Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 689
Membres
1 013 398

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

« — Tu ferais mieux de t’asseoir, dit Lucas, et ce n’était pas à Mercy qu’il s’adressait.

Sascha le dévisagea.

— J’ignorais qu’être enceinte de quatre semaines me rendait incapable de rester debout.

— Ça me rend incapable de raisonner, dit Lucas, charmeur de bout en bout. Sois gentille avec moi. »

Afficher en entier

« — Tu me tapes sur les nerfs, Riley.

— Ah ouais ?

— Toujours pragmatique, terre à terre et toutes ces conneries.

— C’est ce qu’elle dit.

— Ah. (Hawke se décrispa un peu.) C’est donc à cause de miss Mercy que tu étais sorti bouder.

— Je rumine. C’est toi qui boudes.

Hawke montra les dents.

— Je suis ton chef. Un peu de respect.

Riley ricana, même s’il était tout sauf détendu.

— Je t’ai vu vomir tes tripes après t’être empiffré de gâteau au chocolat. Le respect a un peu de mal à venir.

— J’avais sept ans. Et il me semble me souvenir que tu as vomi le premier.

— Tu as la mémoire qui flanche. »

Afficher en entier
Extrait ajouté par Mylane 2013-04-27T08:47:41+02:00

(Mercy & Riley)

— Pourquoi tu ne vis que pour m’exaspérer ? Pourquoi ?

Son sourire ne lui en révéla pas davantage.

— Il y a une chose qui m’a toujours intrigué… pourquoi t’être inscrite à ce concours en bikini quand tu étais ado ?

Partagée entre la colère et la honte, Mercy sentit le rouge lui monter aux joues.

— Tu es remonté jusqu’où ?

— Suffisamment loin. (Une pause.) Tu n’as pas répondu à ma question.

— Et toi, tu n’as pas disparu dans un nuage de fumée. La vie est pleine de déceptions.

Afficher en entier

« Sascha dévisageait Tamsyn dans la lumière rosée du soir.

— Tu es sûre ?

— Sascha, ma chérie, dit Tamsyn avec une patience espiègle, c’est un test de grossesse, ça n’a rien de sorcier. Même si le résultat n’était pas positif, tu peux croire Lucas s’il dit que tu es enceinte… tu l’es sans doute depuis deux semaines environ. C’est à ce moment-là que les mâles ont tendance à le sentir.

— Il m’a dit que mon odeur avait changé et que mon corps se préparait déjà à accueillir une nouvelle vie dans mon ventre.

Lorsque les yeux de Lucas avaient étincelé d’une émotion protectrice, elle avait vu son âme à nu.

— Les compagnons savent toujours, dit Tamsyn avec un doux sourire. Le reste de la meute va commencer à le sentir aussi, maintenant. »

Afficher en entier

Chapitre premier

Mercy éjecta d'un coup de pied une branche sèche qui gênait le passage et lui jeta un regard furieux.

-Stupide brindille.

Évidemment, ce n'était pas après ce bout de bois sans défense qu'elle en avait; il avait juste eu la malchance de se trouver sur son chemin alors que, le dos voûté, elle fuyait le Cercle de la meute et les interminables festivités de la cérémonie d'union de Dorian.

Voir à quel point son meilleur ami était amoureux de sa compagne lui donnait la nausée. A vrai dire, toute les sentinelle commençaient à la rendre malade.

-Clay qui fait les yeux doux à Tally, et je ne parle même pas de Luc et Sascha...

Venaient ensuite ceux qui l'énervaient le plus : Nate et Tamsyn. Comment ces deux-là osaient-ils être fous l'un de l'autre après toutes ces années!

-Ça devrait être illégal, gronda-t-elle.

Quant à Vaughn et Faith... mieux valait ne pas y penser.

Elle prit le parti d'aller courir.

Une heure plus tard, lorsqu'elle fut enfoncée assez profondément dans la forêt territoriale de la meute pour ne plus entendre que les murmures prudents des créatures nocturnes qui s'affairaient dans le noir, elle s'assit sur le tronc lisse d'un arbre abattu et relâcha son souffle. Pour être honnête, elle n'en voulait ni aux sentinelles, ni à leurs compagnes. Mince, elle se réjouissait tellement pour eux que c'en était douloureux. Mais elle éprouvait aussi de la jalousie. Tous avaient trouvé chaussure à leur pied. Sauf elle.

-Bon, d'accord, marmonna-t-elle. Je l'avoue, je suis un gros bébé jaloux.

Il n'y avait rien de mal à être une femelle dominante au sein de la société changelings. Ce n'était pas plus inhabituel de voir une femme tenir le rôle de chef qu'un homme. En revanche, être une femelle dominante dans une meute de léopards quand aucun des mâles dominants ne vous attirait, c'était moins bien. Et alors, être une femelle dominante dans un État contrôlé par des léopards et des loups... et n'être attirée que par celui qu'il ne fallait pas, c'était la cerise sur le gâteau.

Certes, rien ne l'obligeait à se limiter à leur territoire; Dorian la poussait à sortir de l'État pour voir si elle trouverait quelqu'un à son goût dans l'une des autres meutes, mais elle n'arrivait pas à se résoudre à quitter DarkRiver tant que la situation serait aussi délicate. Bien sûr, la vie avait repris un cours tranquille depuis la tentative d'enlèvement avortée d'Ashaya, la compagne de Dorian, mais cette quiétude était teintée d'anxiété. Tous attendaient le prochain pavé dans le mare... restait à savoir s'il serait lancé par le Conseil Psi, dont le calme avait de quoi éveiller les soupçons, ou l'Alliance Humaine qui s'était prouvée capable de violence.

Une chose était sûre, ça allait se produire.

En tant que sentinelle de DarkRiver, elle était censée réfléchir à leur stratégie de défense en envisageant tous les scénarios possibles. Au lieu de ça, son désir l'obsédait tellement qu'elle ne pensait plus qu'à cette fièvre qui la possédait, cette faim qui lui nouait la gorge, cette envie dévorante qui investissait la moindre de ses cellules, le moindre des ses souffles. Les contacts intimes étaient aussi indispensables à son âme de prédatrices que la forêt qu'elle considérait comme sa maison, même si les choses n'auraient peut-être pas été si critiques si elle n'avait pas eu en plus à gérer le choc que lui avait occasionné une conversation qu'elle avait eue quelques jours plus tôt avec Tamsyn, la guérisseuse de la meute.

C'était Mercy elle-même qui en était venue au fait.

-Il y de fortes chances que je ne m'unisse jamais.

-Tu n'en sais rien, avait commencé Tamsyn en fronçant les sourcils. Tu pourrais rencon...

-Ce n'est pas ça. Il se peut que je sois incapable d'être avec quelqu'un. Tu sais que ça arrive.

De mauvaise grâce, Tamsyn avait hoché la tête.

-Le risque est plus élevé chez les femelles dominantes que chez les mâles. C'est ce qui se passe lorsqu'on refuse de... s'abandonner. Même à son compagnon.

Et c'est ça qui fout le bordel, songea Mercy. Elle avait beau vouloir un compagnon de toutes les fibres de son corps, si le partenaire fort et indémontable dont elle savait avoir besoin débarquait, elle pourrait refuser de le reconnaître au niveau nécessaire pour sceller une véritable union. Oh, ses pulsions la pousserait sans doute à le prendre pour amant, peut-être plus... mais si son léopard n'acceptait pas réellement qu'il ait des droit sur elle, elle était capable de partir errer pendant des mois pour ne revenir que lorsqu'elle ne parviendrait plus à lutter contre son désir.

C'était une forme de torture particulière, réservée à ces femelles léopard que la simple idée de laisser un mâle les contrôler de quelque manière que ce soit hérissait. On pouvait retourner le problème dans tous les sens, à moins que son compagnon se révèle faible et soumis- et vu qu'elle ne serait jamais attirée par un individu de ce genre, la question ne se posait pas- , il allait forcément essayer de la dominer.

-Je n'ai pas besoin d'un compagnon, marmonna-t-elle en contemplant le disque lumineux de la lune automnale. Mais est-ce qu'on ne pourrait pas m'envoyer un beau mâle séduisant et fort avec lequel je puisse danser? Pitié? ( Elle n'avait pas eu d'amant depuis près de huit mois, et elle commençait à en souffrir sur tout les plans.) Il n'a même pas besoin d'être intelligent, un bon coup au lit me suffirait.

Juste de quoi relâcher la tension de son corps pour qu'elle puisse se remettre à fonctionner.

Parce que pour un félin, le sexe ne se cantonnait pas au plaisir; il incluait aussi l'affection et la confiance, entre autres choses agréables.

-Même si là, tout de suite, je me satisferais de sexe pur.

Riley sortit de l'ombre à cet instant.

-Quelque chose te démange, chaton?

Elle se leva d'un bond et étrécit les yeux, consciente qu'il avait dû rester dans le sens de vent exprès afin de la surprendre.

-Tu m'espionnes?

-Alors que tu parles assez fort pour réveiller les morts?

Elle aurait jurer que la fumée s'était mise à lui sortir des oreilles. Tout le monde croyait Riley calme, pragmatique, terre à terre. Elle seule savait qu'il avait un fond de méchanceté et qu'il se délectait de la faire enrager.

-Qu'est-ce que tu veux?

Son grondement venait du cœur, tant de celui du léopard que de la femme.

-On m'a invité à la cérémonie d'union de Dorian. (Il esquissa un sourire lent qui lui donna envie de riposter.) Difficile de te louper quand tu fous le feu comme ça. Et ce ne sont pas de tes cheveux que je parle.

Il s'attarda sur les longues mèches rousses qui tombaient sur sa poitrine.

Il en fallait beaucoup pour plonger Mercy dans l'embarras, mais elle avait les joues brûlantes. Parce que si Riley savait qu'elle était en chaleur- comme une putain de bête sauvages!- ça n'avait pas dû échapper à ceux de sa propre meut.

-Et alors, tu m'as suivie dans l'espoir que je m'abaisse à coucher avec un loup?

Elle avait volontairement rendu le mot «loup» aussi appétissant que si il s'agissait de «reptile».

Riley crispa les mâchoires, ses joues couvertes d'une barbe naissante d'un ton plus foncé que ses cheveux chatains.

-Tu veux te faire les griffes sur moi, minette? Viens donc.

Elle serra les poings. En réalité, elle n'était pas garce à ce point-là. Mais ce fichu Riley avait l'art de la mettre en rogne.

-Désolée, je ne tabasse pas les chiots sans défense.

Il eut le culot d'éclater de rire. Elle feula.

-Qu'est-ce qu'il y a de si drôle?

-On sait tout les deux qui domine ici... et ce n'est pas toi.

C'était le bouquet. Elle était sentinelle! Il était lieutenant depuis plus longtemps, et alors? Ça ne changeait rien au fait qu'elle occupait au sein de DarkRiver un poste équivalent au sien chez les SnowDancer. Le loup venait de dépasser une limite très stricte... et vu qu'elle ne pouvait pas avoir de sexe, elle se contenterait de violence.

D'humeur sauvage, elle bondit.

Riley l'attendait. Il encaissa son coup de pied à la cuisse sans broncher, et intercepta son crochet du droit d'une seule main. Elle s'était déjà remise en mouvement et adopta une nouvelle posture, prête à profiter de la moindre faiblesse. Il contra chacune de ses attaques, sans passer à l'offensive.

-Bats-toi! Hurla-t-elle.

Elle avait besoin de transpirer un peu; ça atténuerait l'ardeur du désir qui lui tordait les entrailles. Sa botte toucha les côtes de Riley.

Au grognement qui lui échappa, elle se fendit d'un rictus.

-Pas si rapide que ça hein, louveteau?

-J'essayais de ne pas te faire de mal, dit-il en bloquant des bras ses frappes suivantes.

-Je ne suis pas une putain de princesse, marmonna-t-elle en visant la parties la plus vulnérable de l'anatomie masculine. (Ouais, ce n'était pas du jeu. Mais Riley l'avait cherché. Oh oui, il l'avait bien cherché.) De la part de la minette Kincaid.

-Merde, Mercy!

Il lui empoigna le pied avant qu'elle ait atteint son entrejambe et la retourna. Sans effort. Elle hoqueta, prenant la pleine mesure de la puissance qu'il avait contenue jusque-là. Elle pirouetta dans les airs et se reçut avec aisance sur ses pieds.

-Je te l'accorde, dit-il, ramassé en face d'elle tandis qu'ils se tournaient autour. Tu sais bouger ton corps... chaton.

Une montée d'adrénaline la traversa comme du feu liquide.

-Mieux qu'un chien de berger prétentieux, en tout cas. (Malgré son ton égal, elle transpirait sous son tee-shirt noir moulant, et son cœur battait la chamade.) On sort les griffes, dit-elle sans autre avertissement avant de fondre sur lui.

Elle ne le vit même pas venir. Alors qu'elle s'apprêtait à le défigurer- bon d'accord, elle se serait contentée de l'égratigner, ce n'était pas non plus un combat à mort- elle se retrouva la seconde suivante à plat dos, les poignets plaqués au sol et emprisonnés dans une main puissante.

-Aïe!

Riley l'écrasa sous le poid de son corp, lui coupant le souffle. Cet enfoiré était un vrai paquet de muscle.

-Rends-toi.

Son nez touchait presque le sien.

-Tu aimerais bien. (Elle esquissa un rictus, sans lâcher du regard ses yeux chocolat noir.) Viens plus près.

-Pour que tu puisses me mordre? (Ses dents étincelèrent.) Rends-toi d'abord. Ensuite je me rapprocherai.

-Moi vivante, jamais.

Se rendre reviendrait à admettre que le loup la dominait, pour cette nuit là du moins.

-En ce cas j'imagine que je vais devoir t'y contraindre.

-Vas-y, essaie donc.

En souriant, elle lui sauta à la gorge et allait l'avoir... lorsque recourant à une passe qui avait tout d'illégal, il la retourna de nouveau. Elle se retrouva à plat ventre sur le sol jonché de feuilles, les poignets ramenés au-dessus de sa tête et toujours prisonnier de l'étreinte de Riley.

-Tricheur.

-Dit la femme qui a essayé de me faire remonter les couilles dans la gorge, lui fit-il remarquer tout en léchant la peau salée de son con avec une nonchalance incroyablement provocante.

-Je vais te tuer, siffla-t-elle.

Il la mordit.

A l'endroit doux et sensible entre son cou et ses épaules.

Elle sentit un frisson parcourir son corps entier à cette démonstration flagrante de domination.

-Arrêtes, lâcha-t-elle d'une voix rauque qui n'évoquait en rien le rejet qu'elle avait eu l'intention d'exprimer.

Il détacha la bouche de sa peau.

-Je t'ai clouée au sol.

-Ça, c'est des conneries de loup. Je suis un félin.

-Il n'empêche que tu est coincée sous moi. (Il se blottit dans son cou.) Et je te sens chaude, humide et prête.

Sa voix devenait plus grave au fur et à mesure qu'il laissait sortir la loup.

Et la chaleur entre les cuisses de Mercy se mit à pulser comme un roulement de tambour. Une vague de désir impétueux lui nouait l'estomac. Qu'est-ce qu'elle avait faim de sexe, bon sang! Et Riley la maîtrisait de sa poigne de fer. A ce moment-là, son léopard se moquait qu'il ne soit pas un félin. Seul lui importait qu'il soit fort, séduisant, et excité.

Elle s'aperçut que, sans s'en rendre compte, elle avait rapproché son corps du sien et qu'elle frottait ses fesses contre lui en une invitation silencieuse.

-Si tu racontes ça à quelqu'un, je t'arrache le cœur.

-Ce n'est pas parler qui m'intéresse,là tout de suite.

Il relâcha ses mains et la laissa se retourner sur le dos.... pour lui écarter les cuisses et caler son érection tout contre elle. Elle parvint à peine à réprimer un gémissement.

Prenant appui sur ses bras, il braqua sur elle les yeux de son loup : le cercle d'ambre autour de ses pupilles noires s'était fondu dans le marron intense de ses iris et son regard étincelait.

-Brutal?

Telle une force primaire, son aura sexuelle entrait en collision avec la peau de Mercy.

-Très.

Elle voulait qu'il la marque et se serve d'elle jusqu'à ce qu'elle soit exténuée et abrutie de plaisir. Refermant le point sur ses cheveux épais et soyeux qu'elle mourrait d'envie de sentir sur ses seins, elle attira sa tête vers elle et l'embrassa alors qu'un grondement montait de sa gorge. Il saisit son cou d'une main et le serra légèrement.

-Tiens-toi tranquille.

Cette fois, elle le mordit.

Un rugissement se déversa dans sa bouche tandis que Riley Kincaid s'abandonnait à son loup et montrait ce qui lui valait d'être le vétéran des lieutenants SnowDancer. Le tee-shirt de Mercy fut réduit en lambeaux en un clin d'œil, et l'instant suivant son soutien-gorge disparut. Il referma la main sur l'arrondi de sa chair dénudée, et lorsqu'il arracha ses lèvres des siennes pour descendre plus bas , elle sut qu'elle allait sentir sa morsure.

Elle ignorait en revanche qu'avant de plonger ses dents puissantes dans sa peau délicate, Riley sucerait son téton comme s'il s'agissait de sa friandise préférée. S'arc-boutant, elle se détacha du sol et agrippa ses épaules chaudes et moites. Qu'avait-il fait de son propre tee-shirt. Elle s'en moquait. Tout se qui comptait, c'était ce superbe corp d'homme qu'elle caressait et qui lui procurait un plaisir inouï.

Sourde à son grondement, elle l'obligea à délaisser son sein et lui mordit de nouveau la lèvre. Riley avait une bouche magnifique, pour un loup. Cela faisait des mois qu'elle avait envie de la mordiller. Elle ne s'en priva pas. Puis elle fit courir ses lèvres le long de sa mâchoire et de son cou. Goût de sel, d'homme et de loup.

Loup. Enemi.

Afficher en entier

« — Que tu n’es sûrement pas aussi dure à cuire que les hommes, acheva Jen. Je vais leur renvoyer ça dans les dents.

Mercy éclata de rire.

— Il faut les excuser… les garçons sont atteints d’une maladie incurable.

— Laquelle ?

— La testostérone.

Les deux filles éclatèrent de rire. Et Riley se retourna pour lui lancer un regard qui lui rappela tout ce qu’elle aimait à propos de la testostérone. Surtout quand elle était concentrée dans le corps dur et musclé d’un loup qui semblait prêt à la dévorer à petites bouchées sensuelles. »

Afficher en entier

« — Alors, combien de sales gosses veux-tu ?

— Autant qu’il en faudra pour te faire tourner en bourrique, dit-elle, la voix chargée d’émotion.

— En ce cas, une petite fille rousse devrait suffire.

— Je t’aime. (Au-delà du lien de l’union et de l’attirance physique, elle aimait Riley, tout simplement.) Un peu plus chaque jour.

Et elle se moquait d’être niaise.

Riley esquissa l’un de ses lents sourires parfaits. Rien que pour elle. »

Afficher en entier

« Andrew l’attendait à côté de la porte ouverte, les yeux pétillants.

— Salut, future belle-sœur.

— Hors de mon chemin, crevette.

— Tu me fends le cœur. (Il porta une main à son cœur, mélodramatique comme seuls les petits frères savent l’être.) C’est à cause de toi que Riley a failli m’arracher la tête il y a deux minutes ? »

Afficher en entier

« — Pourquoi il tire une tête comme s’il avait avalé des œufs pas frais ? demanda Mercy à Sascha en retrouvant la compagne de son chef devant la prison.

Les jeunes loups étaient enfermés dans l’une des cellules, Jonquil dans l’autre. À vrai dire, ces vauriens avaient tous l’air constipé.

— Qu’est-ce que tu leur as fait ?

Sascha lui adressa un sourire béat tandis qu’elles sortaient dans le couloir pour se diriger vers le sud.

— Chacun leur tour, je leur ai demandé de dire une chose gentille au sujet des autres. Et Jon a dû dire une chose gentille à chaque loup sur qui il a jeté cette poudre.

Le léopard de Mercy se fendit d’un rictus.

— J’aime ton nouveau côté maléfique. »

Afficher en entier

« — Ris donc, dit Andrew, un sourire machiavélique lui barrant le visage. Mais maintenant, Brenna aussi sait qu’il se trame quelque chose.

Génial ! Si Andrew était fouineur, la curiosité de Brenna tenait du harcèlement.

— Tu n’as pas de vie, Drew.

— En ce cas, tu ne verras pas d’inconvénient à ce que je fourre le nez dans la tienne. »

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode