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Liste des extraits

J’ai regardé le fragment avec émerveillement, partagé entre l’exaltation et la déception. J’avais enfin découvert où était caché le premier fragment. Mais après trois ans d’efforts, je n’y étais pas arrivé tout seul. Il avait fallu qu’on me conduise jusqu’ici, comme un noob qui suit pas à pas chaque étape d’une procédure. J’avais dû acheter la victoire comme un Sixer paumé au lieu de la remporter seul, ou avec l’aide de mes amis…

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Spoiler(cliquez pour révéler)Il avait toutefois la capacité de scanner le cerveau du porteur et de créer une copie numérique de sa conscience.

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C’était l’une des nombreuses choses qui rendaient difficile la navigation en Terre du Milieu : tout, personnes comprises, avait au moins deux ou trois noms différents, chacun dans une langue imaginaire. C’était donc confus, même pour un gros geek comme moi.

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Spoiler(cliquez pour révéler)En regardant M. Johnson/John Hughes ramasser son journal du matin puis rentrer chez lui, je n’ai pu m’empêcher de penser à Anorak, le fantôme numérique d’un créateur mort, laissé derrière lui pour hanter à jamais sa propre création.

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Life is a wonderful game, we play and play…

La vie est un jeu merveilleux, nous jouons et jouons encore...

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It’s cool to use the computer, don’t let the computer use you…

There is a war going on.

The battlefield’s in the mind.

And the prize is the soul.

« C’est cool de se servir d’un ordinateur, ne laissez pas l’ordinateur vous asservir.

Une guerre bat son plein.

La bataille se joue dans l’esprit.

Et l’âme en est le prix. »

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Mon amie Kira disait toujours que la vie, c’est comme un jeu vidéo d’une extrême difficulté, terriblement déséquilibré. À la naissance, on nous donne un personnage dont le nom, la race, le visage et la classe sociale sont déterminés aléatoirement. Notre corps est notre avatar et nous naissons dans une zone géographique aléatoire, à un moment aléatoire de l’histoire de l’humanité, entourés par un groupe de gens tout aussi aléatoire. Ensuite, il faut survivre aussi longtemps que possible. Le jeu paraît parfois simple, et même amusant. Mais il arrive qu’il soit si difficile que l’on a envie de tout laisser tomber et de se déconnecter. Mais malheureusement, dans ce jeu-là, on n’a qu’une seule vie. Lorsque notre corps a trop faim ou trop soif, qu’il est malade, blessé ou vieux, notre jauge de vie s’épuise et la partie est terminée ! Game over ! Certains jouent pendant une centaine d’années sans jamais se rendre compte qu’il s’agit d’un jeu ni même qu’il y a une manière de l’emporter. Pour gagner au jeu de la vie, il faut faire en sorte que cette expérience forcée soit aussi agréable que possible pour nous-mêmes, comme pour tous les autres joueurs rencontrés au fil de nos voyages. Selon Kira, si on jouait tous pour gagner, ce serait bien plus amusant pour tout le monde.

Almanach d’Anorak

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- Tout comme Marty McFly, je me suis réveillé pile à 10h28, au son de « Back in Time » de Huey Lewis and the News. Gracieuseté de ma radio flip clock d’époque – modèle Panasonic RC-6015, celui que possède Marty dans le film. Je l’avais fait modifier pour qu’elle diffuse ce morceau à l’heure même où il l’entend, juste après être enfin de retour dans le futur.

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Soudain, j’ai entendu un petit bip électronique. Je me suis aussitôt retourné vers l’œuf et j’ai vu rouge, littéralement, tandis que le faisceau d’un minuscule scanner rétinien vérifiait mon identité pour la seconde fois. C’est alors qu’un petit moniteur vidéo encastré dans la coquille de l’œuf s’est allumé, affichant le logo de GSS l’espace de quelques secondes, avant que ne vienne s’y substituer le visage fané de James Donovan Halliday. À en juger par son âge et ses traits émaciés, cette vidéo datait de peu de temps avant sa mort. Mais malgré son état, il n’avait pas eu recours à son avatar OASIS pour enregistrer ce message, contrairement à L’Invitation d’Anorak. Pour une raison quelconque, il avait cette fois-ci choisi d’apparaître en chair et en os, dans la lumière crue et sans pitié du réel.

– Le dispositif que tu tiens désormais entre tes mains est une interface neuronale OASIS, ou ONI, a-t-il indiqué en épelant chaque lettre : O-N-I. C’est la première interface cerveau-machine non invasive au monde. Elle permet aux utilisateurs de l’OASIS de voir, entendre, goûter et sentir l’environnement virtuel de leur avatar grâce à des signaux directement transmis au cortex cérébral. La batterie de capteurs du casque suit et interprète l’activité cérébrale du porteur, lui permettant de contrôler tout simplement par la pensée son avatar OASIS tout comme son corps physique.

– Pas possible ! ai-je murmuré.

– Tu n’as encore rien vu, a ajouté Halliday comme s’il m’avait entendu. Un casque ONI peut aussi enregistrer les expériences de celui qui le porte dans le monde réel. Toute donnée entrante que reçoit son cerveau est numérisée et stockée dans un fichier au format .oni sur un disque externe relié au casque. Une fois ce fichier téléversé dans l’OASIS, il est possible de rejouer et de faire revivre cette même expérience à la personne qui l’a enregistrée, ou à tout autre utilisateur de l’ONI avec lequel elle aura choisi de partager le fichier.

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“My friend Kira always said that life is like an extremely difficult, horribly unbalanced videogame. When you’re born, you’re given a randomly generated character, with a randomly determined name, race, face, and social class. Your body is your avatar, and you spawn in a random geographic location, at a random moment in human history, surrounded by a random group of people, and then you have to try to survive for as long as you can.”

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