Quentin Durward

Livre magnifique ! Avec quelques passages amusants et surtout beaucoup d'épreuves. Avec ce livre on voit de manière différentes quelques événements. je recommande vivement ce livre !

Je viens de lire la version jeunesse, recommandée à partir de 12 ans. Mais je doute qu'aujourd'hui un enfant de 12 ans soit en mesure de la comprendre et en tirer plaisir. Il sera rebuté par la complexité historique, par la langue soutenue, etc. Donc à adapter à chaque enfant. A dix ans, j'avais lu le Capitaine Fracasse de Théophile Gautier - version adulte, sans images - en quelques jours, à l'occasion d'un alitement. Je n'étais pas surdouée. Et pourtant, ce serait hélas impossible aujourd'hui. Puisque, à travers des réécritures des grands classiques, on supprime les passé-simple, les subjonctifs dans les collections équivalentes à la Bibliothèque Rose d'autrefois.

J'en reviens à Quentin Durward. Ce qui est paradoxal, c'est que ce chevalier sensé être le héros chevaleresque par excellence est vraiment insipide. Il en est presque trop chevaleresque ? Ce qui a plutôt attiré mon attention ce sont les extravagantes machinations de Louis XI, un roi très controversé.

De plus l'édition jeunesse qui m'est tombée dans les mains - celle de 1981 de Nathan - a des illustrations vraiment très moches à mon goût (pas celles de la couverture). Ça ne m'étonne guère que l'illustrateur n'ait même pas été crédité !

Last but not least, beaucoup de mots et d'expressions moyen-âgeuses auraient dû être expliquées dans un glossaire. Non pas les traduire, ni les remplacer, car elles donnent beaucoup de charme au récit. Par exemple "vider les arçons" = tomber de sa monture.

Les éditeurs, bien souvent, manquent à leur devoir d'éditeur.

Sous le règne de Louis XI, un jeune noble écossais désargenté arrive en France. Il va se retrouver mêlé aux intrigues entre le roi et la Bourgogne, dans une atmosphère de complots et de suspicion.

J’ai été attirée par ce livre, car j’y voyais un roman d’aventures se passant au Moyen Âge, mêlant l’épique à l’Histoire.

Malheureusement, j’ai trouvé les personnages archétypaux voire insipides. J’ai eu le même sentiment en lisant le livre le plus connu de l’auteur, Ivanhoé. C’est dommage, avec une telle matière : une époque que souvent nous connaissons mal.

J’ai souvent soupiré pendant la lecture. Les livres de l’auteur ont très mal vieilli : des héros très (trop) chevaleresques, des nobles dames évanescentes voire transparentes, des méchants très méchants .... On ne ressent rien pour les personnages, et les rebondissements sont aberrants. Dans le même genre, Alexandre Dumas sait beaucoup mieux susciter l’enthousiasme.

Je n'ai pas trop aimé ce livre, peut-être est-ce l'époque, le style d'écriture... Je n'en sais rien à part que l'histoire n'est pas passionnante même si je sais que Walter Scott a fait son possible pour rendre son époque plus captivante.

une réelle surprise puisque j avais en tête l'excellent téléfilm de 1971. si le dialogue est plus polissée ainsi que la romance et l'aventure moins présente, je n'ai pu qu'aimer. Le contexte historique est très présent ce qui me fait tirer mon chapeau, cette capaciter qu'a Walter Scott de mêler vrai et fiction est impressionnant!

j'ai du lire ce livre pour le français et ça ne m'a pas passionnée!

Un grand roman divertissant, pour les amateurs d'histoire et d'aventure !

Dans son roman datant de 1823, Scott amène un sympathique écossais dans la France de Louis XI du quinzième siècle. C'est d'ailleurs un des rares écrivains qui rend ce souverain sympathique.

Quand un écrivain du XIX° plaçait son histoire à l'étranger, le contexte historique était particulièrement détaillé et précis, quasi un traité d'histoire. Alexandre Dumas eut la même approche avec "La Tulipe Noire". Paru en 1850, ce roman nous décrit minutieusement les Pays-Bas du dix-septième siècle.