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— Quand est-ce que tu vas… réclamer le gage ? demanda-t-elle ensuite, en débarrassant les tasses avec une efficacité féminine qui ne suffit pas à cacher l’intérêt qu’elle lui portait.

— J’ai toute la journée. (Il se laissa glisser du tabouret et sourit.) Prête ?

— Tu es très félin quand tu souris comme ça, dit-elle. Tu aimes me taquiner.

Il s’avança vers elle et prit le panier qu’elle était allée chercher sur la petite table dans un coin.

— Qu’est-ce que c’est ?

— J’ai préparé deux ou trois choses pour le pique-nique, et de quoi grignoter pendant le trajet.

Il jeta un coup d’œil à l’intérieur.

— Du gâteau au chocolat ?

— Du fondant au chocolat, déclara-t-elle avec une pointe de fierté adorable qui donna envie à Zach de réclamer son gage sur-le-champ. Je l’ai fait hier soir, pour qu’il ait le temps de reposer.

— Tu vas être la nouvelle meilleure amie de Sascha. (Il se pencha et lui effleura l’oreille des lèvres.) Et, oui, maîtresse, j’aime te taquiner.

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Elle plaça une tasse devant lui et il but une gorgée, tâchant de se tenir tranquille même s’il ne songeait qu’à l’attirer contre lui et la dévorer. Patience, s’intima-t-il. Il ne voulait surtout pas que la fureur débridée de son désir fasse fuir Annie.

— Il est bon. (Avec un soupir de plaisir, il lui passa le muffin et une viennoiserie avec un cœur chocolaté.) La cause de ton gage.

Elle regarda le pain au chocolat en grimaçant.

— Est-ce que la bonne réponse annule la mauvaise ?

— Non. Je réclamerai le gage que tu me dois. (Il posa les yeux sur ses lèvres et s’y attarda.) Un baiser, Annie. Tu me dois un baiser.

Elle entrouvrit les lèvres et laissa échapper un petit cri étouffé.

— Et (elle toussa) qu’est-ce que je gagne ?

— Je te donnerai ça plus tard dans la journée.

Il avait envie de s’abreuver de son odeur, que l’excitation croissante et enivrante d’Annie rendait épicée. Cette excitation était toutefois loin de satisfaire le besoin violent de Zach. Mais le félin était un chasseur patient. D’ici à la fin de cette journée, il comptait avoir si bien titillé Annie Kildaire qu’elle serait aussi avide de lui qu’il l’était d’elle.

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Sans sourire cette fois, il l’observa avec un sérieux qui rappela à Annie que même s’il était joueur, il était un soldat de DarkRiver. Les DarkRiver commandaient San Francisco et sa banlieue. Et surtout, ils étaient alliés aux loups sanguinaires de SnowDancer.

— À quoi est-ce que tu penses ? s’enquit-il.

— Que tu es dangereux.

— Pas pour toi, dit-il. Je ne te mordrai que si tu le demandes très gentiment.

Les joues d’Annie s’embrasèrent à cette promesse taquine, et elle fut plus que soulagée d’entendre le « bip » de sa cafetière.

— Le café est prêt, je vais le chercher.

Il la laissa partir, mais elle avait le sentiment que le jeu ne faisait que commencer. Et qu’elle était la proie.

Zach eut envie de gémir de frustration en regardant Annie s’affairer dans la cuisine. Il avait été à deux doigts de l’embrasser jusqu’à ce qu’elle en perde haleine lorsqu’elle s’était léché les lèvres. Des lèvres parfaites et pulpeuses, qui donnaient envie de mordre. Il avait résisté à la tentation pour deux raisons. D’abord, le félin appréciait la chasse. Ensuite, l’idée qu’Annie fonde à son contact plaisait à l’homme. Il avait l’intention de la séduire jusqu’à ce qu’elle ronronne pour lui.

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En une seconde, Zach prit les yeux de son félin. Elle inspira brusquement à la vue de ce regard vert et or si intense.

— Waouh.

Il sourit.

— Jouons à un jeu.

Quelque chose disait à Annie que jouer avec ce gros matou était une très mauvaise idée, mais puisqu’elle avait déjà succombé à la folie, elle demanda :

— Quelles sont les règles ?

— Fermez les yeux. Mangez ce que je vous donne, et dites-moi ce que c’est.

À l’idée de Zach en train de la nourrir, le cœur d’Annie se mit à battre à la vitesse de la lumière.

— Qu’est-ce que je gagne si je devine ?

— Cadeau mystère.

Elle crut apercevoir quelque chose de sombre derrière ses paupières mi-closes, une étincelle de chaleur masculine brute, mais lorsqu’il releva la tête, il n’y avait qu’une lueur amusée dans ses yeux de léopard.

— Oui ?

— Oui.

Subjuguée, elle suivit ses gestes du regard lorsqu’il ouvrit le sachet en papier avec ses mains qu’elle avait envie qu’il pose partout sur elle.

— Ferme les yeux, ma belle.

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Elle courut à la porte et l’ouvrit.

Un léopard à l’apparence humaine se tenait de l’autre côté.

— J’espérais vous réveiller, déclara-t-il d’une voix traînante en s’appuyant contre l’encadrement de la porte. Mais vous êtes tout habillée.

Il essaya de prendre un air triste, mais c’était impossible avec la lueur malicieuse qui dansait dans ses yeux.

— Vous êtes en avance, dit-elle, incapable de le quitter du regard.

Il portait un jean bleu délavé, des bottes de randonnée, et un pull gris et doux estampillé de l’emblème des San Francisco Giants. Une tenue décontractée, mais il avait les cheveux encore humides de s’être douché et la barbe rasée de frais.

Ce fut à peine si elle parvint à se retenir de glisser les doigts sur sa mâchoire lisse et d’emplir ses poumons de son odeur masculine.

— Je me suis réveillé tôt… Il y avait un endroit où j’avais envie d’être. (Il se fendit lentement d’un sourire enjôleur.) Est-ce que vous comptez m’inviter à entrer ?

Il leva une main et lui montra un sachet en papier marron sur lequel était imprimé le logo d’une boulangerie voisine.

— J’ai apporté le petit déjeuner.

Elle savait qu’elle n’aurait pas dû le laisser s’imposer aussi facilement, mais elle s’écarta pour l’accueillir à l’intérieur.

— Qu’avez-vous apporté ?

— Venez voir. (Il attendit qu’elle ferme la porte, puis la suivit lorsqu’elle le conduisit jusqu’à la cuisine en passant par le salon de son appartement.) Vous aimez lire.

Elle le vit jeter un coup d’œil aux livres de poche rangés sur les étagères, empilés sur la table basse, posés sur l’accoudoir de son canapé.

— Oui.

— Moi aussi. (Il déposa le paquet sur le plan de travail et se glissa sur un tabouret.) Pourquoi restez-vous debout là-bas ?

Elle le regarda de l’autre côté du plan de travail.

— Je me disais que j’allais faire du café.

— D’accord. (Il laissa le sachet fermé.) Mais vous ne verrez ce qu’il y a là-dedans que lorsque vous viendrez de ce côté.

Il flirtait, c’était clair. Et c’était clair aussi qu’elle jouait avec le feu en le laissant continuer. Car s’il y avait une chose qu’elle savait au sujet des changelings prédateurs, c’était qu’ils étaient férocement possessifs… Et elle n’avait pas la moindre intention d’appartenir à qui que ce soit. Certes, elle allait un peu trop vite en besogne. Il ne faisait que flirter. Ce n’était pas comme s’il projetait de la traîner devant l’autel.

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Zach était un soldat assez expérimenté pour être capable d’anticiper les précautions de Lucas.

Son chef haussa les épaules. Les marques semblables à des griffures qui barraient le côté droit de son visage ressortaient nettement.

— Je passais par là pour aller parler à Tammy des décorations de Noël, et j’ai décidé de faire un crochet par chez toi pour prendre des nouvelles.

Tammy et Nate étant les plus proches voisins de Zach, ça se tenait.

— Dis à Nate que j’ai vu ses petits léopards courir après un chien hier.

Lucas sourit.

— C’est bien leur genre.

— Est-ce que je peux te poser une question ?

Lucas haussa les sourcils et attendit.

— Les humains sont-ils très fragiles ?

Zach avait déjà eu des amantes humaines, mais il n’avait jamais désiré aucune femme, humaine ou changeling, avec la fureur brute qui colorait son désir pour Annie. Il craignait de la blesser dans le feu de la passion.

— À quel point est-ce que je dois me contenir ?

— Ils ne sont pas aussi fragiles qu’on a tendance à le penser, répondit Lucas, et Zach sut qu’il parlait d’expérience. (Physiquement, les Psis étaient encore plus faibles que les humains, et pourtant Lucas était tout à fait comblé par son union avec Sascha.) Tant que tu n’y vas pas aussi fort avec elle qu’avec moi ou l’un des autres mâles, ça ira.

— Qui te dit qu’il y a une « elle » ?

— Il y a toujours une « elle ».

— Elle s’appelle Annie, et je l’amène au pique-nique demain.

Les yeux de Lucas brillèrent d’un éclat vert de félin.

— Tu vas la présenter à la meute ? Quand l’as-tu rencontrée ?

— Aujourd’hui.

— Eh bien. (Lucas bascula sur ses talons.) Est-ce qu’elle a la moindre idée de ce que ça signifie ?

— Elle est un peu sur ses gardes, mais je lui plais, dit Zach, songeant à la façon dont elle l’avait dévoré du regard.

Il n’aurait pas de mal à s’habituer à un tel regard. Surtout venant d’une femme qu’il avait envie de savourer à petites bouchées.

— Je vais d’abord la courtiser.

Mais il la considérait déjà comme sienne… Non seulement parce que Annie Kildaire éveillait ses instincts les plus primaires, mais parce qu’elle était sa compagne… Et il était un félin d’un genre possessif.

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Après l’avoir posé à portée de main, elle se laissa glisser dans l’eau chaude avec un soupir de plaisir. Elle demeura étendue là dix minutes à savourer la chaleur, puis tendit la main pour prendre le téléphone. Alors que ses doigts effleuraient la coque, il lui signala un appel entrant. En levant les yeux au ciel car il s’agissait sans doute de sa mère, elle ouvrit le clapet sans regarder l’écran et répondit en mode audio.

— C’est moi, dit-elle en laissant retomber la tête contre le mur et en appuyant les pieds à plat contre le bout de la baignoire.

— Bonjour, moi.

Le souffle d’Annie resta coincé dans sa gorge au son de cette voix sensuelle et amusée.

— Zach… Monsieur Quinn.

Elle se serait redressée d’un bond si elle n’avait pas été figée sur place.

— Zach, rectifia-t-il. J’espère que je ne vous dérange pas.

— Non, je… (de l’eau s’écoula lorsqu’elle leva une main pour écarter des mèches de cheveux de son visage) j’étais juste en train de me détendre.

— Dans le bain ?

Elle cligna des yeux, mortifiée à l’idée d’avoir laissé le mode visuel activé par accident. Mais non, il était coupé.

— Les léopards ont une bonne ouïe.

Les joues d’Annie s’empourprèrent.

— Bien sûr.

Elle resta aussi immobile que possible, car elle n’avait pas envie qu’il l’entende faire des éclaboussures.

— Je ne voulais pas interrompre votre moment de relaxation, s’excusa-t-il d’une voix qui s’apparentait à un ronronnement.

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— Vous voulez en voir davantage ?

Elle eut l’air surprise.

— Je…

Elle referma aussitôt la bouche, et il la vit poser le regard sur sa jambe. Ce fut si furtif que ça aurait échappé à Zach s’il n’avait pas été en train de l’observer d’aussi près.

Alors qu’un grondement enflait au fond de lui, il songea que quelqu’un avait dû sérieusement entamer son estime d’elle-même.

— Je peux vous emmener en voiture demain, dit-il en étranglant sa colère. Je vous montrerai des coins que la plupart des gens n’ont jamais l’occasion de voir.

— Je ne devrais pas. (Mais une lueur de tentation passa dans ses yeux.) Je dois préparer la contribution de la classe au spectacle de Noël.

Elle adressa un regard affectueux à Bryan.

Le neveu de Zach se mit à sautiller sur place.

— On va raconter l’histoire de la fois où les Psis ont essayé de supprimer Noël. Ça va être trop drôle !

— Réserve-moi une place, lança Zach, mais il réfléchissait à la façon d’obtenir d’Annie qu’elle l’accompagne le lendemain.

La mettre au défi, ça pourrait marcher. Ou alors…

— C’est une occasion unique, insista-t-il avec un sourire qu’il tâcha de rendre inoffensif.

Si elle devinait ce qu’il voulait réellement d’elle, elle n’irait jamais dans une voiture avec lui, et elle le laisserait encore moins la conduire dans l’intimité luxuriante de la forêt.

— La meute est de plus en plus stricte par rapport aux personnes qu’on laisse entrer.

Elle mordit sa lèvre inférieure charnue, éveillant la jalousie de Zach. Il voulait que ce soit lui qui la morde.

— Eh bien, dit-elle, visiblement partagée.

Ce fut alors que Bryan conclut l’affaire pour lui.

— Vous devriez accepter, mademoiselle Kildaire ! Ensuite, vous pourrez venir au pique-nique.

— Au pique-nique ? (Elle regarda Zach.) C’est l’hiver.

— Pique-nique hivernal, précisa-t-il comme si c’était normal. (Ça l’était, pour DarkRiver.) C’est décontracté, juste une occasion pour les gens de se retrouver avant la folie de Noël.

— S’il vous plaît, mademoiselle Kildaire, venez, plaida Bryan. S’il vous plaît !

Voyant Annie fondre à cette supplique enfantine, Zach sut qu’il la tenait.

— D’accord, dit-elle, et elle leva la tête.

Le sourire de la jeune femme s’évanouit… Car il avait laissé le félin s’immiscer dans son regard, révélant le sombre désir qui pulsait dans ses veines.

— Je passe vous chercher à 9 heures. (Il se pencha plus près et inspira son odeur.) Soyez prête pour moi, ma belle.

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Sachant qu’il pouvait compter sur le garçon pour ne pas se précipiter au-dehors, il suivit Annie jusqu’à l’infirmerie non loin de là. Lorsqu’il regarda par-dessus l’épaule de l’institutrice, il vit que la pièce était plongée dans l’obscurité.

— Il est parti.

Elle sursauta.

— Vous vous déplacez comme un félin !

— Je suis un félin, ma belle. (Parce qu’il avait envie de la taquiner de nouveau, il laissa un grondement sourd monter dans sa poitrine.) Vous voyez ?

Une fois de plus, des striures rouge vif apparurent sur les joues d’Annie. Mais elle ne se démonta pas.

— Est-ce que vous comptez bouger de là ?

— Non. (Il prit une profonde inspiration, luttant contre l’envie d’enfouir le visage dans son cou.) Vous sentez bon. Je peux vous goûter ?

La question était à moitié sérieuse.

— Juste un peu ?

— Monsieur Quinn !

Elle fit un pas pour le contourner et s’éloigna.

Mais il avait déjà décelé l’odeur âcre et mordante de son excitation. Il la suivit, satisfait et sage comme une image cette fois. Il ne fallait pas qu’il fasse fuir Annie. Pas alors qu’il avait l’intention de la garder.

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Elle ferma alors sa sacoche d’un geste sec et la passa à l’épaule. Ou du moins, elle essaya. Zach la lui prit des mains et se la mit en bandoulière.

— Monsieur Quinn !

Elle avait l’air de vouloir le mordre.

Le félin de Zach ronronna, intrigué, tandis que Bryan gloussait.

— Personne n’appelle oncle Zach comme ça.

— Ouais, personne, renchérit Zach. Allez, sauterelle. On décolle. (Il indiqua d’un signe de la tête le manteau qu’Annie avait négligemment jeté sur le dossier de sa chaise.) N’oubliez pas ça. Il fait froid dehors.

Il commença à se diriger vers la porte, conscient qu’elle n’avait pas d’autre choix que de le suivre.

Après une seconde de tension, ce fut ce qu’elle fit. Il entendit le bruissement de ses vêtements lorsqu’elle enfila le manteau par-dessus son pantalon gris strict et sa chemise blanche cintrée, et l’esprit de Zach se plut à imaginer les courbes douces et féminines qu’il savait cachées en dessous. Hélas, elles étaient totalement couvertes cette fois.

— Après vous, maîtresse.

Laissant Bryan prendre quelques mètres d’avance, il tint la porte ouverte et regarda Annie Kildaire s’avancer vers lui.

Elle boitait à peine, mais assez pour révéler que sa blessure avait dû être terrible. Ou bien il s’agissait d’un handicap naturel auquel les chirurgiens n’avaient pas été totalement capables de remédier. Et il y avait peu de choses auxquelles les chirurgiens n’étaient pas capables de remédier à cette époque.

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