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Extrait ajouté par Ufulu-mzimu 2017-09-06T13:19:53+02:00

— Je pense que tu as tort. Je pense que dans la vraie vie la magie se produit tous les jours, dit-il, roulant au-dessus de moi et me regardant dans les yeux. Mais même si ce n’est pas le cas, qui s’en soucie ? Je n’ai pas besoin d’un ‘heureux pour toujours’, J, j’ai juste besoin de la partie ‘pour toujours’ ; peu importe l’adjectif. Des hauts et des bas pour toujours, parfois des moments difficiles pour toujours, ou dingues pour toujours… je m’en fous. Tant que tu restes près de moi, nous ferons simplement du mieux que nous pourrons, jour après jour.

Les larmes me montèrent aux yeux et il devint flou.

— Seigneur, ce que tu as le cœur tendre, dit-il en riant et en essuyant les larmes qui coulaient sur mes tempes. Et bébé… ne laisse jamais personne te dire que tu n’es pas une princesse.

— Oh, va te faire foutre, Kage ! dis-je en le poussant.

Quand il me cloua au lit et m’embrassa à en perdre haleine, je crus que mon cœur allait s’arrêter. Mais… battre pour Sam Kage était sa fonction principale.

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Extrait ajouté par MaevaCerise 2018-07-07T03:21:34+02:00

— Il est juste inquiet pour toi.

— C’est gentil, mais je ne suis plus un gamin, non ? En fait, je suis un adulte.

— Tu as quoi maintenant ?

— Je ne compr… tu veux dire, quel âge j’ai ?

— Ouais.

— J’ai vingt-six ans. Il fit un petit bruit de gorge.

— Et quel âge a Sam ?

— Il a trente-huit ans – trois ans de moins que Dane.

— Tu t’inquiètes de la différence d’âge entre Sam et toi ?

— Non. Je pense que je suis en fait plus vieux que lui – je suis plus mature.

— Ouais, entrer par effraction dans une maison sombre au milieu de la nuit est très mature.

— Va te faire voir.

Il se moqua de moi et je me concentrai sur la route.

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Extrait ajouté par Ufulu-mzimu 2017-09-06T13:15:49+02:00

— Que fais-tu ?

— Je dois y aller.

— Non, gémit-il. Tu as promis que tu resterais ici avec moi pour toujours.

Je ris, remontant la glissière de la deuxième botte.

— Je n’ai jamais dit une telle chose.

Il émit un son à mi-chemin entre un soupir et un gémissement.

— Sam, dis-je doucement en me levant pour mettre ma chemise avant de réaliser que c’était inutile puisque je ne pouvais plus la boutonner. Merde ! J’ai besoin d’un pull ou d’un tee-shirt, peu importe.

— J’ai besoin de mon arme, grommela-t-il.

Il ouvrit les yeux en grand pour essayer de se réveiller.

— Une balle te ralentira un peu.

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Extrait ajouté par MaevaCerise 2018-07-07T02:17:18+02:00

— Tu sais, je réfléchissais, dit-il en s’asseyant à côté de moi et en me frottant le bras. Je t’ai vraiment poussé dans tout ça et je n’ai même pas pris le temps de penser aux implications pour toi.

Je plissai les yeux.

— Et ?

— Je suis désolé, dit-il doucement en se penchant pour m’embrasser la gorge. Mais je ne peux pas faire autrement.

— Cela me rend en fait très heureux.

— Bien, parce que, comme je l’ai dit, je dois t’avoir avec moi.

Je levai les yeux vers lui.

— Donc, tu devrais vraiment emménager parce que tu vas devoir te mettre à cuisiner.

Il me fallut une seconde pour comprendre ce qu’il disait.

— Je suis désolé… Quoi ?

Il rit, puis se pencha et m’embrassa si fort que j’en restai étourdi.

— Tu cuisines le mardi, le jeudi et le samedi. Je cuisine le lundi, le mercredi et le vendredi.

— Quoi ?

Son baiser m’avait grillé le cerveau.

— Et le dimanche ma mère cuisine, poursuivit-il comme si je suivais ce qu’il disait.

— Sam… quoi ?

— Ouais. C’est parfait. Nous ne pouvons pas nous permettre de manger dehors tous les soirs alors… je serai à la maison entre dix-huit et dix-neuf heures. Si je devais être en retard, je t’appellerai.

— D’accord. — Alors, tu devras être là.

— Quoi ?

— Puisque tu dois cuisiner.

J’eus droit à un sourire étincelant.

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Extrait ajouté par MaevaCerise 2018-07-06T23:28:23+02:00

Sa mine renfrognée n’aurait pas pu être plus sombre.

— J’étais sérieux à l’intérieur. Je veux te ramener chez moi.

Je haussai les épaules.

— Eh bien, j’étais sérieux aussi, alors… non.

Nous restâmes là à nous regarder l’un l’autre, et quand finalement il fit un pas vers moi, je reculai d’un autre.

— Je peux t’y obliger si je le veux.

— C’est certain, acquiesçai-je.

Les muscles de sa mâchoire se contractèrent visiblement.

— Est-ce que je peux juste dire quelque chose avant que tu t’en ailles ?

Je plongeai dans ses yeux bleus ombrageux et il s’avança. Il leva sa main, qu’il porta à ma poitrine pour la poser sur mon cœur.

— Je te veux, rien que toi, et pas seulement pour ce soir.

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Extrait ajouté par PlumKreole 2016-04-19T15:44:50+02:00

Mais je devais le lui expliquer. Lui expliquer qu’il était courageux de tout risquer par amour, parce que m’aimer avait changé la façon dont il se voyait, avait changé ses relations avec sa famille et ses amis, avait remis tout ce qu’il savait en question. Il m’aimait plus que lui-même, et c’était si rare à trouver. J’étais encore tout retourné de ce qui s’était passé plus tôt et réalisai que j’avais du mal à rester maître de moi. Les larmes me montaient aux yeux, et Sam s’arrêta soudain et me prit dans ses bras. Il me serra fort contre lui, me plaquant contre son corps. Je lui dis, comme je le faisais souvent, que je l’aimais, et il me répondit qu’il le savait, qu’il l’avait toujours su, même lorsque je lui disais que ce n’était pas vrai.

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Extrait ajouté par Drinesan14 2022-11-02T14:29:30+01:00

- S'ils veulent le faire, ils le feront, J. Je ne peux rien y changer. Mais je peux te ramener à la maison ce soir et tous les autres soirs et c'est tout ce qui importe vraiment.

(dialogue de Sam)

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Extrait ajouté par Drinesan14 2022-11-02T14:28:01+01:00

- Je me souviens que tu étais là, sur le béton avec ce chien stupide, et j'ai pensé... il est à moi. Il m'appartient. C'était la chose la plus étrange... et cela n'avait aucun sens, mais c'est pour ça que je te suivais partout, et c'est pour ça que je ne pourrais jamais te laisser partir... j'ai su alors, à cet instant précis, au milieu de la rue, que tu m'appartenais... et que tu étais censé être avec moi.

(dialogue de Sam)

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Extrait ajouté par Drinesan14 2022-11-02T14:25:24+01:00

- Tu as besoin d'un homme qui peut te dominer J, purement et simplement.

(dialogue entre Sam et Jory)

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Extrait ajouté par lavienlivre 2021-06-21T00:13:34+02:00

Je me tournai et regardai Sam.

— Quoi ?

— Ils pensent tous que je vais finir par te laisser pleurer dans ton café parce que tu es vieux.

— Je ne suis pas… va te faire foutre, J, je ne suis pas vieux ! Je n’ai même pas quarante ans.

— Non, tu ne l’es pas.

— Je n’aurais pas quarante ans avant trois ans !

— Deux ans, le corrigeai-je. Tu as déjà fêté ton anniversaire cette année. Tu as trente-huit ans.

Il me regarda.

— Quoi ?

— Tu te souviens de la date de mon anniversaire ?

— Bien sûr… c’était en août.

— Je ne savais pas que tu…

— Tu es douze ans plus âgé que moi.

Il fronça les sourcils et j’eus droit à un grognement.

— Je ne suis pas vieux.

Je ne pus effacer le sourire sur mon visage, ma vie en aurait elle dépendu.

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