Prenant pour titre un adjectif issu du grec apparu en France au XIXe siècle, ce roman d'Amélie Nothomb évoque ces personnages mythiques accompagnant les défunts jusqu'aux Enfers ou les en ramenant, à l'instar de Charon, de l'Ankou, d'Orphée ou d'Hermès.
On se doute que cela ne me suffit pas. La grande mission d’un oiseau consiste à approfondir son pouvoir psychopompe. J’en suis encore au stade du bricolage. Je n’ai pas dit mon dernier mot.
Quel rafraichissement, comme cette lecture est jouissive ! Un peu de contexte pour situer mon avis jaculatoire.
Je sors de la lecture d’un roman policier merdique pondu par une journaliste qui se croit être Agatha Christie.
Au contraire Nothomb, c’est aérien, spirituel, pétri d’humour et de culture.
J’y ai pris autant de plaisir que lorsque je lus un opus précédent à savoir « Stupeur et tremblement ».
Cet écrivain est un des rares que je compare à lui-même, dont je surveille l’évolution.
Parmi les écrivains contemporains, Je n’accorde ce privilège qu’à l’espagnol Javier Cercas, à feu le Chilien Luis Sepúlveda, aux français Jean Raspail ou Philippe Claudel, au colombien Gabriel García Marquez. Et à d’autres que je n’ai pas encore lu.
Comme en sus je suis ornithologue amateur, j’y retrouve tous mes travers.
Maintenant que je termine ce livre, je dois avouer que ce n’est rien moins qu’une autobiographie.
J’apprécie beaucoup Amelie Nothomb. Ce livre est très original et nous en dit beaucoup sur les pays où elle a vécu durant son enfance et ce, à cause des fonctions de son pèré
Peut-être pas le meilleur de l’auteur mais très intéressant tout de même.
Cette fois-ci, je n'ai pas réussi à me plonger dans ce roman. C'est une autre autobiographie de l'autrice mais un peu décousue. J'ai terminé avec grand mal, et pour la première fois, je peux dire que je n'ai pas accroché avec un livre d'Amélie Nothomb.
La rentrée littéraire débute toujours pour moi avec la sortie du roman d'Amélie Nothomb depuis de nombreuses années. Et puis c'est une découverte renouvelée car rien dans la présentation du livre ne permet de se faire un avis sur son contenu, c'est succinct, laissant place à la lecture.
Aujourd'hui Amélie remonte de ses plus jeunes années à aujourd'hui, explorant la manière dont les oiseaux ont pu l'intriguer, l'interroger, la captiver. Elle y dévoile une partie de sa vie plus personnelle, forte, et touchante.
Pour autant j'ai beaucoup moins accroché que ses précédents romans. Le monde des oiseaux mêlé à ses états d'âmes, même s'ils sont reliés et réels, m'ont paru bien trop introspectifs. Je n'ai pas spécialement aimé me retrouver dans ses traumatismes par ce prisme. Même si elle remonte chaque période de sa vie d'écrivaine avec ses doutes.
Il était peut-être vraiment trop personnel pour que je m'y retrouve. Il est très bien écrit, ne vous y trompez pas. Juste que le thème n'était pas pour moi, mais à chacun de se faire sa propre opinion.
Un très beau Nothomb, d'une finesse et d'une sensibilité incroyables. Comment la dame au chapeau arrive-t-elle à se renouveler avec autant d'élégance et d'originalité quand elle réécrit sa biographie? Je crois que le mystère et la magie Nothomb tiennent fort de cela...
Comme beaucoup de lecteurs et lectrices, la rentrée littéraire signifie l'arrivée du dernier roman d'Amelie Nothomb.
Je viens de le terminer. J'ai vécu un grand moment de solitude, je ne savais pas si j'avais aimé ou pas. J'ai mis un certain temps à me décider.
Je constate qu'il y a plus de points points négatifs que positifs.
En effet , nous sommes dans récit autobiographique , elle nous raconte , avec sa plume subtile, l'art d'utiliser , un vocabulaire riche, le triste sort qu'elle a vu il y a 40 ans. Une histoire de fiction et de réalité qui ne font qu'un, Cette métaphore entre elle et les oiseaux, un amour fort entre eux.
L'histoire avec un conte chinois , trés intéressant. A ce moment tout part en cacahuète, je me suis demandée pourquoi je continuais la lecture, proche de l'arrêter, mais ma conscience m'a dit de persévérer.
La deuxième partie est beaucoup plus touchante, elle raconte avec sobriété, le triste évènement qu'elle a vécu, sa descente dans l'anorexie. Pourquoi elle a cessé de s'alimenter, une sorte d' exutoire pour reprendre le cours de sa vie.
Nous retrouvons cette forte liaison qu'elle entretient avec sa sœur.
La troisièmes partie , dévoile sa relation avec son père, les multiples déplacements vécus en tant que fille de diplomate .
Le décès de ce dernier devient un psychopompe, la fonction est d'accompagner l'âme des morts vers leur dernière demeure.
En fait , après moultes réflexions ce roman est une triste déception, compliquer à lire , une lecture pêchue, qui ce lit comme un roman philosophique.
Un court roman autobiographique surprenant. AN m'apparait comme déjantée et ce récit le confirme, j'aime beaucoup. Comme dans ses interviews, une certaine mégalomanie transpire de ses lignes, mais c'est comme ça qu'on l'aime, à fond dans son truc, bizarre, métaphorique, cultivée, super bizarre, en fait, une chose difficile à cerner, impossible à mettre dans un seul casier. Son écriture est comme d'habitude, impeccable.
Vous voulez une bonne blague de Phoenix ? Pourquoi les Phoenix aiment bien Amélie Nothomb ? Parce que comme eux, elle n’a pas besoin de Tombe !
Un style assez « parlé » si bien que l’on parvient même à deviner certains mots à l’avance ; -).
Dès le début des révélations surprenantes !! On a une demande en mariage en page 5 !! Le plus drôle, c’est qu’ils ne connaissent même pas. XD La mariée aura par la suite une requête Saugrenue aux airs de contes philosophiques à base d'appât du gain...
Passé la surprise de l’élément Fantasy, le reste est beaucoup moins digeste. Ca part en cacahuète au sujet des oiseaux ! C'est la ligne directrice du roman... Enfin, la nouvelle, quoi !!
Des petites histoires de tout les pays et de tout les horizons reliées entre elles par la passion envers les Oiseaux.
Le psychopompe, puis-ce que vous vous demandez sans doute ce que ça vaut dire, c’est « l’oiseau qui accompagne les morts »…
Une lecture moyenne mais pas assez longue pour être ennuyante;-).
On pourrait classer ce livre dans le rayon Autobiographie par moment. J'ai bien aimé le début mais beaucoup moins la fin, c'est rare avec Amélie Nothomb. Bref j'attends le prochain avec impatience.
J’avais envie de découvrir le nouveau roman d’Amélie Nothomb. J’aime son style , la richesse de son écriture et les sujets évoqués sont toujours très intéressants.
Ce livre peut se décomposer en 3 parties.
Dans la première, l’autrice nous dévoile dans un écrit autobiographique sa passion pour les oiseaux et son envie de voler ..
Dans une deuxième partie plus métaphorique presque alambiquée, elle explique la corrélation entre l’écriture et le vol d’un oiseau. Cette partie est plus philosophique et explique le rôle de l’écrivain.
Dans une dernière partie, l’autrice évoque des parties intimes de sa vie, en parlant de sa relation avec son père décédé et son rôle de psychopompe.
Résumé
Prenant pour titre un adjectif issu du grec apparu en France au XIXe siècle, ce roman d'Amélie Nothomb évoque ces personnages mythiques accompagnant les défunts jusqu'aux Enfers ou les en ramenant, à l'instar de Charon, de l'Ankou, d'Orphée ou d'Hermès.
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