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Extrait ajouté par laylani 2017-03-25T20:06:05+01:00

-Tu as fait quoi? s'étrangla Grand-mère.

-J'ai éliminé le conseil des Huit, je ne l’avais pas dit?

Le conseil des Huit était une secte secrète installée au cœur même du clan des potionneuses. Ses membres figuraient parmi les plus puissantes et les plus influentes sorcières de leur espèce.

Grand-mère secoua la tête.

-NON

-Ah ben, j'ai du oublier...

-Pourquoi...pourquoi as-tu fait une chose pareille? demanda Beth d'un air atterré.

- Elles avaient trahi la Déesse en conservant le grimoire des formules interdites au lieu de le détruire comme Elle le leur avait ordonné, expliquai-je.

Grand-mère écarquilla les yeux.

-Elles avaient fait quoi?!!! Comment ont-elles osé!!! Comment...

Je poussai un soupir.

-Comment?Pourquoi? Toujours est-il qu'elles l'ont fait.

-Et le grimoire? demanda Madeleine.

Je souris.

-Brûlé, répondis-je

-J'espère qu'elles ont souffert, grommela Grand-mère.

Je grimaçai.

-Pour être honnête, j'étais un peu pressée...

Grand-mère me lança un regard sévère. Je levai les yeux au ciel.

-Elles sont mortes, OK? Mortes...qu'est-ce que tu voulais faire de plus?

Grand-mère se tourna vers Léo qui secoua la tête.

-Non, mamie, je te l'ai déjà dit, je ne peux pas torturer les âmes des gens après leur mort. C'est interdit.

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Extrait ajouté par Raeyth 2016-11-03T20:22:46+01:00

- Il existe un lien très spécial entre eux, soupirai-je en croisant le regard douloureux de William.

Il sourit tristement.

- Elle est amoureuse de lui…

Je haussai les sourcils.

- Mais je sais qu’elle m’aime aussi.

L’éternelle histoire du triangle amoureux… Mais pourquoi moi ? Pourquoi fallait-il que ça tombe toujours sur moi ? On ne pourrait pas, je ne sais pas, faire un petit break pour une fois ?

- Si ça peut te rassurer, je ne crois pas qu’Ariel …

- …il s’est interposé entre elle et le lynx sans l’ombre d’une hésitation. Je l’ai vu dans son regard, Assayim, ce n’était pas un réflexe mais une décision calculée. Il l’aime. Il tient à elle plus qu’à sa propre vie. Seulement cet idiot préfèrerait brûler sur place plutôt que de l’admettre.

Si c’était vrai, on était dans la panade. William au moins je pouvais le comprendre. Il apparaissait sur mon écran radar comme un type bien, un gentil garçon responsable avec un caractère de cochon mais au cœur tendre comme Gordon et Ali. Ariel lui, se situait à une toute autre échelle… une échelle plus proche de celle de Raphael ou de Michael, le père de Leo… autrement dit, il était complètement flippant...

Source : Facebook de l'auteur

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Extrait ajouté par sesques 2017-03-29T11:55:54+02:00

- Ne me dites rien : Tony est un puma, un tigre ou..

- Un chihuahua.

J’écarquillais les yeux.

- Un... un chihuahua ? Un "chihuahua" est en train de traquer notre présumée tueuse ?

- Ouais.

... Un chihuahua ? Non mais franchement !

... Et après ? Qu'est ce qu'il comptait faire ? Lui pisser dessus et lui mordiller sauvagement les mollets ?

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Elle me jeta un regard soupçonneux.

— Qu’est-ce que tu as encore fait ?

J’ouvris la bouche puis la refermai, vexée.

- Rien. Pourquoi est-ce que tu… ?

Elle me lança un regard appuyé.

— Tu as exactement la même expression que lorsque tu étais petite et que tu avais fait une grosse bêtise…

Madeleine s’esclaffa.

— Exact ! On l’appelait la tête qui fait « oups ».

Elle me dévisagea attentivement.

— Qu’est-ce que tu as fait ?

Je ne répondis pas et poussai rageusement la porte de la maison.

— Bon vous entrez oui ou non ?

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Ariel, qui circulait d'un plan de travail à un autre pour séparer les ingrédients nécessaires à la séparation du veritas, semblait, lui, dans son élément et affichait une attitude décontractée.

- Tu veux essayer ? Demanda Leo en regardant le sorcier tandis qu'elle versait des extraits de gentiane dans la potion qu'elle était en train de préparer. Je fronçai les sourcils.

- Leo, Ariel ne peut pas..

- Si, il peut. Je suis certaine qu'il a le pouvoir de le faire, réplique t-elle.

- Et si ce n'est pas le cas demandai-je ? Elle haussa les épaules.

- Il mourra.

Ariel s'esclaffa, se glissa juste derrière elle en enroulant son bras autour de sa taille avant de lui coller un baiser sur la joue en murmurant d'un ton taquin :

- Ma douce, ma tendre, mon adorable petite sorcière... Elle se débattit un peu trop mollement à mon goût.

- Lâche-moi ! Qu'est ce que...

- Fais attention à ce que tu fais, tu en as mis à côté, regarde, la réprimanda-t-il doucement.

Grand-mère, Madeleine, les anciennes et les membres de ma garde ne pipaient mot et les observaient avec curiosité.

- C'est ta faute ! Tu n'avais qu'à pas m'énerver ! Maman ! Dis lui de me lâcher !

Je fermais les yeux et comptai jusqu'à dix.

- Ariel, bas les pattes, quant à toi Leo, concentre toi !

Pourquoi avais-je tout à coup subitement l'impression d'être une maîtresses surveillant ses élèves en pleine cours de récréation ?

- Ils sont toujours aussi mignons, remarqua Grand-mère.

- Quoi ?

- Ces deux là. Ils forment vraiment un joli couple.

Mes yeux sortirent pratiquement de mes orbites.

- Certainement pas !

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— Qu’est-ce que tu suggères ? demanda Ali.

— Potion de vérité ? proposa Maurane en appuyant légèrement sa tête contre le bras d’Ali.

Alors là, ça devenait vraiment étrange… Ce n’était quand même pas lui, le type dont elle m’avait parlé ? Celui qui l’ignorait et pour qui elle m’avait demandé de l’accompagner pour sa fameuse virée shopping ? Parce que, si c’était le cas, c’était la merde… et pas qu’un peu…

— J’en connais qui sont passés à travers, ricana Baetan.

— À travers celle des potioneuses mais pas à travers le cominoe veritas des Vikaris, répliquai-je en souriant.

Maurane haussa les sourcils.

— Je sais que tu es douée mais fabriquer une telle quantité de potion sur un laps de temps aussi court est impossible, me fit-elle remarquer d’un ton ennuyé.

— Qui t’a dit que je comptais le faire seule ? Cinq de mes guerrières les plus qualifiées sont en ville depuis ce matin. Dix arrivent demain.

Ils me dévisagèrent tous comme si j’avais perdu la tête.

— Quinze ? Quinze Vikaris ? s’étrangla Baetan.

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Extrait ajouté par deeKi 2017-03-29T11:23:10+02:00

« J’ouvris le tiroir et lui tendis un jeu de clés.

— Tiens et sois prudente, elle n’a pas été révisée.

Je n’avais pas utilisé ma Chrysler depuis des lustres, Beth et ma fille Leo avaient tenté à maintes reprises de me convaincre de la vendre mais je n’avais pas pu m’y résoudre. J’étais aussi attachée à cette vieille bagnole qu’un cow-boy à son vieux canasson.

— Je peux prendre le 4 × 4 si tu préfères, proposa-t-elle.

Le 4 × 4 était un cadeau de Raphael. Il était superbe et l’assurance coûtait les yeux de la tête. Il n’était pas question que je laisse ce danger public le conduire. Pas alors qu’elle avait embouti trois voitures de location en trois mois et qu’elle voyait si mal la route qu’elle conduisait pratiquement la tête scotchée au pare-brise.

— Non.

Elle sourit gentiment.

— Même si je te promets de faire attention ?

— J’ai dit non.

Traiter une femme de plus de soixante-dix ans comme une ado de seize pouvait paraître étrange mais Madeleine n’était pas une vieille dame comme les autres. C’était une vieille sorcière bigleuse et bornée.

Elle me lança un regard noir puis grommela.

— Méchante Reine… »

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Extrait ajouté par Folize 2017-04-02T15:14:08+02:00

- Oublie ces deux idiots, je viens avec toi, j’ai besoin de décompresser un peu.

Je lui jetai un regard surpris. Martha était puissante, terrifiante même mais à soixante ans passés, elle préférait passer son temps à cuisiner pour la meute et à veiller sur les jeunes plutôt que de chasser.

- Vous, Martha ?

Elle acquiesça.

- Ils sont en train de me rendre chèvre.

- Mais…

- Quoi ? Tu ne me crois pas capable de suivre une piste ?

Oh, je la croyais capable de tout, y compris de massacrer une quinzaine de loups adultes à elle toute seule si l’envie lui en prenait mais…

- C’est pas ça… c’est juste que…

Je levai la tête et humai la délicieuse odeur qui flottait dans l’air.

- Ça sent le chocolat.

- Ah quelle tête de linotte je fais, j’ai oublié mes cookies ! s’exclama-t-elle en se ruant aussitôt vers la cuisine avant de réapparaître quelques secondes plus tard.

Gordon avança vers elle.

- Martha, reste ici, je vais…

- Tu ne vas rien faire du tout, gronda-t-elle.

- Mais…

- Il n’y a pas de mais qui tiennent ! On a perdu Haze, Beth a été blessée et tout ce que tu trouves à faire c’est de te disputer avec mon petit-fils ?!

- Mais…

- Je ne veux plus t’entendre ! Il ne veut pas trouver de compagne pour l’instant et puis alors ?! Laisse-le s’amuser…

Elle tourna le regard vers moi.

- Les distractions, c’est de son âge. Pas vrai ?

- Tout dépend de ce qu’on appelle « distractions », certaines sont plus dangereuses que d’autres, rétorquai-je en dévisageant William d’un air menaçant.

Il soutint mon regard puis esquissa un sourire.

- Leonora n’a jamais été « une distraction » pour moi. Une source d’ennuis, de joies et de souffrances mais certainement pas une distraction.

Je poussai un soupir.

- Je te l’ai déjà dit : mets un terme à tout ça.

- Ah, tu vois, remarqua Gordon tandis que Will le fusillait du regard.

- On n’a pas choisi de… Tu crois quoi ? Qu’on est maso ? Qu’on ne préférerait pas que ça ne soit jamais arrivé ? lui demanda William les yeux luisants de colère.

Je fronçai les sourcils.

- Moi, ce que je préférerais, c’est que vous arrêtiez, Leo et toi, de nous gonfler avec ces stupidités ou je vais très sérieusement me fâcher, répondis-je excédée.

- Rebecca a raison, ajouta Gordon, passe un peu de temps dans la meute des Loups Agiles et rapproche-toi de la jeune Alpha, elle a dix-huit ans et c’est une vraie beau…

- Je t’ai dit non. Je lui ai promis de ne jamais recommencer, rétorqua William d’un air entêté.

- Tu as promis quoi et à qui ? demandai-je les yeux plissés.

- À Leonora. Je ne veux plus la faire souffrir, plus jamais.

Je le dévisageai sévèrement.

- Tu devrais éviter les promesses que tu ne peux pas tenir.

- C’est drôle… de tous ceux qui sont ici, j’aurais pensé que vous étiez celle qui nous comprendrait, fit-il en me fixant droit dans les yeux.

Je haussai les sourcils, surprise.

- Qui ? Moi ?

- Oui, vous… Après tout, vous aviez à peu près le même âge que Leo quand vous êtes tombée amoureuse de son père. À l’époque, c’était un ennemi et pourtant vous avez enfreint toutes les règles pour être avec lui…

Bien joué, sauf que…

- Je n’ai jamais été amoureuse du père de Leo, rétorquai-je sèchement.

- Parlons alors de Raphael. Vous êtes une Vikaris, non ? Il vous est formellement interdit d’entretenir une relation avec un homme extérieur à votre clan.

Bon, là, d’accord, il m’avait eue.

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Extrait ajouté par deeKi 2017-03-29T11:18:01+02:00

« Comme le disait si bien Grand-mère : « En cas de problème, tu dois te concentrer sur les choses importantes, c’est-à-dire, sur celles qui peuvent te tuer.  »

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— Tu peux me dire pourquoi c’est toujours moi qui joue le rôle du père Fouettard ? soupira Madeleine en glissant la tête de Kelly Farn dans un sac plastique avant de la jeter nonchalamment dans le minifrigo.

Je me fendis d’un grand sourire.

— Je ne sais pas. C’est peut-être parce que t’es une sociopathe sadique échappée des bouches de l’enfer ?

— L’enfer n’existe pas.

Les Vikaris ne croyaient ni au diable ni à son immense salle de torture privée, ce qui, au vu de leurs crimes et de leurs exactions, était plutôt une chance…

— On voit que tu n’as jamais mis les pieds chez Macy’s le premier jour des soldes, plaisantai-je avant d’ouvrir la porte de la cabane qui me servait de bureau et de remonter le col de mon manteau.

Les hivers étaient souvent longs et pénibles dans le Vermont. La neige tombait dru et il gelait pratiquement tout le temps. J’avais beau y être habituée et apprécier l’air pur, le ski et les vastes étendues blanches et boisées, il m’arrivait de plus en plus souvent de fantasmer sur les affiches d’agences de voyages montrant des îles paradisiaques et des jolies filles en maillot de bain se pavanant au bord de l’eau.

— Pourquoi n’as-tu pas dit à cette fille qui tu étais au lieu de perdre ton temps à la torturer ? fit-elle en me collant le sac plastique sous le nez.

Je soupirai, agacée, et lui arrachai la tête de la potioneuse des mains.

— Que voudrais-tu que je fasse ? Que je crie à tue-tête : « Oyez oyez, votre Assayim est la Reine des sorcières de guerre Vikaris alors, les méchants, prenez garde à vos fesses » ?

— Par exemple…

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