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Justin Bieber chantait dans ma chambre. Qu’est-ce que c’est que ces conneries ? J’ai fixé le plafond en clignant des yeux, en faisant de mon mieux pour m’arracher au sommeil. Et trouver qui je devais tuer pour faire taire l’infâme gémissement. Au bout d’une éternité, le bruit a cessé. J’ai roulé sur le côté et plongé la tête sous l’oreiller. Qu’est-ce que j’ai fait pour mériter ce cauchemar ?

C’est à cet instant que le supplice a repris.

Putain, mon téléphone ! Au milieu de l’écran, une photo de Puck me montrant son majeur clignotait… Ouais, je reconnaissais ce doigt. Je l’avais vu au moins dix fois par jour pendant un an. Un genre de salut matinal de la part de mon pote de zonzon. J’ai pris la communication en fronçant les sourcils.

— Tu aimes ta nouvelle sonnerie ?

— Va mourir, connard, ai-je réussi à grommeler.

L’esprit encore embrumé, je n’étais pas au summum de l’inspiration en matière d’insultes.

— Oh, j’en connais un qui n’a pas trempé son biscuit cette nuit ! a-t-il répondu. (C’était comme si je le voyais en train de jubiler. Connard !) Pourtant, je t’ai vu partir avec Mel et tu n’es pas revenu. Tu me déçois, frangin.

[...]

Le petit Bieber a poussé la chansonnette encore une fois, polluant mon espace. Je vais buter Puck pour de bon, ai-je songé. Ça rendra service à la collectivité.

— Quoi encore ?

— Rien. Je me suis dit que ça te ferait plaisir d’entendre la chanson.

— Je te hais.

— Je sais.

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“I’d fallen in love with Melanie Tucker.

Not some little-boy, bullshit needy “love”… This was deep, almost painful in its unholy intensity. It was like she’d sent tendrils burrowing deep inside, binding us together so tightly I’d die if I ever tried to pull them out.

I was truly, deeply, and utterly fucked, because I fucking loved this girl…and she wasn’t for me.”

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— Je ne sais pas quoi mettre. Je peux t’emprunter quelque chose ?

Sans rien dire, Jessica s’est mise à tourner lentement autour de moi, l’œil critique.

— Je peux faire quelque chose, a-t-elle dit finalement. Mais j’exige une obéissance absolue, petit scarabée.

— Laisse tomb…

— Silence ! a-t-elle aboyé en brandissant une main, la paume tournée vers moi. Ne me distrais pas. J’ai une image qui me vient… Il faut quelque chose de vraiment spécial. Quelque chose qui lui fasse regretter de t’avoir mis un vent.

Tu ne vas pas faire l’idiote et retourner à lui en rampant.

— Pour commencer, je n’ai jamais été avec lui.

— Raison de plus pour faire ça bien, a-t-elle dit. Si tu vas là-bas, il faut que tu sois canon. Une vraie bombasse. Je te jure, rien qu’à te voir, il va envoyer la sauce. Après, tu pourras le faire ramper et rentrer à la maison.

Beuh…

— Mais je n’ai pas envie qu’il fasse une chose pareille.

La tête inclinée sur le côté, elle m’a accordé un petit sourire narquois.

— Tiens donc ? C’est à qui le tour d’être en plein déni maintenant ?

J’ai poussé un soupir. Cette garce avait parfaitement raison.

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Je fixais le dos de Mel en me demandant si j’avais bien compris ce qu’elle venait de dire. Putain, ouais ! Bien sûr que je voulais qu’elle l’enlève.

Pour l’art, bien sûr.

Cela n’avait rien à voir avec un quelconque comportement d’érotomane en rut. Pas du tout.

— Ouais, c’est une bonne idée, ai-je répondu d’un ton détaché, en entreprenant de le dégrafer de la main gauche avant qu’elle change d’avis.

Merde ! J’aurais plutôt dû poser le pinceau pour utiliser mes deux mains. Inutile de claironner que j’étais expert en ce domaine. Mélanie n’a rien dit. Elle est restée sagement assise pendant que je faisais glisser tour à tour chacune des bretelles, posant seulement les mains sur ses seins pour maintenir son sous-vêtement.

Son dos nu, légèrement musclé, s’offrait à moi comme une toile parfaite. Resserré à la taille, il s’évasait ensuite au niveau des hanches. Le short en jean qu’elle portait bâillait à la hauteur de ses reins, révélant le haut d’une culotte de satin noir. Oh, putain ! Je l’espérais aussi belle que le soutien-gorge qu’elle venait de retirer, un truc absolument parfait, à la fois sexy et délicat, presque virginal en comparaison de ceux que portaient la plupart de mes connaissances. Pourtant, Mel n’était pas vierge… J’avais déjà poussé assez loin les reconnaissances pour savoir qu’elle avait une certaine expérience.

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Prologue :

— Putain de merde, a lâché Horse, le regard fixé sur un point à l’autre extrémité du bar.

J’ai suspendu mon geste, la bière à mi-chemin en direction de ma bouche.

— Painter, frangin, reste calme.

C’est à cet instant que je l’ai vue.

Mélanie Tucker.

Non ! Ce n’est pas possible. J’hallucine…

Ouais, c’était sûrement ça, parce que je n’imaginais pas un monde réel dans lequel elle serait assez stupide pour faire une chose pareille. J’ai laissé ma canette aller se fracasser par terre pour marcher droit sur elle. Le monde entier s’était étréci jusqu’à n’être plus qu’un point unique. Dans mon champ de vision brouillé tout était devenu rouge.

— Mollo, fils, a grondé Picnic.

Lui, je le respectais plus que quiconque et je l’aimais comme un père. Mais,

à cet instant précis, le président du Reapers MC n’aurait absolument rien pu faire pour me retenir. Tout ça parce que la mère de ma fille était sur le seuil du clubhouse, les yeux écarquillés par la peur. Elle était en train de prendre la mesure de la connerie qu’elle venait de commettre.

Un homme se tenait à côté d’elle. Un biker. Contre elle ? Mais ouais. Avec un bras autour de sa taille, il la tenait serrée contre lui comme si elle lui appartenait.

Il avait osé poser les mains sur ma Mélanie.

Sauf qu’elle n’était plus à moi et depuis un bail déjà.

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Dans la grande pièce, il s'est arrêté près de la table pour examiner mes quelques essais bien peu concluants.

-Qu'est-ce que c'est censé être? Un écureuil en train de niquer un dinosaure?

Avec un soupir, je me suis penchée sur la feuille. J'avais la ferme intention de le prendre de haut, mais en toute sincérité l'écureuil avait bien l'air de faire des choses au dinosaure.

-C'est une coccinelle.

Silence.

Ignorant mon visiteur, je me suis assisse. Du bout de l'index, J'ai fait rouler le pinceau que je commençais à prendre en horreur.

-C'est atroce, a-t-il dit.

-Je sais.

-C'est vraiment mauvais. Je ne sais pas comment on peut autant rater un dessin...

-Tu crois qu'ils vont pleurer? ai-je demandé, un peu nauséeuse.

Je crois qu'une partie de moi espérait secrètement que mes productions ne soient pas aussi affreuses qu'elles en avaient l'air.

-Qui? Les coccinelles? Mais tu ne leur as pas fait d'yeux, ma belle. Elles ne peuvent pas avoir de larmes. Cela dit, on peut légitimement supposer qu'elles pleurent intérieurement...

D'un geste de la main, je lui ai indiqué de se taire, en lâchant un petit rire malgré moi.

-Non, les enfants. Comment je vais faire pour dessiner sur leur visages alors que je n'y arrive même pas sur une feuille de papier?

Il a pris place au bout de la table, à ma droite.

-Ce n'est pas si compliqué, a-t-il dit.

Je l'ai fait taire en brandissant une main impérieuse.

-Regarde ces pauvres petites coccinelles en face quand tu dis ça. Tu trouves vraiment qu'elles évoquent la facilité?

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- Pourquoi es-tu là ? a demandé Mélanie après le départ de sa collègue.

J'avais dans l'idée qu'elle aurait voulu paraître solide et coriace, mais sa voix était plus pathétique qu'autre chose.

- Pour savoir ce qui s'est passé, ai-je répondu en examinant ses ecchymoses. Tu as vraiment une sale gueule.

- Va te faire mettre.

- Quand tu veut, mais je ne sais pas si tu es vraiment en forme pour ça aujourd'hui.

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