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— Tu m'aurais laissé mourir, pas vrai Rebecca ?

J'ouvris les yeux et jetai instinctivement un œil au réveil. Je venais à peine de m'endormir.

— Qu'est-ce que tu fais là Michael ? fis-je, l'esprit embrumé.

— Je t'ai demandé si tu m'aurais laissé mourir...

Il me fallut de longues secondes pour réaliser que je ne rêvais pas et qu'il se trouvait bien là, près du lit à quelques centimètres de moi.

— Mais qu'est-ce que...

Sa colère irradiait dans l'air comme un nuage toxique et m'oppressait la poitrine.

— Qu'est-ce que tu viens faire ici ? dis-je en déglutissant.

— Je venais voir comment tu allais.

Je remarquai tout à coup le sang qui coulait le long de son menton. Ses yeux d'argent étaient pleins d'une rage froide et déterminée.

Je haussai les épaules.

— Certainement mieux que celui ou celle dont tu viens de te nourrir.

— Comment es-tu entré ?

— Je peux aller où bon me semble sans y être invité. Ça fait partie de mes dons, tu l'as oublié ?

D'habitude, les vampires devaient être invités pour pouvoir pénétrer dans une maison, mais Michael n'avait jamais vraiment eu besoin de se soucier de ce genre d'obligations. Ça m'était complètement sorti de l'esprit.

— Alors, tu comptais vraiment m'abandonner et me laisser brûler au soleil ?

Je ne pris pas la peine de le détromper.

— Oui.

Un éclair de souffrance traversa son regard.

— Tu me hais à ce point-là ?

— Tu en doutes ?

— Tu es cruelle, dit-il d'un ton amer.

— Non, sincère.

— Ça revient à la même chose.

— Souvent, oui, admis-je.

— Qu'est-ce que tu me reproches au juste ? D'être venu à ta rescousse ?

Je haussai les sourcils.

— Je ne t'ai rien demandé. Je ne te dois rien.

— C'est vrai. Mais quand j'ai entendu que Felipe ne comptait pas laisser sa garde intervenir et que j'ai appris que tu traquais un démon-loup, j'ai eu peur pour toi...

— Oh, arrête, Michael, ne me fais pas le coup des violons, pas toi. Tu avais simplement envie de te distraire et de me harceler par la même occasion.

Il recula en soupirant.

— Tu me juges coupable par nature, jamais tu ne cherches à savoir si ce que je compte faire est bien ou mal. C'est complètement irrationnel.

— Si tu sous-entends par là que je me méfie des vampires, tu n'as pas tout à fait tort.

— Je t'assure que je cherchais seulement à te protéger.

C'était peut-être vrai mais je m'en moquais. Je voulais simplement qu'il déguerpisse et vite avant qu'un drame se produise et qu'il croise le chemin de Leonora.

— Je veux que tu t'en ailles.

— Le soleil est en train de se lever, Rebecca, dit-il en fermant les volets.

— Tu comptes dormir ici ?!!!

— Je ne crois pas qu'il y ait d'autre solution. Mais si ça peut te rassurer, je ne vais pas m'écrouler tout de suite comme un jeune vampire, j'ai la force de résister encore quelque temps, dit-il d'un ton suave, en ôtant sa chemise.

Il était magnifique, ça je ne pouvais pas le nier. Il fallait être bien moins attirée par lui que je l'étais, pour ne pas être captivée par ses cheveux d'argent, son torse musclé et son visage d'une beauté stupéfiante.

— Non mais attends... tu es sérieux ? demandai-je, en le regardant s'allonger sur le lit.

Il eut un rire qui provoqua d'étranges frissons le long de ma colonne vertébrale.

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Beth était la Raani de la meute. Le bras droit de Gordon. Elle avait accédé à ce poste en terrassant un nombre incroyable d'adversaires. J'imaginais qu'elle pourrait sans peine relever un défi ou deux mais...

— Et Dante ?

— Quoi Dante ?

Je lui jetai un regard appuyé.

— Ne t'en fais pas. Dante ne me touchera pas.

- Pourquoi ? Tu as un mot du docteur disant que tu ne supportes pas la mort ?

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J'allais lui dire d'aller se faire foutre lorsque je sentis un mouvement imperceptible sous mes mains.

Un relent de lumière tentant de se frayer un chemin dans l'obscurité.

- Oh, non, fis-je en sondant le loup de ma magie.

Bruce n'était pas encore mort et étrangement, c'était une catastrophe. Je jetai un œil à la bête et aux ravages qu'elle était en train de provoquer sur les trois vampires qui étaient maintenant en train de s'automutiler et de dévorer leur propre chair, et je sentis soudain mon cœur sur le point de s'arrêter.

J'avais offert toutes les vies présentes à la bête et elle allait toutes les prendre.

Sans exception.

Sans retour possible.

je devais l'achever.

Je saisis la lame d'argent que j'avais fixée autour de ma cuisse et m'apprêtai à la poignarder lorsque la bête se rua sur moi.

Elle entoura Bruce en formant une barrière protectrice.

- Non. Il est à nous ! siffla-t-elle.

Ses yeux rubis me mettaient au défi de la contredire.

- Oui, il est à nous. Pas de la manière dont tu l'imagine, répondis-je. Je ne veux pas que tu lui fasses de mal.

- Pas mal, dit-elle. Morgane. Il est Morgane. Ne touche pas.

Je fronçais les sourcils.

- Tu veux dire que tu ne le prendras pas ?

- Non. Il est nous.

"Il est nous?" Non mais elle disjonctait ou quoi? A moins que...

- Il respire encore, je dois le sauver, fis-je en sondant l'état de son corps.

La bête et moi étions comme deux faces d'une même âme. Il n'était pas impossible que le lien métaphysique que je partageais avec le loup-garou l'ait affectée elle aussi.

- Toi sauve et moi prendre, dit-elle en tournant ses yeux de braise vers Pierre qui se mit à hurler à son tour.

"Sauve, sauve", elle n'avait qu'à le faire si c'était si facile...

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— Comment va-t-elle ? demanda Bruce.

— Elle réfléchit aux différentes manières de commettre un parricide pendant qu'elle prend son petit déjeuner, répondis-je d'un ton léger en l'installant près de lui sur son lit.

— Je ne voudrais pas te paraître étroit d'esprit, mais je ne suis pas sûr que ce soit une occupation très saine pour une fillette de dix ans, râla-t-il.

— Arrête d'être si conventionnel, ça devient chiant ! fis-je en posant ma tête sur sa poitrine.

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Oh, et puis zut ! Je ne sais pas comment te dire ca...

- Ouvre ta bouche, remue la langue et utilise tes cordes vocales. Ca me semble un bon debut, raillai-je

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- Tu es à moi, chuchota Raphael, en m'arrachant un cri qui n'avait rien avoir avec la douleur.

Même si je l'avais voulu, en cet instant précis, je n'aurais pas pu le nier. Je voulais me fondre en lui, en cette aura palpitante qui me captivait et provoquait une sensation d'extase dont un esprit mortel, dénué de magie, ne pouvait soupçonner l'existence.

- C'est toi qui m'appartiens, gis-je tandis que je le sentais se baigner du feu intérieur qui me dévastait et terrassait une bonne fois pour toutes, les barrières protectrices qui restaient encore entre nous.

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_l'ennui quand on sort avec un vieux,c'est qu'il veut toujours vous en mettre plein la vue.

_touché.

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- Alors, de quoi as-tu besoin ?

— Il me faut l'adresse de Dante.

— Passe me prendre. Je viens avec toi, grogna-t-il dans l'appareil.

— Il ne vaudrait mieux pas. Ça pourrait vous attirer des ennuis.

— Si on ne veut pas d'ennuis, il ne faut pas être Alpha, petite.

Là-dessus, je pouvais difficilement le contredire.

— À tout de suite.

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Ma grand-mère m'avait souvent répété durant mon enfance qu'on ne pouvait gérer correctement qu'une seule emmerde à la fois.

http://emysbooks.blogspot.fr/

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