Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 595
Membres
1 013 107

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

— Tu es chanceux, spontané, et ton ange gardien est surmené et certainement sous-payé.

— C’est vrai, hein ? Si mon ange entrait dans un bar, les autres anges seraient du genre : « Oh merde, c’est le pauvre type qui se tape Jory Harcourt. Regarde-le, il a recommencé à boire ».

Afficher en entier

J’avançai jusqu’à mon chalet et allumai les lumières. J’avais de la chance que le porche soit ouvert, sinon je me serais retrouvé bloqué dehors et… je ne savais pas qu’un cafard pouvait être aussi gros.

Bordel de merde !

Et comme je me calmais tout juste de cette surprise, il s’envola.

S’envola.

Comme une chauve-souris.

Après une bonne minute de panique à l’idée qu’il puisse atterrir sur moi, je me dis que si c’était le cas je devrais me passer le corps à la chaux, mais je me calmai, attrapai une chaussure et après l’avoir poursuivi, beaucoup sauté sur le lit, et avoir allumé toutes les lampes de la pièce, je finis par le frapper, puis l’étourdir et enfin le tuer. Bon sang. Et je me souvins soudain avoir lu quelque part que ces trucs pouvaient vivre genre une semaine sans leur tête, donc je le jetai dans les toilettes et tirai la chasse. Je me lavai les mains au moins cinq fois, puis pris une douche. Sérieusement, ce truc faisait au moins dix centimètres. Peut-être sept.

Clairement plus de cinq.

Au moins trois.

Afficher en entier

La simple idée d’avoir des enfants avec Sam Kage me nouait l’estomac d’inquiétude. J’en avais envie, plus qu’il ne le savait. C’était la seule chose dont je ne m’inquiétais jamais et qui aurait probablement dû me terrifier le plus. Je voulais vraiment être le père de quelqu’un.

Afficher en entier

Hayes Fisher souriait largement.

— Quoi ? demandai-je en retirant mon écouteur gauche.

— Vous aimez le rock’n’roll ?

Je souris de toutes mes dents.

—Ouaip, comme le savez-vous ?

Il hocha la tête.

— J’adore Eric Clapton. Pourquoi n’ai-je pas cet album ?

Je haussai les épaules.

— Je ne sais pas. D’après ce que j’ai pu voir, vous n’avez pas de bonne musique.

Michelle grogna.

— Excusez-moi ?

Les traits de monsieur Fisher se crispèrent et il fronça les sourcils.

Et juste comme ça, j’avais réussi à lui taper sur les nerfs. J’avais vraiment un don. Je jetai un coup d’œil à Michelle.

— En général, je ne parle pas aux clients pour cette raison-là.

Afficher en entier

- Bien, donc la chose la plus cool quand on sait conduire, c'est que si vous vous ridiculisez à un feu, par exemple que vous calez, que vous avancez trop dans l'intersection, que vous ne tournez pas jusqu'à ce que quelqu'un vous klaxonne, n'importe quoi, cela n'a pas d'importance parce que quand vous atteindrez le feu suivant, vous serez avec un nouveau groupe de conducteurs qui ne vous connaissent ni d'Ève ni d'Adam. Vous serez nouveau. Juste un autre connard dans une voiture, en train de conduire comme eux. J'adore ça. C'est comme si on recommençait à chaque feu rouge.

Il me dévisageait.

- C'est cool, non ?

J'agitai les sourcils à son attention. Ses yeux d'une belle nuance bleu ciel étaient rivés aux miens.

- Alors prenons un nouveau départ. Je suis désolé d'avoir insulté votre manque total d'intérêt envers votre propre maison, et vous me pardonnerez cette analyse trop franche de votre échec colossal. Qu'en pensez-vous ?

Afficher en entier

Apparemment, en choisissant de foncer sur Shane, j’avais marqué plein de points. Comme je le disais souvent aux gens, mon cerveau fonctionnait vraiment, et je faisais des choix conscients. Seulement personne ne me croyait jamais.

Afficher en entier

Il ramassa la chose la plus proche de lui et s’en servit pour ponctuer ses menaces.

— Je fais vais te faire jeter dans une prison fédérale…

— Tu me menaces avec un fouet de cuisine, soulignai-je d’un ton sarcastique.

— C’est une enquête en…

— Un fouet de cuisine, répétai-je en écarquillant les yeux.

Il jeta l’ustensile vers moi et je l’évitai facilement en m’écartant de sa trajectoire.

Afficher en entier

Nous devions grimper une échelle pour monter à bord, toutefois, et quand Cristo ricana en dessous de moi, je lui demandai ce qui était si drôle.

— Rien de drôle, m’assura-t-il, je profite juste de la vue.

Je me penchai et lui donner une pichenette au front.

— Aïe, dit-il en riant et frottant entre ses sourcils. Bon sang, tu es vraiment un trou du cul.

— Exactement, alors arrête de regarder le mien.

Afficher en entier

AU COURS de ma vie, on m’a kidnappé deux fois, tiré dessus, poursuivi en voiture et capturé en pleine rue. Cela vous immunise un peu aux expériences surréalistes. À cause de ça, mon frère Dane est persuadé que ma capacité à détecter les situations étranges est un peu bancale. C’est possible. Les trucs que d’autres personnes, des gens normaux, trouveraient fous ou horrifiants ne me dérangent pas vraiment, alors de temps à autre, j’ai des difficultés à faire la différence entre un petit grain de folie et une psychose sévère.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode