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Extrait ajouté par GabrielleViszs 2017-01-16T21:39:36+01:00

Tous ces changements advenus en si peu de temps me donnent l’impression d’être passée dans une machine à laver. Mais quel est le moment exact où tout a basculé ? Ah oui, c’était il y a six jours, lors de la soirée de remise de prix de Jules, mon meilleur ami. Comme une Cendrillon des temps modernes, j’y ai rencontré mon prince charmant américain, Esteban, milliardaire célibataire, qui m’a arrachée à la vie monotone dans laquelle j’étais engluée depuis des années, et m’a fait voyager au pays du plaisir et des orgasmes à répétition. La seule différence est que Cendrillon n’avait pas d’enfants et qu’elle n’a eu aucun mal à suivre son prince.

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Extrait ajouté par GabrielleViszs 2017-01-16T21:39:07+01:00

— Je suis fatiguée mais oui ça va. C’était quoi ce… ton autoritaire ?

— Rien que moi.

— Tu n’es pas si autoritaire d’ordinaire.

— Erreur, je t’ai laissé du temps pour ne pas te brusquer mais à partir de maintenant je redeviens celui que je suis en réalité.

— Et dois-je avoir peur ?

— Pas tant que tu m’écoutes, me dit-il concupiscent.

— Oh.

Je ne sais pas très bien comment je dois prendre la chose, mais son regard se fait doux et tendre. J’ai aimé ce qu’il m’a fait et la manière dont il l’a fait. Toutefois, le monde d’Esteban m’est encore inconnu bien que j’y aie survécu jusqu’à maintenant. Aujourd’hui je ne pourrais plus faire l’amour ‘simplement’, j’ai besoin de sa bestialité et de force, et puis qu’est-ce que je risque ? À part mourir de plaisir ? J’vois pas ! Cet homme est plein de ressources et je ne suis pas au bout de mes surprises à mon avis.

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Extrait ajouté par EvaAdams 2016-07-18T18:39:42+02:00

Extrait 2 :

Ses lèvres distillent des dizaines de petits baisers dans mon cou, ses mains glissent dans mes cheveux.

— Arrêtes tu vas me décoiffer, j’y ai passé du temps.

— Tu ne resteras pas coiffée longtemps de toute façon.

— Ah bon, mais pourquoi ?

— Sais-tu que j’ai envie que tout le monde te voie ce soir ?!

— Tu ne vas pas m’exhiber tout de même ? demandé-je inquiète.

— Pas du tout.

— Me voilà rassurée.

Nous quittons l’appartement et une fois devant l’immeuble je me rends compte qu’Esteban a sorti le grand jeu. Une limousine nous attend et je commence à me questionner sur la tournure de notre soirée.

— Qu’y a-t-il ma douce ?

— Est-ce nécessaire de se faire remarquer avec une telle voiture ?

— Tu n’aimes pas ?

— C’est un peu visible. J’aurais préféré quelque chose de plus discret.

— D’accord et tu préfères quoi ? La Ferrari ? La Porsche ? La rouge, la jaune, la bleue ?

Vu comme ça c’est sûr que peu importe la voiture, nous nous ferons remarquer de toute façon.

— Dis-moi ce que tu préfères.

— Une voiture qui tranche avec ma robe, dis-je en souriant.

— Très bien Madame Jourdan.

Il s’éclipse et se dirige vers le conducteur qui repart seul dans sa belle limousine.

— Viens, ordonne-t-il.

Nous prenons l’ascenseur et descendons au sous-sol où Edouardo nous attend.

— Mais… ce n’était pas Edouardo le chauffeur de la limousine ?

— Choisis une clé, me dit-il en me tendant les deux clés, sigles dans la paume des mains, qu’Edouardo vient de lui donner avant de reprendre l’ascenseur.

— Celle-ci.

— Très bon choix Madame Jourdan, mais on va prendre celle-là.

— Pourquoi me demander de faire un choix si tu le contredis au final ?

— Parce que je pensais que tu allais choisir celle-là.

— Je suis frustrée.

— Ne me tente pas chérie. Tu ne connais rien de la frustration.

Nous nous dirigeons vers les multiples bolides et il s’arrête devant une housse recouvrant certainement la voiture qui va nous conduire ce soir. Elle paraît plus petite que les autres.

— Ne te fie pas à la taille ma douce.

Empourprée je baisse les yeux. D’un coup sec il dégage la housse et découvre la voiture. Cette fois mes yeux en disent long. Je la regarde, aussi rouge que ma robe et d’une brillance qui rivalise avec mes bijoux. Le sigle GTB orne sa carrosserie.

— Elle te plaît ?

— C’est une Ferrari comme toutes celles que tu possèdes déjà.

— Tu plaisantes là ? Ce n’est pas n’importe quelle Ferrari. C’est une 599 GTB !

— Et alors ? Cela n’en reste pas moins une Ferrari, elles se ressemblent toutes, lui dis-je un peu stressé par la soirée qui m’attend.

— Regarde ses courbes, exulte-t-il en la caressant. Touche le capot, vas-y !

Il prend ma main et me fait caresser la carrosserie.

— Tu sens ?

— Que dois-je sentir exactement ?

— Ses déliés, ses rondeurs, sa douceur. Ferme les yeux tu sentiras mieux.

— Esteban.

— S’il te plaît, ferme les yeux.

J’acquiesce et ferme mes yeux. Une main autour de ma taille et l’autre sur ma main posée sur le capot, il me fait me déplacer en effleurant du bout des doigts son jouet. Je me prends au jeu et fais ainsi le tour de cette voiture bien plus imposante que ce que j’aurais cru. Une portière s’ouvre et les yeux toujours fermés, je me laisse guider jusqu’à mon siège. Parfaitement installée, j’ouvre mes paupières et découvre son intérieur. En cuir jaune et noir, l’ambiance est chaude et confortable. Esteban monte à son tour et m’offre le sourire qu’un enfant pourrait montrer en ouvrant le cadeau qu’il attend depuis longtemps.

— Touche le tableau de bord.

— Esteban s’il te plaît.

— Emma, fais-moi plaisir, touche ce tableau de bord.

Ma main se pose délicatement devant moi et sans qu’il me le demande je ferme à nouveaux les yeux. Je sens sous mes doigts un quadrillage assez froid puis rapidement la douceur et la chaleur du cuir.

— Prête ?

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Extrait ajouté par EvaAdams 2016-06-11T13:14:34+02:00

Retrouvez vocalement et en musique, le premier extrait de « Punis-moi », second tome de la trilogie Panama, qui sortira en juillet en numérique. C’est avec une grande joie que je vous offre ce moment particulier puisque mon Maître y a participé.

La musique est Philippe Guerrieri, que je remercie vivement de cette collaboration.

https://soundcloud.com/user-288971867/extrait-punis-moi-de-eva-adams-litterature-erotique-et-bdsm

Extrait 1 :

« Je le fixe dans le miroir, ses yeux plongent dans les miens, il y voit certainement que je vais bien, et cela le rassure, je peux le lire sur son visage dont les traits se détendent. Il m’embrasse l’épaule, le cou, fait glisser les bretelles de ma robe sur ma peau parfumée et découvre un de mes seins sur lequel il vient faire courir sa langue.

— Pas ici Este…

Son index se presse sur mes lèvres, une de ses mains effleure mon cou et descend jusqu’à m’empoigner le sein déjà torturé, tandis que son autre main trouve son chemin le long de mes cuisses, pour remonter langoureusement vers la moiteur de mon entrejambe. J’halète mais reviens à la réalité d’un coup.

— Arrête on peut nous entendre !

— A toi de faire en sorte que non ma douce.

Et il reprend ses caresses qui se font plus intenses et plus fouineuses. Ma respiration se saccade, je connais ce chemin, celui où Esteban sait sur quoi appuyer et cela marche car la seconde d’après mon inquiétude a disparu, je quitte la réalité, plus rien n’existe, juste lui et moi en fusion. Sa bouche aspire mon téton, ses mains remontent sur mon ventre puis mon cou pour s’accrocher à mon collier. Il tire dessus d’un coup et ma bouche vient embrasser la sienne. Son regard se fait animal, j’y vois le pouvoir qu’il exerce sur moi et la domination qu’il installe de plus en plus depuis notre arrivée à Manhattan et j’aime ça. Il se saisit de la chaîne sur mes épaules, me l’enlève et me prend les mains, qu’il tire dans mon dos afin de me ligoter les poignets.

— Esteban.

— Parle encore et je te bâillonne avec ta robe ! »

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