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Commentaires de livres faits par ReadByMoonlight

Extraits de livres par ReadByMoonlight

Commentaires de livres appréciés par ReadByMoonlight

Extraits de livres appréciés par ReadByMoonlight

date : 24-05-2019
CLYTEMNESTRE : Malheur à moi ! voilà le serpent que j'ai enfanté et nourri.
ORESTE : Elle était vraiment prophétique, la terreur que t'inspiraient tes songes. Tu as tué celui que tu n'aurais pas dû tuer, souffre donc ce que tu ne devais pas souffrir.
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Une nation dont l'économie repose sur le droit de propriété et la liberté de commercer ne peut que défendre l'instauration d'un système international ouvert dans lequel les Américains seraient libres de commercer avec qui ils le souhaitent. Par ailleurs, face aux puissantes nations européennes, il était prudent de proclamer l'adhésion à des principes de paix et de neutralité seuls à même de protéger le pays en le plaçant d'emblée hors du jeu des rapports de force mondiaux tout en y participant comme nation neutre. Néanmoins, les premiers diplomates américains en relation étroite avec les Européens, tels Benjamin Franklin, John Jay, ou John Adams, avaient une conscience aiguë du fait que l'un des objectifs principaux d'une nation était de défendre ses intérêts par l'usage de la force si cela s'avérait nécessaire.
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J'ai contenu des émotions à briser l'âme, et je me suis couvert d'un masque souriant, moi dont le cœur haletait et brûlait.
(Octavie)
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Les facultés de l'esprit qu'on définit par le terme analytiques sont en elles-mêmes fort peu susceptibles d'analyse. Nous ne les apprécions que par leurs résultats. Ce que nous en savons, entre autres choses, c'est qu'elles sont pour celui qui les possède à un degré extraordinaire une source de jouissances des plus vives. De même que l'homme fort se réjouit de son aptitude physique, se complait dans les exercices qui provoquent les muscles à l'action, de même l'analyste prend sa gloire dans cette activité spirituelle dont la fonction est de débrouiller.
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date : 24-05-2019
LE CHŒUR :
Quand il eut accepté la sangle du destin,
un vent mauvais d'impiété
lui retourna l'esprit :
Pureté, sainteté ne lui sont plus de rien ;
son cœur n'est plus le même: il est déterminé,
dès lors, à tout oser.
... Oui, il osa se faire
sacrificateur de sa fille !
Il osa un pareil recours
pour sauver une guerre
dont l'enjeu n'était qu'une femme
et pour sceller les accordailles
de ses vaisseaux avec la mer !
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Ce sang pur est sans comparaison avec la saloperie qu'on nous a transfusé au palais !
- Arrête Karmin. Ça ne me fait plus rire du tout...
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On dit même que ce genre de satellites d'étude des planètes est armé d'un puissant rayon de combat qui se propage à la vitesse de la lumière... avec une action immédiate et une précision de 2 millimètres au sol !
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date : 24-05-2019
Je me trouve dans un engagement qui m’embarrasse: Je suis embarquée dans la vie sans mon consentement. Il faut que j'en sorte: cela m'assomme.
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C'est comme si chacune des étapes que nous traversons voulait nous dépouiller d'une part du mal qui est en nous.
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L’année 1492 sonne comme une date majeure dans l’histoire du monde : la rencontre entre l’Europe et le continent américain, sous la bannière dressée par Christophe Colomb. C’est aussi la première mondialisation, c’est-à-dire la possibilité de considérer l’ensemble des terres dans le monde. De ce contact, deux conséquences sont directement appréciées.
Le premier retentissement concerne la découverte, pour les Européens, de différents peuples qui semblent vierges de civilisation et de religion. Ces populations constituent autant de brebis égarées à convertir dans la foi catholique, alors que la menace musulmane se fait pressante et les dissensions au sein du christianisme augmentent.
La seconde conséquence est l’extension de l’Ancien Monde. Les royaumes d’Espagne et du Portugal sont les premiers à être autorisés, par le pape, à s’installer dans les espaces américains. D’autres grandes puissances européennes, comme les royaumes de France et d’Angleterre et, plus tard, la République des Provinces-Unies, cherchent, au cours du XVIe siècle, à s’implanter dans le Nouveau-Monde, de manière éphémère ou durable.
Ce livre retrace les conséquences de cette rencontre, notamment la manière dont les Européens parviennent à s’implanter, parfois après de vaines tentatives, sur un espace de convoitises et de rivalités.
Le siècle de la conquête et de l’appropriation des Amériques bouleverse profondément les deux protagonistes, l’Ancien et le Nouveau-Monde. La vision de la conquête à la fin de ce siècle contribue à créer une image persistante des nations conquérantes
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Qui pourrait ne pas frémir en songeant aux malheurs que peut causer une seule liaison dangereuse ! et quelles peines ne s'éviterait-on point en y réfléchissant davantage !

(Lettre CLXXV, madame de Volanges à madame de Rosemonde)
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Or, est-il vrai, Vicomte, que vous vous faites illusion sur le sentiment qui vous attache à Madame de Tourvel ? C'est de l'amour, ou il n'en exista jamais : vous le niez bien de cent façons ; mais vous le prouvez de mille.

(Lettre CXXXIV, la marquise de Merteuil au vicomte de Valmont)
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Je demeurai plus de vingt-quatre heures la bouche attachée sur le visage et sur les mains de ma chère Manon. Mon dessein était d'y mourir; mais je fis réflexion, au commencement du second jour, que son corps serait exposé, après mon trépas, à devenir la pâture des bêtes sauvages. Je formai la résolution de l'enterrer et d'attendre la mort sur sa fosse. J'étais déjà si proche de ma fin, par l'affaiblissement que le jeûne et la douleur m'avaient causé, que j'eus besoin de quantité d'efforts pour me tenir debout. Je fus obligé de recourir aux liqueurs que j'avais apportées. Elles me rendirent autant de force qu'il en fallait pour le triste office que j'allais exécuter. Il ne m'était pas difficile d'ouvrir la terre, dans le lieu où je me trouvais. C'était une campagne couverte de sable. Je rompis mon épée, pour m'en servir à creuser, mais j'en tirai moins de secours que de mes mains. J'ouvris une large fosse. J'y plaçai l'idole de mon cœur après avoir pris soin de l'envelopper de tous mes habits, pour empêcher le sable de la toucher. Je ne la mis dans cet état qu'après l'avoir embrassée mille fois, avec toute l'ardeur du plus parfait amour. Je m'assis encore près d'elle. Je la considérai longtemps. Je ne pouvais me résoudre à fermer la fosse. Enfin, mes forces recommençant à s'affaiblir et craignant d'en manquer tout à fait avant la fin de mon entreprise, j'ensevelis pour toujours dans le sein de la terre ce qu'elle avait porté de plus parfait et de plus aimable. Je me couchai ensuite sur la fosse, le visage tourné vers le sable, et fermant les yeux avec le dessein de ne les ouvrir jamais, j'invoquai le secours du Ciel et j'attendis la mort avec impatience. Ce qui vous paraîtra difficile à croire, c'est que, pendant tout l'exercice de ce lugubre ministère, il ne sortit point une larme de mes yeux ni un soupir de ma bouche. La consternation profonde où j'étais et le dessein déterminé de mourir avaient coupé le cours à toutes les expressions du désespoir et de la douleur Aussi, ne demeurai-je pas longtemps dans la posture où j'étais sur la fosse, sans perdre le peu de connaissance et de sentiment qui me restait.
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Je me serais donné mille fois la mort, si je n'eusse pas eu, dans mes bras, le seul bien qui m'attachait à la vie. Cette seule pensée me remettait. Je la tiens du moins, disais-je; elle m'aime, elle est à moi.
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Si vous jugez sur les apparences en ce lieu-ci, répondit madame de Chartres, vous serez souvent trompée : ce qui paraît n'est presque jamais la vérité.
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Vous m’avez donné de la passion dès le premier moment que je vous ai vue ; vos rigueurs et votre possession n’ont pu l’éteindre : elle dure encore : je n’ai jamais pu vous donner de l’amour, et je vois que vous craignez d’en avoir pour un autre. Et qui est-il, madame, cet homme heureux qui vous donne cette crainte ? depuis quand vous plaît-il ? qu’a-t-il fait pour vous plaire ? quel chemin a-t-il trouvé pour aller à votre cœur ? Je m’étais consolé en quelque sorte de ne l’avoir pas touché, par la pensée qu’il était incapable de l’être. [...] La confiance et la sincérité que vous avez pour moi sont d’un prix infini : vous m’estimez assez pour croire que je n’abuserai pas de cet aveu. Vous avez raison, madame, je n’en abuserai pas, et je ne vous en aimerai pas moins. Vous me rendez malheureux par la plus grande marque de fidélité que jamais une femme ait donnée à son mari.
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date : 24-11-2018
L'histoire est entièrement vraie puisque je l'ai imaginée d'un bout à l'autre.
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date : 24-11-2018
On se rappelle beaucoup mieux les bons moments; alors, à quoi servent les mauvais ?
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date : 24-11-2018
Il n'y a pas de principes, il n'y a que des événements ; il n'y a pas de lois, il n'y a que des circonstances : l'homme supérieur épouse les événements et les circonstances pour les conduire.
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date : 24-11-2018
Ah ! sachez-le : ce drame n'est ni une fiction, ni un roman. All is true, il est si véritable que chacun peut en reconnaître les éléments chez soi, dans son coeur peut-être.
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date : 24-11-2018
Elle supplia sa tante de la laisser dormir. La vieille dame s'en alla comme elle était venue, sans faire de bruit.
Les deux amants riaient en silence, s'embrassèrent avec une violence passionnée.
- Tu vois bien, dit Thérèse triomphante, que nous ne craignons rien ici...Tous ces gens-là sont aveugles : ils n'aiment pas.
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date : 24-11-2018
"Rien n’est plus douloureusement calme qu’un crépuscule d’automne. Les rayons pâlissent dans l’air frissonnant, les arbres vieillis jettent leurs feuilles. La campagne, brûlée par les rayons ardents de l’été, sent la mort venir avec les premiers vents froids. Et il y a, dans les cieux, des souffles plaintifs de désespérance. La nuit descend de haut, apportant des linceuls dans son ombre."
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date : 24-11-2018
Et nous jurâmes, car, enfants que nous étions, tout ce qui était plus solennel et plus sérieux que nature nous séduisait.
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date : 24-11-2018
A terre, tout s'arrangea comme dans un rêve. Tandis que les enfants courraient avec des cris de joie, que les groupes se formaient et s'éparpillaient à travers bois, Meaulnes s'avança dans une allée, où, dix pas devant lui, marchait la jeune fille. Il se trouva près d'elle sans avoir eu le temps de réfléchir :
« Vous êtes belle », dit-il simplement.
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Alors, la Propriété monta dans les respects au niveau de la Religion et se confondit avec Dieu. Les attaques qu’on lui portait parurent du sacrilège, presque de l’anthropophagie. Malgré la législation la plus humaine qui fut jamais, le spectre de 93 reparut, et le couperet de la guillotine vibra dans toutes les syllabes du mot République ; ce qui n’empêchait pas qu’on la méprisait pour sa faiblesse. La France, ne sentant plus de maître, se mit à crier d’effarement, comme un aveugle sans bâton, comme un marmot qui a perdu sa bonne.
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À force d’écrire quotidiennement sur toutes sortes de sujets, de lire beaucoup de journaux, d’entendre beaucoup de discussions et d’émettre des paradoxes pour éblouir, il avait fini par perdre la notion exacte des choses, s’aveuglant lui-même avec ses faibles pétards. Les embarras d’une vie légère autrefois, mais à présent difficile, l’entretenaient dans une agitation perpétuelle ; et son impuissance, qu’il ne voulait pas s’avouer, le rendait hargneux, sarcastique. À propos d’Ozai, un ballet nouveau, il fit une sortie à fond contre la danse, et, à propos de la danse, contre l’Opéra ; puis, à propos de l’Opéra, contre les Italiens, remplacés, maintenant, par une troupe d’acteurs espagnols, » comme si l’on n’était pas rassasié des Castilles !
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