Commentaires de livres faits par ptitflora92
Extraits de livres par ptitflora92
Commentaires de livres appréciés par ptitflora92
Extraits de livres appréciés par ptitflora92
“sometimes I worry that I’ve wasted all of my love on the wrong people
on the boys who didn’t know how to be men
on the friends who never bothered to stay
on the family who only used that word when it was convenient
and I can’t help but wonder if love is a well that you can run out of”
As I feel the ghost of who I could be
But I am tired of fantasizing about my future self
Instead of learning to fall in love with who I am right now
Where is the line between self-improvement and
self-deprecation?"
but I didn’t know, then—sometimes the horizon is
bright because it’s on fire.
They told the young girl,
“Be hasty, be wise.
Choose a man who’d give you
your best life.”
The young girl grew
into a woman
so now they tell her:
“Be careful, be smart.
You can’t afford to refuse
another heart.”
When did the story change?
Why do we flip the script when women age?
“Great. Well, at least I have something to look forward to.” I cross my arms. “Now why don’t you go parade your lack of dignity somewhere else?”
disservice when you make yourself smaller; when
you eat your words or use less of your light.”
— Peabody ! s'exclama Eve d'un ton de reproche.
— Il avait l'air d'avoir faim.
— Maintenant, il est devenu un escadron, et voilà les forces aériennes qui s'y mettent.
Les pigeons fondirent sur les rongeurs.
— Jetez-moi ça avant qu'ils n'organisent l'attaque, ordonna Eve. J'ai l'impression que celui-là est armé.
- Eve ... Un jour, je me suis trouvé dans un pré en Irlande, seul et un peu perdu, à me languir de toi. Tu es venue, alors que je ne te l'avais jamais demandé. Tu es venue parce que tu savais que j'avais besoin de toi. Nous ne faisons pas toujours ce qu'il faut, ce qui est bien. Pas même l'un pour l'autre, mais quand c'est important, nous le sentons. Il n'y a pas de règle pour cela, Eve. C'est juste l'amour.
— Seigneur Dieu !
— Quand j’étais à l’École de police, quand j’ai enfilé l’uniforme, je vous ai observée, j’ai suivi vos enquêtes comme si vous étiez une figure mythique. Je voulais vous ressembler. Quand vous m’avez recrutée, j’étais aussi heureuse que terrorisée.
A ce souvenir, Peabody lâcha un petit rire.
— Ah ! Le bon vieux temps, commenta Eve. Cette fois, Peabody s’esclaffa.
— J’ai vite découvert que vous n’étiez ni une figure mythique ni une de ces héroïnes sur lesquelles les balles rebondissent. Vous saignez comme nous tous, mais vous continuez à vous battre. J’ai appris que je préférais être un bon flic plutôt qu’une héroïne, que je n’avais plus envie d’être votre double, mais d’être moi-même. Tout ça grâce à vous
Elle dut se rappeler que l'idée de ce voyage venait d'elle - ah ! l'amour, un autre meurtrier -, mais comment aurait-elle pu deviner que parcourir l'ouest de l'Irlande signifiait mettre sa vie en péril à chaque virage ?
« L'Irlande rurale » songea-t-elle en retenant son souffle tandis qu'ils abordaient un nouveau tournant du Voyage de la Mort. Un paysage parsemé de villes minuscules où les vaches étaient sûrement plus nombreuses que les habitants. Et les moutons plus nombreux que les vaches.
— Votre douceur et votre excès de sentiments me réjouissent, Dallas.
— Ouais, c’est ce que je préfère chez moi.
— Pardon ?
— C’est un parfum. J’adore qu’on m’en asperge, quand je vais dans les grands magasins chics.
— C’est donc vous ?
— Moi, quoi ?
— L’unique personne en cet univers qui adore se faire asperger par ces maniaques du vaporisateur. Peabody se raidit, avança le menton.
— Il n’y a pas que moi. Nous sommes une petite armée délicatement parfumée.
— Mouais, je parie que Prends-moi sent la prairie en fleurs. Je vais cuisiner Grove avant qu’on s’en aille.
— Deuxième bureau sur votre droite.
— J’y vais en solo. Voyez où en est McNab.
— Bien, lieutenant. Ah ! Euh... Dallas ? Quand je mets Prends-moi, il le fait.
Elle s’éloigna en sifflotant.
— Bien fait pour moi, marmonna Eve.
— Eve.
Elle sourit, mais son regard demeura grave.
— Tu sais, quand elle a prétendu que je t’avais épousé pour ton fric ?
— Tu l’as remise à sa place.
— Oui, mais nombre de personnes pensent comme elle.
— Eve...
— Les gens s’imaginent qu’ils savent tout, comprennent tout. Toi et moi, on sait que ce n’est pas le cas.
— Oui, murmura-t-il en la forçant à se lever pour l’attirer à lui et l’embrasser avec ferveur. Nous savons tous deux que tu m’as épousé pour le sexe, précisa-t-il lorsque leurs lèvres se séparèrent.
— Exactement.
I had to be the sweet poison no one expected or could even detect, especially her.
“I am Prince Phillip of Grithim.”
I sucked in a breath before he voiced the question I knew he’d come to obtain the answer to.
“Where the hell is my brother?”
I liked him better than William already.
"Does it?" She raised her brows, still grinning. " I suppose that means you'll honor and protect me, then? If we're adhering to the dusty old roles of your patriarchy?"
I shortened my pace to match hers. "Yes."
She clapped her hands together. "Excellent. At least this will be entertaining. I have many enemies.”
— Peabody ? Vos problèmes de chaussures ne m'intéressent pas, et auraient meme tendance à m'énerver légèrement.
— Puisque votre irritation est légère, je continue. Je me suis offert une nouvelle tenue en prime. Le prétexte était idéal : le livre de Nadine, une soirée chic. D'autant que c'est nous qui avons résolu l'affaire Icove. Je suis citée dans le bouquin. Je veux être à la hauteur. Et vous ? Comment vous habillerez-vous ?
— Aucune idée. Je m'en fous.
— Mais c'est important ! protesta Peabody. Vous êtes la vedette du livre !
— Faux ! s'exclama Eve, horrifiée par cette idée. La vedette, c'est l'enquête.
— Qui en était la responsable ?
— Peabody, vous n'allez pas tarder à voir ma bottine de près quand elle va vous exploser le nez.
— Ça change. D'habitude ce sont mes fesses.
CATHERINE: They will if they read the first two books! Which they should, and I hope if they are reading this volume and have not read the previous ones, they will go right out and purchase them. Two shillings each, a bargain at the price!”