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Je suis sur le point de ramasser la culotte quand Philippe Grandeur la pousse du bout de sa chaussure. Je le regarde, retenant mon souffle. Il traîne la culotte sur le tapis et la fait glisser sous le lit. Elle est hors de portée maintenant.
-Allez-y, mademoiselle Buttocks. m'encourage-t-il.
Je commence à m'agiter. C'est vraiment sadique de sa part.
Je me penche et tends le bras pour atteindre la culotte sous le lot, sans réussir. Je ressors les mains vides.
-Je n'arrive pas à l'attraper, je me plains.
Monsieur Grandeur grogne.
-Bien sûr que vous ne pouvez pas, Mademoiselle Buttocks. Vous devez vous baisser davantage, pour aller plus en profondeur. Courage, mettez-vous à quatre patte.
-Pardon?
Je sais que si je me mets à quatre pattes sur le tapis et que je me glisse sous le lit, Monsieur Grandeur profitera du spectacle de mon cul et de ma chatte. il aura droit à la totale.
C'EST OUTRAGEUX!
(Et j'aime ça.)
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