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Introduction : qui suis-je et pourquoi ce livre ?
J’ai contracté le « virus de l’écriture » à l’âge de neuf ans, lors de mes premières rédactions scolaires. Publier un livre faisait partie de mes projets depuis longtemps. J’ai donc franchi le pas en 2019, après avoir découvert l’existence des otome games
2 et de certains mangas. J’y puise mon inspiration pour écrire des romances New Adult, ce qui explique les caricatures et les exagérations dans chacune de mes fictions. Chez moi, les sentiments des protagonistes riment avec situations cocasses. Il s’agit d’un pari osé, mais j’aime prendre des risques.
Mes ouvrages sont disponibles partout, y compris sur mobile (Google Play,
App Store). Vous pouvez également commander mes romans auprès de 5 000 libraires. Mes romances se trouvent toutes sur le site de la Librairie Jeunes
Pousses ; une librairie qui milite en faveur des auteurs indépendants, après sélection des manuscrits / tapuscrits.
De surcroît, j’ai envoyé quelques exemplaires de ma deuxième romance, Le
Rebound Guy, à Stéphanie Munch ; la gérante de la librairie physique Le Coin des Indés. Cette dernière est située dans la Creuse, à Évaux-les-Bains.
Si mon emploi du temps me le permet, je proposerai, prochainement, de courts romans visuels qui rappelleront l’univers et le format des otome games. Vous pourrez les découvrir sur YouTube. Il va de soi qu’ils seront inspirés de mes livres.
En m’autoéditant, j’ai été amenée à côtoyer une communauté littéraire hétéroclite, bien différente de celle que j’avais imaginée, voire fantasmée. Les seuls auteurs que j’avais rencontrés jusqu’alors étaient âgés et issus d’une maison d’édition (ME) ; celle dans laquelle j’avais exercé en tant que correctrice il y a plus d’une décennie. Bien que la solidarité demeure présente, les auteurs s’adonnent à des pratiques irritantes, que ce soit sur les réseaux sociaux ou durant la phase d’écriture. Je m’inclus volontiers dedans, et il se pourrait même que j’appartienne à plusieurs catégories…
J’ai choisi un titre provocateur pour décrire, avec humour, les travers des auteurs. Si vous n’êtes pas partisan du second degré, mon ouvrage ne vous plaira pas. Afin de rendre le livre « plus vivant », et sans pour autant verser dans le mélodrame, je dévoile certains pans de ma vie, en lien avec les sujets développés. Les personnes curieuses pourront donc en apprendre un peu plus sur moi, mais je tiens à préciser qu’authenticité et délicatesse ne font pas toujours bon ménage ! Ne soyez donc pas offusqué par mes propos. Or, si vous vous laissez tenter, j’espère que mon livre fera sourire l’auteur qui sommeille en vous.
Appréciant les citations, j’ai décidé d’en créer une pour chaque auteur « à la noix », en guise de « mantra » ou de « leitmotiv ».
Mes propos sont le fruit de mes observations et de mon vécu. Par conséquent, mes perceptions ne correspondront peut-être pas aux vôtres. Je me suis
également adressée aux autrices Maritza Jaillet et Mélanie Desforges, qui m’ont gentiment apporté leurs témoignages. Je n’oublie pas non plus le coup de pouce de Marie Continanza, alors que nous discutions de tout et de rien. Mon but consiste donc à informer en témoignant à cœur ouvert et en me servant de l’humour ; du second degré. L’auteur est perfectible, au même titre que tous les
êtres humains. J’insiste sur ce point, car certaines personnes ne semblent pas l’avoir intégré…
Pour structurer mon livre, je me suis en partie inspirée d’un ouvrage de développement personnel, que j’ai lu durant mon adolescence : Ces gens qui nous empoisonnent l’existence, de Lillian Glass. L’autrice américaine y dénonce une trentaine de personnalités toxiques, en les surnommant et en apportant quelques solutions afin de les contrer ou de les contourner. Trouvant la démarche intéressante et rigolote, je me suis dit que j’allais procéder de la même façon pour les auteurs.
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