regrets à nos cambrioleurs … Un bon divertissement, datée et amusant, qui donnera lieu à un très bon film de casse, Hold-up à Londres, réalisé par Basil Dearden, un petit plaisir de cinéphile du samedi soir.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par PaperStreetSoapCo 2021-08-24T22:39:49+02:00
Lu aussi

Prolifique auteur de la Série Noire, puis de sa collection sœur Carré Noir, Carter Brown a écrit des dizaines de romans policiers plus ou moins bons au cours de sa longue carrière. Suivant les tendances qui plaisaient au lectorat de l'époque, il évolua avec et signe ici sur la fin de sa carrière un polar disgracieux, au décor standard américain, caricatural et prévisible au possible, sans finesse et sans subtilité. Du beau monde au balcon, peut-être, mais certainement plus grand monde pour l'apprécier aujourd'hui.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par PaperStreetSoapCo 2021-06-20T14:30:46+02:00
Argent

Aussi violent que vulgaire, un vrai roman noir et sans espoir, typiquement américain, sale, foutraque et immoral au possible, au ton accrocheur et hâbleur et au rythme fou et entêtant. Peuplés de personnages détraqués, cette chasse à l'homme enfonce l'humain dans ses pires travers, toujours plus loin dans la folie et la nuit, ce qui laisse le lecteur pantois, pour le meilleur et pour le pire, au beau milieu des fulgurances sanglantes, désespérantes et désespérées de Whitmer, pour cette tragique et frénétique histoire à ne (vraiment) pas mettre entre toutes les mains.

Afficher en entier
Lu aussi

Un mini-recueil de deux nouvelles, où l'on retrouve cet humour décalé, saugrenu et pêchu d'un auteur qui aime se jouer du quotidien, propre à la tonalité du magazine The New Yorker aux si belles couvertures, dont Thurber fût l'un des collaborateurs. L'intérêt de ce maigre ouvrage, tout de même agrémenté de quelques dessins de l'auteur, est d'offrir en parallèle à la traduction française le texte original en langue anglaise, permettant de lire ces petites nouvelles simples d'accès dans la langue de Shakespeare, ce qui est toujours amusant si, comme moi, vous êtes une bille qui cherche à s'améliorer dans ce domaine.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par PaperStreetSoapCo 2021-04-22T21:00:40+02:00
Lu aussi

Fausse autobiographie matinée de faits réels, ce roman narre la vie de l'aborigène Charlie Thomas dans l'Australie des années 1920 aux années 1970. La jeunesse pauvre et misérable, l'apprentissage de la boxe et de la lecture, la survie des premiers boulots, les voyages en pratiquant la boxe dans les champs de foire, l'appel des drapeaux durant la Seconde Guerre mondiale, le retour à la vie civile et un travail de journaliste à Sydney, puis un autre de manager sportif dans le milieu de la boxe, les déboires avec la justice dans le Queensland, la fuite à Melbourne comme éducateur auprès de jeunes délinquants, le grand amour, avant un retour final à Sydney pour reprendre le journalisme et défendre la cause des aborigènes …

Charlie Thomas n'est ni blanc, ni noir, mais métisse, ce qui lui permet d'atténuer ses origines aborigènes dans un pays où le racisme et la discrimination sont encore de rigueur. Son éducation et sa force physique lui permette de se frayer un chemin dans le monde des blancs, sans pour autant oublier ses origines. Mais, comme le montre son parcours, sans jamais parvenir à trouver sa place.

Comme son personnage, j'ai trouvé que Corris avait du mal à se situer. L'idée de raconter la vie et l'évolution sociétale d'un aborigène dans une Australie divisée qui s'ouvre et se construit était ambitieuse, mais le résultat n'est pas à la hauteur. Il s'agit plus, à mon sens, d'un kaléidoscope, montrant les bons et les mauvais moments d'un homme partit de rien et qui se cherche, d'un homme qui se bat contre les préjugés raciaux, l'inertie et la mollesse des autorités et ses propres faiblesses, avec en arrière fond une toile sociale qui peine à sortir du flou, le tout rythmé par l'alcool et la boxe, la misère et l'injustice. Trop souvent, l'auteur amorce le début de quelque chose, pose le décor et les personnages sur plusieurs pages, puis, sans raison ni explications, clôt le passage en quelques phrases, laissant le lecteur à même d'imaginer ce qu'il a pu se passer. Et l'on retrouve Charlie Thomas dans un nouveau passage de sa vie, quelques jours, mois ou années plus tard, ce qui est frustrant.

Une lecture atypique par son cadre, intéressante par son histoire, mais qui manque de souffle et de cohérence pour dépasser le stade du bon roman.

Afficher en entier
Or

Vardemann, 1973. Bicho Souza, 1984. Miguelito Barrios, 1966. Folcada, 1959. Une histoire à quatre voix, pour cette novella sombre, subtile et puissante, tout en ambiance et en atmosphère comme je les aime. Une prose ciselée et envoûtante qui se nourrit d'une multitude de répétitions et de petits détails qui se croisent, se rejoignent et se perdent, pour une intrigue qui naît sous les yeux à mesure que les différents récits se dévoilent et qui superpose à la grande histoire, celle de l'Argentine des années Perón, une petite histoire, celle d'un drame du quotidien, douloureux souvenir qui hante toujours la vie des habitants d'une ville oubliée de la campagne argentine. A lire d'une traite, en ayant quelques références historiques en tête (il y a un guide chronologique à la fin) et une vague idée de la trame du western Le Dernier Train de Gun Hill, pour mieux apprécier l'ensemble.

Afficher en entier

97 résultats

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode