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Les commentaires de encore_un_chapitre_et_dodo

Or

Au cours d’une discussion avec Sophie de la librairie La Clé des Mots à Roquemaure, je me suis retrouvée à partir avec Lettre à celle qui lit mes romances érotiques et qui devrait arrêter tout de suite sous le bras. Je l’ai d’ailleurs attaqué si tôt rentrée à la maison. Le titre est quand même assez accrocheur.

Malgré le fait que l’autrice d’appeler sa lectrice/interlocutrice Manon et l’intérêt du propos, je ne peux m’empêcher d’être mitigée sur la question (qui se résume très grossièrement à « la new romance est-elle anti-féministe sous ses air de girl power ? »).

J’aime la romance et la new romance, c’est un fait. Mais elle me fait souvent lever les yeux au ciel. Et je constate, en parcourant mes dernières lectures, que ça fait un moment que je n’en ai pas lu, parce que, justement, ça a tendance à m’agacer.

En premier lieu, ce n’est pas forcément original (c’est toujours le même schéma : un personnage (le plus souvent l’homme) souffre très fort, l’autre un peu moins, ils ont des difficultés à accorder leur confiance, mais ils y arrivent, ils vivent heureux, se marient et font des enfants) et très souvent, le message est assez conventionnel. Ils vivent une histoire fabuleuse, qui balaie tout leur passé. Toutefois, le fait que l’histoire raconte une alchimie dingue entre deux personnages qui n’ont jamais vécu ça auparavant ne me pose pas vraiment de problème : je lis pour rêver et vivre en imagination d’autres vies, des vies que je n’aurais jamais. Déjà, parce que j’ai une vie réelle et véritable qui me convient parfaitement et que je n’en voudrais pas d’autre mais aussi parce que - et c’est là que le bat blesse le plus souvent - je SAIS que ce n’est qu’un fantasme onirique : personne ne s’attend vraiment à se faire kidnapper par un fae et être emmené.e dans un royaume où l’on se bat à l’épée et à l’arc (même si on aimerait !). Je vais certainement pas croiser un milliardaire dans ma campagne profonde qui va réaliser tous mes rêves (à savoir me dire « arrête de travailler, reste à la maison toute la journée pour lire, t’occuper du chat, du chien et des plantes, je m’occupe de mettre à manger dans ton assiette et un toit sur ta tête »). J’ai plus de chance de tomber sur un sanglier, soyons honnête.

C’est, en fait, un sujet d’inquiétude assez récurrent chez moi : le recul que peuvent avoir certains lecteurs sur les histoires qu’ils lisent. J’espère que tout le monde se rend compte que ce n’est pas parce que c’est écrit dans un livre que c’est acceptable. Un personnage qui souffle le chaud et le froid, qui te calcule que quand ça l’arrange, c’est ok dans une fiction, c’est pour l’histoire et la tension dramatique. Dans la vraie vie, c’est juste un coup de tête et un next. Enfin, ça aussi, autre débat.

Je suis d’accord avec ce que l’autrice soulève. Elle parle de trames narratives extrêmement codifiées, des cases à cocher, des stéréotypes à remplir (les stéréotypes sont le propre de toutes les histoires, là n’est pas la question), ce qu’on peut tou.te.s constater en lisant ces histoires : le bonheur de la Femme passe par l’Homme. Ainsi, dans ces NR, la confiance de la femme passe par le regard de l’homme, le plaisir de la femme passe par l’homme (et uniquement l’homme). Et on ne parle même pas des relations LGBTQ+ parce que le plus souvent, on n’en parle tout simplement pas. C’est un constat qu’il est aisé de faire. C’pas dingue, comme constat.

Pour autant, Lettre à celle… a été écrit en 2017 et raconte un passé d’autrice de NR antérieur (autant dire, il y a dix ans).

Aujourd’hui, nous sommes en 2024 et les mentalités ont quand même enfin commencé un petit peu à évoluer (avec beaucoup de réserve, parce on a encore de bons gros réac’ qui ne croient pas au darwinisme aka la réalité de la maxime « si tu n’évolues pas, tu meurs ») et on constate qu’il y a des changements dans le bon sens. Evidemment, il y a encore beaucoup de conventionnel, l’utilisation de clichés irréalistes type l’homme millionnaire ou milliardaire qui fait vivre une dreamlife à la femme qu’il a cherché toute sa vie sans le savoir, de fins heureuses synonymes de mariage + bébé. Et c’est ok, si ça rend les gens heureux de se marier et d’avoir des enfants, c’est très bien (tant que c’est une volonté commune et personnelle et pas juste pour répondre aux diktats de notre société). Et si ça fait rêver d’imaginer qu’un beau milliardaire de 25 ans qui a bâti son empire tout seul va offrir des tours en hélico pourquoi pas (bon, c’est pas du tout écologique, mais c’est encore un autre débat).

Mais de plus en plus, on constate que ce n’est pas la seule fin possible, que certains personnages ne définissent pas leur bonheur (que) par le mariage et le bébé. Si c’est aller ouvrir un refuge pour animaux dans le Cantal avec l’autre personnage principal de l’histoire, c’est tout à fait ok. Chacun fait ce qu’il veut et définit son bonheur comme il veut.

On rencontre de plus en plus de femmes fortes et indépendantes, qui font les choses comme elles l’entendent sans avoir besoin de leur caution masculine. ET IL ETAIT TEMPS.

Le problème (s’il n’y en avait qu’un ! L’un des problèmes), c’est que je n’ai pas d’exemple à citer qui me viennent à l’esprit. J’en ai beaucoup en Fantasy, en Romantasy, mais pas en NR… Du coup, le darwinisme a encore de belles journées devant lui et nous, on a une marge de progression importante.

Si vous avez des titres et des auteurs de NR qui ont fait évoluer le genre, je suis preneuse.

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Diamant

Je sais que je passe sûrement à côté de chouettes histoires mais… à Noël, j’aime bien relire les livres qui m’ont plu. J’en suis à ma deuxième lecture de Cher Père Noël et j’aime toujours autant (j’ai une faculté d’oubli importante en plus, si bien que je redécouvre l’histoire à chaque fois 😂).

Ce livre réunit tous les clichés que j’aime et Ally est tellement maladroite et exubérante, elle me fait rire à chaque fois !

L’histoire est facile et un peu prévisible mais toujours cocasse et pleine de situations loufoques, comme je les aime ! C’est drôle et un peu mignon ! Ça laisse un peu rêveur, de voir sa liste au père noel si joliment réalisée ☺️

J’ai encore passé un bon moment, très distrayant et agréable ! Je le relirais certainement (encore une fois 😁).

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Commentaire ajouté par encore_un_chapitre_et_dodo 2024-01-02T12:10:39+01:00
Or

Je suis ravie d'avoir eu la possibilité de replonger, si longtemps après, dans l’univers de l’Héritage ! Cela m’a ramenée en arrière, à cette période où j’étais encore une enfant insouciante. Eragorn a été l’une de mes premières plongées dans la Fantasy et sera toujours cher à mon coeur.

J’ai adoré découvrir le monde d’après aux côtés de Murtagh. Même si je ne me souvenais pas de tout (gnihi), Murtagh se charge de faire la lumière sur les évènements qui l’ont marqué et après lesquels il doit se reconstruire.

Il est un peu tête brulée, plein de « ah, j’aurais peut-être pu réfléchir un peu plus » mais il a un grand coeur et il est d’une loyauté sans faille ce qui le rend si attachant. Thorn souffre de la même impulsivité, ce qui le rend tout aussi touchant.

Les deux se remettent doucement, comme ils peuvent, des traumatismes que Galbatorix leur a infligés et c’est captivant d’assister à leur guérison !

L’histoire a quelque chose de très linéaire, comme si nos deux compères devaient suivre un chemin avant d’arriver là où tout a commencé et où tout doit finir.

J’ai adoré retrouver cet univers, je me suis passionnée pour l’histoire et pourtant, je dois bien avouer que j’ai trouvé ça long à plusieurs reprises, sans que je ne puisse expliquer pourquoi. Tous les détails donnés sont utiles, servent l’histoire, les descriptions sont très bien faites, mais… mais ça m’avait déjà fait ça avec Eragorn et ça n’a absolument rien gâché à ma lecture.

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Or

En voilà une lecture surprenante ! Je ne m’attendais grand chose en ouvrant ce livre, et certainement pas à cette histoire, mais quelle bonne surprise !

Ce récit, à plusieurs voix, sur plusieurs époques, dans l’arrière pays niçois (j’aime tant lire un bon vieux « fada » dans un livre), m’a apaisée comme les vacances peuvent le faire et ce, malgré toutes les émotions qu’il m’a procuré. Incompréhension, colère, tristesse.

Il s’agit d’une histoire de famille, de secrets, de mensonges, d’amour, de haine, une histoire où les sentiments sont profonds, exacerbés et à vif. On y parle étrange-thé, on décortique le passé, on l’analyse, on essaie de le comprendre.

Les pièces du puzzle sont difficiles à mettre en place mais l’image finale est superbe.

La narration est excentrique et enchantée, à l’instar de ses protagonistes.

C’est une histoire remarquable et savoureuse, imagée et pleine d’odeur, qui m’a… enchan-thée !

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Or

Quand @ m’a proposé de lire son premier épisode, je me suis laissée convaincre par le format original. Je savais, sans hésitation, que je porterais de l’intérêt à l’histoire car j’aime l’urban fantasy et les histoires de vampires. Mais en cette période de panne de lecture, un épisode d’une centaine de pages était séduisant.

Outre le format (une dizaine d’épisodes d’une centaine de pages, qui sortent le 12 de chaque mois), c’est le lieu de l’action qui est intéressant : je n’ai pas vu beaucoup d’histoires prendre lieu en Autriche. Découvrir Viennes aux côtés de Drew est très agréable. Et maintenant, j’ai envie d’aller boire un chocolat viennois sous la neige… 😁

Premier épisode introductif pour planter les décors, on rencontre donc Drew, chasseuse de vampires qui appartenait à une agence spécialisée en la matière et qui a pris la fuite et qui va se faire, très vraisemblablement, rattraper par son destin.

On est sur une sorte de remake de Buffy contre les vampires : Drew est aussi badass que Buffy mais bien moins naïve et moins… crucruche (pardon, Buffy, tu sais que je t’aime pour toujours). Ici, les vampires ne sont pas beaux à se pâmer mais vilains comme un pou, bien qu’ils semblent dégager un magnétisme irrépressible.

Notre chasseuse de vampire paraît antipathique aux premiers abords mais on comprend vite que c’est une main de velours dans un gant de fer (sic), en démontre sa relation naissante avec son nouveau colocataire qui prend relativement bien la nouvelle de l’existence des vampires.

L’écriture est agréable et entraînante et nous emmène à la découverte de ce nouvel univers, qui s’intègre bien dans le notre, peuplé de créatures assoiffés de sang et sans âme.

J’ai désormais hâte de découvrir la suite, d’en savoir plus sur les mystères évoqués, l’air de rien.

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Diamant

J’ai enfin sorti Le Parfum de l’impératrice de ma PAL et… je regrette de ne pas l’avoir fait plus tôt !!

Je veux dire, ça parle de plante, de thé et de steampunk. Il en faut bien moins pour le convaincre, d’habitude !

Surtout qu’ici, nous avons une histoire qui m’a beaucoup plu, servie par des personnages très chouettes, un peu originaux ainsi que par une plume agréable et douce, le tout accompagné par un univers très intéressant, un peu post-apocalyptique dystopique. Il est question de raz-de-marée qui a recouvert la plupart des terres émergées du globe (provoqué par un combat entre des krakens et des leviathan après tout !). Sans oublier la bonne dose de steampunk, l’équilibre est atteint, il n’y en a ni trop ni trop peu !

Sans compter la beauté de l’objet-livre (ça aussi, c’est suffisant, d’habitude - mais c’est pour ça qu’il est entré dans ma pal).

Cette histoire a bouleversé ma vision des péripéties que vivent nos héros, et c’est grâce à Lugen : c’est la première fois qu’un personnage capte (enfin !) les effluves parfois peu agréables d’un corps humain qui vit une aventure et qui n’a pas forcément de quoi se rafraîchir tous les jours et qui les relate non avec dégoût mais comme un fait. C’est divertissant et rafraîchissant, de vivre cette histoire au travers les yeux d’un nez, d’un nez aussi spectaculairement résilient !

C’est un livre qui sent beaucoup (souvent bon, parfois moins), qui donne faim et soif aussi, qui fait rire et rêver, c’est une historie d’aventures, de réalisation de ses rêves, d’ouverture d’esprit et de changement de perspective.

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Or

J’ai lu Hôtel Magnifique qui me faisait pas mal envie. Déjà parce que la couverture est jolie et dorée (et que je suis une pie attirée par tout ce qui brille) et parce que le résumé laissait présager une aventure qui n’avait rien à envier à Caraval et au Deucalion.

Dès les premières pages, on découvre l’aura de gloire et de mystère qui entoure l’Hôtel Magnifique qui apparaît dans les villes au gré de ses envies et qui fait rêver tous les habitants par la magie et les spectacles qu’il propose.

Jani ne fait pas exception. Elle rêve d’entrer dans l’hôtel et d’y découvrir une vie meilleure pour elle et sa sœur. Et elle y entrera. De force, s’il faut.

Dans ce huis clos enchanteur (et parfois horrifique) on voit évoluer Jani, qui est loin d’être parfaite et qui a l’honnêteté de le reconnaître. Elle est curieuse, impertinente, impulsive et aussi un peu jalouse de sa petite sœur dotée d’un talent reconnu par le personnel de l’hôtel pour qui elle ferait pourtant tout. Et c’est exactement ce qu’elle va devoir faire pour la retrouver.

Cette histoire appartient au registre young adult. Jani a 17 ans. Elle est parfois immature dans ses réflexions et ses comportements, comme on peut tous l’être à cet âge-là.

Le récit est bien mené, on ne s’ennuie jamais et même si quelques événements semblent superflus, ils trouvent leur importance à un moment ou un autre, pour comprendre le cheminement vers la résolution de l’énigme.

Les personnages évoluent et se dévoilent, pour le meilleur ou pour le pire, sans précipitation et sans lenteur non plus.

J’ai adoré l’ambiance, pleine d’une magie qui ne semble obéir à rien ni personne mais qui est, en fait, parfaitement sous contrôle, même si parfois, je voyais des déductions et des résolutions un peu facile.

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Or

J’ai « lu » Red Rising au format audio. Rétrospectivement, je me dis que ce format n’est pas du tout le bon pour cette saga.

L’histoire débute dans une ambiance étouffante et rouge. On y retrouve mille personnages joyeux. Et puis, par la suite, on rencontre un nombre très importants de personnes dans des couleurs différentes, avec des noms et des fonctions différents. Il faut être concentré et attentif, ce qui n’est pas toujours le cas avec un format audio.

En plus, je n’ai pas accroché avec la voix du narrateur, pour ne rien arranger.

Dès le début, c’était donc très confus, je me suis égarée assez vite dans l’histoire et j’ai perdu de vue l’objectif de Darrow et le fil rouge du livre. Je me suis souvent dit « oui, d’accord mais, et ? ».

Si bien que j’ai trouvé ma lecture longue et parfois même un peu éprouvante.

Il s’y passe énormément de choses, on ne s’ennuie pas. Mais je crois que je n’ai pas apprécié la plume de l’auteur en fait, et je me suis attardée sur les petits raccourcis qu’il prenait parfois pour dénouer une situation…

Par ailleurs, les choses sont restées très mystérieuses (comme l’intérêt de ce long, si long jeu) à mes yeux et puis j’avais vaguement l’impression d’être dans hunger games. Ou divergente. Fourth wing aussi même, tiens. Avec tous ces gens qui meurent sans que ça n’émeuve personne.

On m’a dit à plusieurs reprises qu’il s’agissait d’un tome très introductif et que tout ce qu’il s’était passé était important pour la suite qui était vraiment mille fois mieux.

Donc à voir. Peut-être que je la lirais. Mais dans un livre alors. N’empêche que le plot twist donne envie de poursuivre. Un peu. Qui sait ? Peut-être que vous saurez me convaincre 😉 je ne demande que ça !

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Diamant

TMI, je sais pas vous, mais ça marche toujours sur moi. Même si souvent, c’est plus le développement des personnages et de leurs relations qui me passionnent, plus que celui de l’histoire (même si je suis toujours curieuse d’avoir le fin mot de l’histoire).

La Chaîne d’Or ne fait pas exception, si j’en crois la vitesse à laquelle je l’ai dévorée. Cette trilogie (je crois) prend lieu après celle des Origines, et on y rencontre les enfants de Will et Tessa (Will est, à ce jour, le personnage que je préfère de l’univers de Cassandra Clare ! Il est celui à qui j’ai le plus parlé - notamment pour lui conseiller de ne pas faire les bêtises qu’il allait faire- et celui qui me réconforte le plus) et leur bande de joyeux compagnons, comme les appelle Anna.

Je ne dis pas que l’histoire n’est pas intrigante, elle l’est : il y a de toute évidence des mystères et des choses obscures à révéler. J’ai vraiment hâte que la petite péronnelle aux yeux de flammes, suspecte comme pas deux, soit démasquée et d’avoir toutes les résolutions des intrigues politiques et des événements. Toutes ces affaires démoniaques éveillent ma curiosité.

Je suis à l’aise dans cet univers que je commence à maîtriser, que je trouve complet et bien construit, riche d’inventions et enrichi de folklore de toutes les traditions.

Mais, vraiment, ce que je préfère chez l’autrice, ce sont ses personnages que je trouve toujours très bien construits ! Ils sont entiers et loyaux, ils évoluent sûrement mais sûrement, ils font des erreurs et ils apprennent leurs leçons (pas toujours).

Si j’aime les personnages morally grey, j’aime aussi ceux qui incarnent le Héros avec un grand h, les droits, les honnêtes, les inflexibles et… les tourmentés souvent. Et l’univers de Cassandra Clare en est plein. Tous à leur façon.

La lecture est super fluide, la plume est excellente, les descriptions sont ce qu’il faut, ni trop ni pas assez et les dialogues sont réalistes et souvent drôles. Il en faut pas plus, à mes yeux.

J’ai dévoré chaque tome de chacune des séries que j’ai lu (sauf la Cité du Feu Sacré mais pour d’autres raisons) et je crois que le prochain subira le même sort.

Mon seul regret ici tient sur la couverture de l’audiobook : celle des livres sont si belles, je les adore et je trouve celles des livres audio moins jolies (pour ne pas dire autre chose). J’aurais tellement préféré avoir les originales 😭

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Commentaire ajouté par encore_un_chapitre_et_dodo 2023-11-22T16:27:00+01:00
Diamant

a dark romance, c’est pas vraiment mon truc. Je le savais avant même d’en lire. Mais. Mais. Mais, s’il y a bien une autrice dont je veux lire toute l’œuvre, c’est bien M. F. Bellamy. Et je lui avais promis que si je devais m’essayer à la Dark, ce serait avec la sienne. Qui est qualifiée de soft, qu’on se le dise.

Donc. Je suis novice dans le domaine (pour ne pas utiliser d’autres mots !) mais disons qu’on connaît tous plus ou moins les codes du genre. Personnellement, je les trouve un peu « gros » (et Aurélia qui se moque d’elle-même ne m’a pas aidée avec ses réflexions du type « on dirait une mauvaise réplique d’un livre de dark romance » - elle m’a tuée !) et parfois un peu capillotractés. Mais ok, disons que c’est le genre qui veut ça !

Mais, ici, dans Seth’s Revenge, je me suis prise d’intérêt pour l’histoire, j’avais des théories sur Seth et Asir que je voulais vérifier, j’ai trouvé la descente aux enfers d’Aurélia compréhensible. La plume de Margaux sert très bien l’histoire. Les mots utilisés décrivent bien les événements et les sentiments, ce qui permet au lecteur, même un peu novice comme moi, de saisir les émotions des protagonistes, même quand ils ne lui semblent pas compréhensibles mais obscures et un peu malsain.

Pourtant, j’ai lu l’histoire presque d’une traite, parce que, bizarrement, c’est assez addictif une fois qu’on est dedans !

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