Tout nouveau :

Les trois Filles du Capitaine Imanol - Les Prisonniers de Mohina vient d'obtenir le Prix du livre insulaire, en catégorie jeunesse, au salon international du livre d'Ouessant.

(14 Juillet 2021)

Commandable pour le moment directement auprès de Maïté Minot

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La première partie, une espèce de prologue historique qui se passe au 13e siècle m'a suffi. L'auteur ne connait manifestement ni l'histoire ni la géographie de Quéribus, où se passe la scène ce qui n'est pas grave pour la plupart des lecteurs qui ne connaissent pas l'histoire de ce pays au 13e siècle.

Confusion dans les noms des personnages, dans l'action un prénom se substitue à un autre. A moins que j'aie eu droit à une version non corrigée ? Dans ce début, tout est à revoir. Y compris les règles typo que même un autoédité est tenu de respecter un minimum... Je pense que je n'irai pas plus loin !

Ben, si, je suis allé plus loin et même jusqu'au bout. Bien sûr on tombe après dans une histoire comme on en a lu beaucoup depuis Da Vinci code. Une course poursuite entre les deux héros du roman ( une héroïne locale et un enquêteur de la DGSE - que vient faire la DGSE là-dedans ? pas compris) et une secte catho-mafieuse avec intervention de dignitaires de l'Eglise de Rome qui ont tous un lourd secret à cacher au monde... Et tout se termine à Bugarach, là où s'installaient en masse ceux qui voulaient survivre à la fin du monde en 2012.

Pas désagréable à lire, mais je ne me suis pas attaché à nos héros et j'ai en travers de la gorge le suicide de Chabert de Barbaira devant Olivier de Termes en 1255, il se jette sur son épée plantée au sol pour ne pas risquer de révéler le secret... Dommage pour la vraisemblance historique : Chabert a eu une longue vie à la cour de son ami le roi Jacme d'Aragon et n'est mort que de mort naturelle en 1275...

Un livre pour apprécier le printemps confiné..

Après de multiples accidents nucléaires sur la planète, la plupart des rescapés sont installés dans d'immenses tours sécurisées et leur vie gérée par la société LiBéCo. Dehors rôde le danger, la radioactivité, peut-être. Et les H.S., humains cachés dans les ruines du monde d'avant, vivant en résistance à l'état sauvage, que tentent d'éradiquer les forces de LiBéCo.

Un jour on commence à transférer les habitants des tours vers des dômes en une inquiétante répartition.

L'histoire commence là...

Lorsque tu confies la gestion d'un monde à une société privée qui ne recherche que le profit et le pouvoir, peux-tu t'attendre à ce qu'elle essaie d'atteindre des objectifs humanistes ?

Elisabeth Charier , autrice de la saga fantasy "Gahila", nous entraîne dans un court roman de science-fiction, une histoire post-apocalyptique de la famille de "1984", "Soleil Vert" et "La Zone du dehors" de Damasio...

N'hésitez pas ! lisez-le !

J'aime beaucoup la première de couverture sur laquelle je viens de tomber par hasard. Je trouve l'illustration très belle.

" Light novel " ? j'avoue que je ne sais pas ce que c'est... mais si ce livre me tombe sous la main je le lirai.

Présentation et extraits étant parsemés de fautes (orthographe, temps, ...) et de coquilles diverses, ça donne pas envie d'aller plus loin.

Désolé, mais il faut faire un effort pour faire relire et corriger quand on publie un livre

J'ai lu la saga en lien avec mon intérêt pour l'histoire de la Croisade contre les Albigeois et l'hérésie cathare. Action et suspense. Mais la culpabilisation perpétuelle de notre héros qui se rabâche que tout ce qu'il fait de bien ce n'est que pour sauver son âme de l'enfer... c'est un peu lassant. Ajoutons à ça des incohérences historiques et géogaphiques... On peut le lire avec plaisir, mais c'est assez moyen.

L'idée de départ était bonne. Beaucoup d'espoir. Puis tout ça tourne au cauchemar. Bof ! une dystopie sans intérêt, vous n'êtes pas obligés de le lire !

Et si Christophe Colomb avait péri dans les caraïbes et les Amérindiens avaient envahi l'Europe... Le monde à l'envers !

J'ai beaucoup aimé, cette uchronie, cette histoire-fiction écrite sous plusieurs modes. Beaucoup de clins d'oeil à l'histoire dont certains m'ont bien fait marrer. Et j'ai adoré la vision politique et sociale de ces Incas qui débarquent dans le monde barbare de la Renaissance... et qui apportent la civilisation.

Révisez un peu votre histoire officielle et jetez-vous dans ce roman !

J'ai commencé ce livre sans avoir lu la 4e de couv. Juste le titre : Mer blanche. Et le nom de l'auteur : Roy Jacobsen.

Je me suis retrouvé projeté sur cette petite île hors du temps. Un îlot du grand nord battu par les vents, tout là-haut, en Norvège.

Une jeune femme. La solitude. Une vie entre la tourbe et le poisson, et surtout entourée d'une mer toujours présente, qu'on emprunte à coup d'avirons comme tu empruntes la rue devant chez toi. Parfois lisse parfois fumante. Une vie qu'on penserait hors d'atteinte de l'histoire du monde. Pourtant, la seconde guerre mondiale va pousser jusque-là quelques débris, quelques corps à la dérive...

Un style très particulier. Parfois déconcertant. La poésie niche dans chaque anfractuosité comme les eiders et leurs nids tapissés de duvet.

L'histoire d'une femme forte racontée à petites touches de brume. Une histoire qui m'a touché profondément.