Ce livre est incroyable !!

Il reprend sans pour autant déformer la mythologie grecque. Ou en tout cas, il n'y avait pas de grosse incohérence, ou d'élément qui m'ont choqués. Au contraire, il y a des passages qui sonnent presque comme des exposés : on dirait que l'autrice récite sa leçon.

Excepté ces paragraphes peu naturels, l'histoire est bien narrée. Il y a quelques changements de points de vue, bien menés.

J'adore le fait que le livre met en avant des personnages féminins, qui souvent oubliés par la "grande" histoire et qui se font manipulés/utilisés par les hommes mais qui arrivent à se défaire de leur influence.

Spoiler(cliquez pour révéler)Je trouve ça triste que Dionysos se révèle être comme les autres hommes (Poséidon, Zeus, Thésée), alors qu'il était LE dernier espoir. C'est comme si la morale du livre était que tous les hommes sont pourris.

Et est-ce que je suis la seule à trouver que Phèdre a eu ce qu'elle méritait ?

Le livre retrace l'apprentissage de l'art de la peinture, et les débuts compliqués que doit traverser un artiste avant de se faire reconnaître.

L'écriture de Maylis de Kerangal est très précise au vue des descriptions (notamment face aux couleurs).

C'est œuvre est un vrai coup de cœur ! Elle nous plonge dans le monde de l'art, et plus particulièrement dans ce qu'est la vie d'un artiste.

Un livre incroyable et une belle découverte !!

On remet en question la notion d'humanité par toute cette "humanité" que semble éprouver des êtres pourtant artificiels et tout le manque d' "humanité" dont peuvent faire preuve les humains.

Même si le livre ne paraît pas bien gros, l'histoire est bien développée et travaillée avec tous ces personnages secondaires et de nombreux détails sur l'histoire (autant sur le passé que sur le temps présent de la narration).

J'adore l'univers d'Alice, avec ses personnages si absurdes et en même temps si logique. C'est un conte autant enfantin qu'adulte, par toutes ces réflexions qu'il invite à faire.

Ici, toutes les aventures d'Alice sont rassemblées, voire plus.

Je reste tout de même sur la réserve en ce qui concerne son auteur : Lewis Carroll/Charles Dogson. Même si cela n'a pas été confirmé qu'il ait émit des actes pédophiles, il a malgré tout pris des petites filles en photos dans des tenues peu habillées, voire nues. Pourquoi prendre en photo des petites filles nues ?!? Il aurait également écrit cette histoire d'Alice au pays des merveilles pour "impressionner" la petite Alice Liddell durant leurs balades ensemble (aka la fille de son patron quand même). Va savoir pourquoi Monsieur Liddell laissaient ses enfants se balader seules avec un de ses employés. Après quelques temps (un temps pas assez long pour autant pour laisser à Alice la marge de grandir et de devenir majeure), Carroll voulait épouser Alice. Heureusement que la mère a refusé et qu'ils ont fini par déménager loin (bon après, la mère a refusé parce qu'elle voulait que ses enfants se marient avec des gens riches plutôt qu'avec un simple professeur, c'est pas forcément la meilleure des raisons).

Bref, autant dire que j'adore Alice au pays des merveilles, mais que le contexte derrière me laisse un peu mitigée.

Le décor de l'histoire, et même l'histoire en elle-même, est très travaillé et original. J'adore en plus le couple que forme Ivy et Bishop, ils sont vraiment mignons et drôles.

Simplement, l'écriture aurait pu être un peu plus développée : tout semble passer si vite. J'ai l'impression de rester sur ma faim, il m'en faut plus.

Un peu compliqué à lire, mais sinon, très intéressant !

Ce livre m'a ouvert les yeux sur la perception des personnes atteintes d'autisme sur le monde qui les entourent. J'ai énormément appris !

Son témoignage est en plus incroyable, et bien raconté.

ENFIN UN LIVRE QUI PARLE VRAIMENT DE MYTHOLOGIE GRECQUE !!!!

J'en ai marre des livres qui ne reprennent qu'à moitié les mythes grecs.

Dans ce livre, l'autrice est justement très précise : il y a des cartes des endroits évoqués, des arbres chronologiques (heureusement qu'il n'y avait pas l'arbre complet de Zeus, ça aurait rempli tout le volume), et un "annuaire" de tous les personnages cités avec de plus amples précisions sur qui ils sont. On sent que l'autrice a travaillé son sujet !

L'autrice se concentre sur la divinité Pallas (comme le titre l'indique) pour raconter la guerre de Troie : puisqu'on comprend au fur et à mesure que toute cette guerre commence "à cause de" (plus ou moins) ce personnage.

J'avais l'impression de lire un livre d'histoire romancé, ce qui peut ne pas plaire à tous. Personnellement, j'ai adoré ce format qui m'a permis d'en apprendre davantage sur la mythologie grecque (ma passion !!!!).

A l'origine, je devais faire un exposé sur une autrice du XVIIIe siècle, et je suis tombée sur cette pépite.

Ce livre porte de nombreuses idées fortes vis-à-vis du féminisme (la défense des droits des femmes à l'éducation, l'indépendance des femmes), mais pas uniquement, il traite également de philosophie, d'économie, de politique, et de valeurs morales. Et tout cela avec une pointe d'humour !

C'est facile à lire, rapide, et tellement intéressant. Le périple d'Hortense devient vraiment une quête sur elle-même, puisqu'elle met un point d'honneur à différencier le statut social, le genre de l'identité. On la suit alors trouver qui elle est, en dépit de certains évènements.

Lisez cette œuvre à tout prix !!

Un livre impressionnant !

Cela m'a fait comprendre à quel point l'homme n'est qu'un mouton dans le troupeau de l'humanité.