Les commentaires de Rwann
Fascinant est le premier mot qui me vienne à l'esprit après avoir refermé ce livre. Il l'a été de bout en bout, au point qu'il m'était difficile de m'en éloigner, même momentanément. C'est une histoire d'une esthétique extraordinaire, d'une beauté macabre, cruelle et splendide. Un curieux mélange à l'effet impressionnant. J'ai vraiment adoré.
Afficher en entierExcellent Pratchett, même s'il est plus court que les autres et magnifiquement servi par les splendides illustrations de Paul Kidby. C'est le premier des Annales que je lis en anglais et... ah ! J'ai adoré. Rincevent, le bibliothécaire, Léonard de Quirm, le Patricien... et bien sûr Cohen et ses barbares vétérans... on ne pouvait rêver meilleur mélange. Puis, outre l'histoire qui au demeurant est géniale, c'est un très bel objet-livre.
Afficher en entierPlus je lis T. J. Klune, plus j'aime sa façon d'écrire, de penser les personnages, les histoires... tout, en fait. Ses livres sont un vrai bonheur et Le chant du loup ne fait pas exception. Il est prenant, intense même par moments, riche en questionnements, en recherche de soi, de sa place en ce monde, de sa valeur... Très vrai, en somme, même si l'univers reste fantastique et ça, c'est une chose que j'adore chez Klune : tout est vrai. Les personnages sont criants de vérité, les sentiments sont plus vrais que nature, tout est si savamment dosé... Moi qui désespérais de trouver enfin un bon livre avec des loups-garous, je suis comblé. Il me tarde de lire la suite.
Afficher en entierWoaw... mais quelle claque ! Cette histoire est magnifique, d'une justesse stupéfiante et d'une douceur merveilleuse. J'ai tout, absolument tout aimé dans ce livre, il est fantastique. T. J. Klune a ma reconnaissance éternelle pour avoir écrit une si belle histoire : merci, vraiment, elle était exactement ce dont j'avais besoin.
Afficher en entierC'est un réel plaisir de retrouver Nikolai dans une nouvelle duologie et qui l'eût cru, j'aime beaucoup Zoya. Elle apparaît ici beaucoup plus complexe et intéressante que dans la trilogie Grisha. D'ailleurs, je suis bien content que l'auteure ait abandonné la narration à la première personne du singulier. J'avais peur que ça soit la particularité de Six of Crows, mais heureusement, ça continue avec King of Scars. Ça ouvre le champ des possibles et hausse d'autant mon intérêt pour l'histoire dans son ensemble. Celle-ci est d'ailleurs très bien construite, riche en espoirs et en rebondissements. Peu à peu, les pièces se mettent en place et le puzzle se forme et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça vaut le coup d’œil.
Afficher en entierQuelle joie de redécouvrir Le Hobbit en langue originale ! L'anglais de J. R. R. Tolkien est un pur bonheur et confère un charme tout particulier à cette histoire que j'avais déjà tant aimée enfant. Qu'il est bon de retourner en Terre du Milieu en compagnie de ce cher Bilbo. Je me rends compte à quel point ils m'avaient manqué, tous, à quel point cet univers m'avait manqué. Malgré tous les excellents livres de fantasy que j'ai lu depuis et que je lirais encore, Le Hobbit restera toujours en haut de la pile. Avec Le Seigneur des Anneaux, évidemment.
Afficher en entierAinsi s'achèvent donc ces formidables odyssées de l'espace... Le moins que l'on puisse dire, c'est que le voyage vaut le détour. C'est à la fois effrayant et fascinant de constater la clairvoyance d'Arthur C. Clarke quant aux découvertes des années ayant suivi l'écriture de ses romans et autres nouvelles. J'apprécie aussi beaucoup son humour et son autodérision à ce propos. Il est sans nul doute l'un des plus grands auteurs de science-fiction dont la Terre peut s'enorgueillir et j'ai adoré 3001, même si j'ai trouvé la fin plutôt frustrante et que 2001 et 2010 resteront pour moi les meilleures de ses odyssées.
Afficher en entierIl est toujours aussi agréable de parcourir le système solaire en compagnie d'Arthur C. Clarke, même si ce tome-ci est un tantinet moins captivant que les deux premiers. J'ai particulièrement apprécié l'escapade europienne et la découverte aux accents lovecraftiens (qui étaient très, très doux, mais tout de même). Quant à la fin, elle me laisse impatient : il me tarde de savoir comment tout cela se termine...
Afficher en entierUn texte poignant et prenant qui fait profondément réfléchir. Une ode aux baleines, aux habitants de la mer et aux humains qui savent la respecter, une prière pour ceux qui ne la comprennent pas et une lueur d'espoir pour sa préservation.
Afficher en entier
Il n'y a pas à dire, j'aime quand Lupin joue au faiseur de miracles tout en restant l'air de rien ce charmant gentleman-cambrioleur. Quel filou il fait, je l'adore. C'est toujours aussi agréable de lire ses aventures.
Afficher en entier