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C’est bizarre, je ne l’imaginais pas porter un nom aussi banal. Non, lui, c’était plutôt le genre de type que j’aurais volontiers imaginé en train d’arpenter les champs de bataille muni d’une immense hache et découpant ses ennemis, le visage couvert de sang, en poussant d’effroyables hurlements. Il aurait dû porter un nom viking ou à la rigueur écossais.

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Je la regardai s'éloigner doucement et ne pus m'empêcher de frissonner. Beth ne m'avait rien dit, mais c'était inutile. Ça sentait les grosses emmerdes à plein nez et elle allait me demander de plonger les mains dedans. Et avec le sourire en plus.

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-Elle est mortelle mais elle n'a ni coeur ni âme. Elle inflige la souffrance et invoque une justice ignorée. Elle est le glaive et la main qui la guide s'appelle vengeance. Ne la croise pas sur ton chemin car cruauté est son nom et ton sang son emblème.

C'est un extrait d'un poème sur les Vikaris, on l'enseigne dans les écoles de Gerle ad, sympa non?

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« - Qui es-tu ?

Je levais les yeux au ciel.

- Quelqu’un qui va te tuer si tu continues à poser des questions idiotes, répondis-je avec agacement.

- Elle n’a pas froid aux yeux, pas vrai Phil ? fit-il en me lançant un regard curieux.

- Ca ne va pas durer, fit le petit grasouillet

Quand on est con, on est con…

- Ca c’est sur, dis-je en souriant.

Une lumière rouge m’entoura d’un coup, je concentrai mon pouvoir de feu et envoyai sur le trapu vindicatif une boule d’énergie qui l’embrasa en quelques dixièmes de seconde.

- Poussière, tu redeviendras poussière et cætera, et cætera, dis-je en me retournant vers le grand brun.

- Salope, rugit-il en bondissant vers moi. »

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je me demandais si je devais rouler ou non sur le cadavre.

de tout façon, je ne pouvais pas le contourner.

la route bordée par les arbres était trop étroite et il était allonge en plein milieu de la chaussée.

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Extrait ajouté par anonyme 2013-08-07T12:05:08+02:00

"Elle est mortelle mais elle n'a ni cœur ni âme. Elle inflige la souffrance et invoque une justice ignorée. Elle est le glaive et la main qui la guide s'appelle vengeance. Ne la croise pas sur ton chemin car Cruauté est son nom et ton sang est son emblème."

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— Ralph Mayer.

— Et c’est un… ?

— Un ours-garou.

Il fallait vraiment avoir du cœur au ventre pour s’encombrer d’un bestiau pareil…

— Tu le connais ?

— Oui, malheureusement. D’ailleurs, je ne vois pas pourquoi Aligarh s’inquiète, Ralph est tellement insupportable que ses kidnappeurs risquent de le lui renvoyer dare dare…

Je ne pus m’empêcher de sourire.

— À ce point ?

— Tu n’as pas idée. Il est antipathique, bagarreur, alcoolique…

— … Ah bon. Il n’y a pas de quoi s’inquiéter alors.

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-Tu n'es vraiment qu’une petite conne arrogante et teigneuse, dit-il en français.

-Et toi un grand con suffisant. Tu vois, on fait la paire tous les deux! répondis-je dans ma langue natale.

Rebecca et Raphaël

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— Raphael, les sorcières comme moi ne servent que leurs propres intérêts. Nous vivons en marge de votre société et ça ne risque pas de changer. Je ne travaillerai jamais pour un Directum.

— Moi je le sais, mais d’autres pourraient ne pas comprendre ou, plutôt, ne pas vouloir le comprendre. Tu as une fille, non ?

Il avait dû apercevoir Leonora à travers la fenêtre de sa chambre.

— Elle te rend fragile, vulnérable au moindre chantage, ajouta-t-il.

–. C’est une menace ?

— Non, une constatation. Si tu choisis de rester, je te promets de ne pas révéler qui ou ce que tu es et de ne faire appel à toi qu’en cas d’absolue nécessité. Le marché me semble équitable, tu ne trouves pas ? demanda-t-il d’une voix douce.

Je savais qu’il ne mentait pas. S’il avait vraiment voulu m’empêcher de partir et me déférer devant le conseil, rien ne lui aurait été plus facile. Et la perspective de mettre fin à onze années de fuite et de déménagements n’était pas pour me déplaire.

J’étais épuisée, épuisée de devoir courir sans cesse et de vivre une vie de clandestinité et d’instabilité permanentes. D’ailleurs, je n’étais pas la seule. Leonora supportait de plus en plus difficilement de devoir continuellement abandonner son école, sa maison et ses amis…

— Qu’est-ce que tu appelles « une absolue nécessité » ?

Il y avait un piège. Avec les vampires, il y avait toujours un piège quelque part. J’étais bien placée pour le savoir.

— Disons que tu vas devoir me faire confiance sur ce point, fit-il d’un ton suave.

La dernière fois qu’un vampire m’avait demandé de lui faire confiance, ça avait brisé ma vie, je n’étais pas vraiment certaine de vouloir remettre ça.

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Beth m’attendait dehors près de la voiture en fumant une cigarette. Dès qu’elle m’aperçut, elle laissa éclater sa colère.

— Non mais j’y crois pas, quelle garce cette fille !

Pourquoi est-ce qu’elle ne m’a pas permis de voir la gosse avec toi ? Qu’est-ce qu’elle croit ? Que je m’amuse, peut-être ? Elles se prennent pour qui, ces pétasses de potioneuses ?

Je ne pus m’empêcher de sourire. Quand j’avais rencontré Beth, elle avait le côté pontifiant des profs de fac et s’exprimait de manière châtiée. Elle évoluait dans des milieux d’intellectuels et de gens raffinés. Je supposais que c’était sa manière à elle de nier la bête primaire et violente qui se tapissait dans le fond de son être. Mais ma mauvaise influence avait eu raison, au fil des ans, de sa bonne éducation et avait quelque peu enrichi son argot.

— Chaque clan a ses règles, Beth, dis-je d’une voix calme. Si je ne m’abuse, les loups sont même champions dans ce domaine.

— Non. Nous, on ne se serait jamais permis de faire ça. On a trop le sens de l’hospitalité.

— T’as raison. Pas plus tard qu’hier, un de tes petits copains a menacé de me violer puis ensuite de m’égorger parce que j’étais entrée sur votre territoire. Maurane, elle, au moins, m’a servi des petits gâteaux avant de tenter de me droguer avec son thé.

— Faut toujours que tu critiques, dit-elle en amorçant un sourire.

— Qu’est-ce que tu veux, c’est mon côté français, on n’est jamais content, dis-je d’un ton las.

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