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" Je meurs voilà ce qu'elle m'écrit Vincent je meurs viens me voir viens me revoir une dernière fois que je te voie que je te touche que je t'entende viens me revoir Vincent je meurs. Et au bas de la feuille, en tout petit, presque illisible, son prénom, Geneviève, tracé lui aussi au crayon à papier, comme le reste de la lettre, de la même écriture tremblante, défaillante, si ce n'avait pas été ces mots-là on aurait pu croire à l'écriture d'un enfant, on aurait pu sourire, froisser la feuille, la jeter à la poubelle et l'oublier; mais non, ce n'est pas un enfant, c'est Geneviève qui meurt. "
Aurions-nous pu faire autrement ? Tenir côte à côte, sans tituber ? Sans nous séparer ? Avons-nous renoncé trop tôt ? Nous ne le saurons jamais. Il est trop tard, désormais, la route s'achève. La vie est ainsi faite qu'on ne peut pas revenir sur ses pas, tenter sa chance une deuxième fois.
Sur le papier, on a un thème fort avec la perte d’un enfant. Sans remettre la thématique en cause, l’alchimie n’a pas fonctionnée sur moi. Je n’ai été que peu touchée, et davantage par la dislocation du couple que par la disparition de Clara. Le tout m’a semblé plat.
Sur la forme, certains passages très introspectifs m’ont lassée, j’ai préféré la retranscription des événements par le biais du journal de Geneviève.
Sur le fond, certaines transitions m’ont semblé trop rapides et pas assez développées. Et je m’attendais à plus de psychologie. Mais peut être ne l’ai-je pas perçue n’étant pas sensible au thème de l’enfant d’une manière générale.
Ce que je retiendrai, c’est le courage de Geneviève pour affronter ce drame et l’aspect salvateur de l’écriture.
Grâce au style de l’auteure, cette lecture a été prenante et agréable malgré tout. Je lirai donc d’autres romans de Laurence Tardieu.
Juste après mon divorcer. Il'traduisait le caractère éphémère de tout, y compris du couple.
Je venais de prendre en pleine figure ce que pourtant je savais depuis toujours . Que mon couple non plus ne durerait pas. J'ai porté toute mon attention sur l'analyse minutieuse de ce qui conduit inexorablement au point de non retour. Je me retrouvais dans cette femme qui avouait n'avoir jamais lutté. Less mêmes questions, et si à ce moment là nous avions agi autrement ? Et tant'd'autres ont fait écho dans ce récit qui noue et bouleverse.
Je m'y suis plongée pour enfoncer le clou de la rupture dans la pâle fille crucifiée que j'étais devenue. Pour me persuader qu'il'm'arrivait quelque chose de fréquent, somme toute de très banal.
Mais aussi pour terminer la phrase: et me projeter. "Puisque rien ne dure" j'allais ..... Pas si facile à compléter.
Il y avait de l'émotion dans le roman, dans la force de certains gestes.
Comme celui de cet ex mari qui soulevait son ex femme en train de mourir, et l'entourait complètement de ses bras rassurants.
Il m'a aidée tout en alimentant ma détresse du moment mais c'était sans doute nécessaire .
Ce court roman est très émouvant et très juste dans les émotions et les sentiments. Clara, 8 ans, a disparu. Cette disparition a anéanti le couple de parents. Malgré leur amour, ils se sont séparés. Quinze ans après, Geneviève écrit à Vincent car elle est mourante et voudrait le voir une dernière fois.
L'auteur nous livre leur histoire, ce qui a fait qu'ils n'ont plus pu vivre ensemble. Comment réagit Vincent qui une nouvelle fois va vivre un deuil? Ce livre est magnifique. Très difficile de le refermer et de passer à autre chose.
Je n'ai pas lu la quatrième de couverture avant de débuter ce court roman. Je ne savais donc pas les thèmes abordés. (la perte d'un enfant , le deuil impossible pour les parents).
J'ai été submergée par les émotions.
L'écriture est magnifique. Les mots sont justes et les sentiments bien décrits. C'est un texte vraiment bouleversant !
"Puisque rien ne dure" est un des rares livres qui a réussi à me tirer des larmes.
Je n'ai pas de mots pour exprimer l'émotion ressentie à sa lecture, juste que j'ai été prise aux tripes par l'histoire de cet homme et de cette femme.Rien de moins évident que la perte d'un enfant, d'aussi peu naturel , cela boulverse l'ordre des choses et anéanti et fracture méme l'amour entre les deux parents Et puis quelle belle écriture. Une bien belle plume selon moi.
un couple qui s'est séparé , se retrouve dans des circonstances difficiles et fait un voyage dans un passé douloureux, celui de la mort de leur enfant. Triste mais beau.
Résumé
" Je meurs voilà ce qu'elle m'écrit Vincent je meurs viens me voir viens me revoir une dernière fois que je te voie que je te touche que je t'entende viens me revoir Vincent je meurs. Et au bas de la feuille, en tout petit, presque illisible, son prénom, Geneviève, tracé lui aussi au crayon à papier, comme le reste de la lettre, de la même écriture tremblante, défaillante, si ce n'avait pas été ces mots-là on aurait pu croire à l'écriture d'un enfant, on aurait pu sourire, froisser la feuille, la jeter à la poubelle et l'oublier; mais non, ce n'est pas un enfant, c'est Geneviève qui meurt. "
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