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"Quoiqu'il arrive, rappelle-toi que je t'aimerai pour toujours," dit-il. "Même si mon esprit est dispersé et ma conscience relâchée dans l'univers... ce qu'il restera de moi ne cessera jamais de t'aimer."
source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entier"Kate, il faut que ça sorte. Il n'y a pas une personne au monde de laquelle je suis plus proche que Vincent. Mais depuis une année, je l'ai trahit dans mon cœur chaque jour parce que je veux pour moi seul ce qu'il aime le plus au monde."
source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entier(…) J'attirai Georgia dans un coin discret de la bibliothèque où nous nous installâmes dans des fauteuils près de la fenêtre.
- Il ne t'irrite pas la peau avec sa barbe de trois jours ?
- Non. Enfin, pas encore. Je me fais désirer.
- Quoi ? Tu veux dire que tu ne l'as même pas encore embrassé ?
Elle me servit son air le plus innocent et je la considérai d'un oeil dubitatif.
- Qui êtes-vous et qu'avez-vous fait de ma soeur?
- Kate, est-ce que tu me prendrais pour une fille facile ? s'exclama-t-elle, ravie, semblant y voir un compliment. Arthur vient d'une époque médiévale, tu sais. Alors j'ai l'intention de la jouer "demoiselle effarouchée" et de protéger ma vertu.
- Si je comprends bien, conclus-je en éclatant de rire, il te plaît vraiment.
- Oui.
page 269
Afficher en entier«- Tu abandonnes avant même d’avoir cherché. Alors n’essaie pas de me dire quoi faire, ou ce que je dois ressentir. Tu m’as peut-être volé mon cœur, mais il me reste ma tête. Et je compte bien m’en servir pour trouver une solution, Bon dieu ! »
Afficher en entier- Tu comptes lui raconter que ses deux petites-filles, prises au milieu d'un bagarre mystique entre bons et méchants zombies, sont sorties prendre l'air pour…
- Pour retrouver l'héritier d'une ancienne lignée de guérisseurs afin qu'il nous apprenne comment sauver le fantôme de Vincent.
Satisfaite, ma soeur s'extirpa de son lit pour s'habiller.
- Genial, je marche !
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Afficher en entier<em>"De toi mon amour, j'ai tant aimé ma languir
A toi mon amour, tout mon être et mes soupirs
Pour moi, Amour, auras-tu ces mêmes soupirs ?
Toi, mon cher amour, que j'aime à en mourir. </em>
Christina Rossetti, Mariana
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«- Tu… tu n’es pas censé dire quelques mots ? S’étonna ce dernier.
- Lesquels ? « Abracadabra » ? Je suis guérisseur, pas magicien !»
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- Je t'aime, murmurai-je en ravalant mes larmes.
Il ne devait pas me voir me résigner. Pas maintenant.
Kate, tu es toute ma vie. J'ai remué ciel et terre afin que nous soyons ensemble, mais cette fois, je suis désarmé. Je ne peux rien faire contre Violette.
Afficher en entier- Si ... S'il m'arrive quelque chose ...
- Arrête, Kate, me coupa Vincent.
Avec un soupir il se voûta. Il était inutile de nous mentir et il en avait conscience. Il ferma les paupières et lorsqu'il les rouvrit, il paru décidé.
-Quoiqu'il advienne ... souviens-toi que je t'aimerai toujours, dit-il. Quand bien même je serais dispersé, rendu à l'infinité de l'univers. Qu'importe l'éternité. Il restera une infime partie de moi qui ne cessera jamais de t'aimer.
Afficher en entierC'est grotesque, m'emportai-je. D'abord, qui es-tu pour décider de ce qui est le mieux pour moi? Peut-être que je me fiche du réel, du normal. Peut-être que je n'en veux pas ! Peut-être que je caresse toujours l'espoir de partager ta vie. Violette a découvert un sortilège qui lui permet de te retenir prisonnier. Qui sait s'il n'en existe pas d'autres, susceptibles de te sauver ? Tu abandonne avant même d'avoir cherché. Alors n'essaie pas de me dire ce que je dois faire ! Ou ce que je doit ressentir. Tu m'a peut-être volé mon coeur, mais il me reste ma tête. Et je compte bien m'en servir pour trouver une solution, bon Dieu !
(…)
Vincent se tut pendant de longues minutes. Je savourai d'autant cette quiétude que je le savais tout proche. En fermant les yeux, j'imaginai sa silhouette élancée étendue auprès de moi. Au bout de quelques minutes, l'impression devint si réelle que je sentais presque le poids de son bras sur ma taille, le contour de sa joue appuyée contre la mienne. Il devenait l'un de ces amants fantômes qu'on croise dans les histoires tragiques du XIXe siècle. Mais à la différence des héroïnes diaphanes prêtes à s'évanouir à la moindre contrariété, je n'avais pas l'intention de me complaire dans la tragédie. J'étais prête à renverser des montagnes.
Page 106-107
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