le style est agréable à lire, en revanche le rythme pas du tout.

La semaine du 20 au 27 décembre nous est raconté du point de vue de 4 personnages ou groupe de personnages, ce qui donne une impression de lenteur et de ne pas avancé dans l'histoire. Il suffisait de faire de plus petits chapitres pour pallier à ça.

Un résultat pas transcendant.

Excellent roman, poignant.

La lecture est agréable (du fait du style de l'auteur, pas pour le sujet évoqué qui lui est complétement glaçant et horrifiant).

Un livre (prophétique?) à lire à l'heure où le nationalisme/fascisme fait son retour dans la plupart de nos pays dits civilisés et où le débat sur le corps de la femme (qui est source de péché, d'envie, de désir, c'est bien connu) et l'avortement sont à nouveau évoqués et remis en cause (en Amérique et en Italie par exemple).

Roman visionnaire, tout comme d'autres dystopies, qui nous met en garde sur le monde où nous nous dirigeons: privation de libertés et de tout espoir au nom de la sécurité et de valeurs morales qui sauraient redonner un sens à nos vies.

Petit truc qui me gêne c'est la fin, le dernier chapitre et pour moi inutile.

waouh!

Incroyable de pertinence, totalement visionnaire à tel point que ça en devient terrifiant!

On pourrait penser qu'un tel monument ne serait plus au goût du jour et qu'il aurait mal vieillit. Et bien il n'en est rien, ce livre restera probablement toujours d'actualité sans se démoder.

L'histoire d’Asimov nous plonge au cœur d'un empire galactique futuriste qui amorce son déclin. Le héro, un jeune mathématicien, pressent qu'une approche statistique et probabiliste du futur est possible en se basant sur les évènements historiques passés. Les années qui vont passer vont voir s’accélérer la déliquescence de l'empire, en effet celui-ci compte 25 millions de mondes mais le simple coût de fonctionnement de l'empire (énergie, chaleur, climatisation, gestion des déchets, restrictions budgétaires...) est colossale et le modèle s' essouffle.

Critique incroyablement perspicace de notre monde actuel.

Dans son autobiographie, Bernard Werber avoue avoir été grandement influencé par Asimov. Werber a repris à sa sauce la préhistoire d’Asimov pour construire son Arbre des possibles (miroir de Cassandre, et la trilogie Les aventuriers de la science)

waouh!

Incroyable de pertinence, totalement visionnaire à tel point que ça en devient terrifiant!

On pourrait penser qu'un tel monument ne serait plus au goût du jour et qu'il aurait mal vieillit. Et bien il n'en est rien, ce livre restera probablement toujours d'actualité sans se démoder.

L'histoire d’Asimov nous plonge au cœur d'un empire galactique futuriste qui amorce son déclin. Le héro, un jeune mathématicien, pressent qu'une approche statistique et probabiliste du futur est possible en se basant sur les évènements historiques passés. Les années qui vont passer vont voir s’accélérer la déliquescence de l'empire, en effet celui-ci compte 25 millions de mondes mais le simple coût de fonctionnement de l'empire (énergie, chaleur, climatisation, gestion des déchets, restrictions budgétaires...) est colossale et le modèle s' essouffle.

Critique incroyablement perspicace de notre monde actuel.

Dans son autobiographie, Bernard Werber avoue avoir été grandement influencé par Asimov. Werber a repris à sa sauce la préhistoire d’Asimov pour construire son Arbre des possibles (miroir de Cassandre, et la trilogie Les aventuriers de la science)

Littérature de meuf comme le dit si bien une amie, mais j'assume.

Excellent livre, léger et plein d'humour pour qui voudrait passer un bon moment et se détendre. J'ai personnellement eu 3-4 fous rire, chose assez rare pour être souligné.

Les descriptions et répliques des personnages sont très imagées et pleines de comparaisons farfelues, j'adore car c'est exactement le genre de propos que je peux tenir avec quelques amis (qui me connaissent un minimum pour ne pas me prendre au sérieux au risque de finir avec une camisole comme l'auteur le dit si bien)

Excellent thriller bien qu'un peu long (750 pages) et très éprouvant à lire.

L'auteur à choisit de nous faire suivre l'histoire du point de vue d'une criminelle en proie à de violentes crises de rage, toxico et jugée à perpétuité pour meurtres. Pas facile de nous faire aimer un tel personnage et pourtant nous sommes obligés d'éprouver de l'empathie en en apprenant plus sur elle et sur un monde carcéral inhumain. Thriller très beau mais dur, âme sensible s'abstenir.

Autant j'apprécie écouter Alain Damasio lors de ses interviews, homme que je trouve passionné et passionnant, autant son bouquin est une torture, un calvaire. Je me suis forcé à finir ce livre en me fiant aux notes plutôt très positives mais honnêtement je n'aurai pas dû m'obstiner.

Livre très dur à lire en raison des situations évoquées. Ne pas lire ce livre si votre moral n'est pas au beau fixe et si vous voulez garder intacte votre foi en l'humanité. Ce genre de livre est néanmoins nécessaire pour rendre hommage aux bénévoles qui risquent leur vie de par le monde et pour faire évoluer les consciences, notamment dans nos consommations (produits dont les minerais proviennent du Congo ou d'autres pays en guerre pour satisfaire notre besoin de voitures électriques qui sont "respectueuses de l'environnement")

J'ai trouvé ce roman moins bon que la trilogie précédente. Fait forcément pensé à dan Brown dans la construction du roman.

Pour ceux ayant aimé le thème je recommande fortement Le papillon des étoiles de Bernard Werber qui n'est pas abordé à la façon d'un thriller (ce que j'ai le moins aimé dans ce roman au final) mais abordé à la façon Werber soit de façon philosophie-fiction, un pur chef d’œuvre.

roman de 500 pages articulé de la façon suivante: un chapitre sur Tengo (le personnage masculin) puis un chapitre sur Aomamé (le personnage féminin). Le simple fait de découpé le livre de cette façon donne déjà une impression de longueur inutile sachant qu'à la fin du premier livre les deux personnages ne se sont pas encore croisés (je suppose qu'ils le feront dans les autres romans mais un livre seul m'a suffit j'abandonne là leur histoire ô combien inintéressante. Les descriptions ne permettent pas du tout de se familiariser et d'aimer les personnages. On apprend juste que Fukaéri a de beaux seins (ça doit être important pour nous le rappeler constamment je suppose) alors que le personnage de Fukaéri semble intriguant et peu conventionnel. Quant aux deux personnages principaux leur principale préoccupation dans la vie semble être de baiser car quand ils ne passent pas à l'acte ils réfléchissent à assouvir leur pulsions sexuelles, voila ce qui ressort de 500 pages. Le mon parallèle 1984/1q84 est supposé par Aomamé dès le départ mais ne semble ni la perturber pour autant ni apporter la moindre profondeur au roman!!! Passez votre chemin.