Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 483
Membres
1 012 430

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Extrait ajouté par anonyme 2012-07-16T16:41:37+02:00

- Ces « petits trucs », comme tu le dis, sont sacrés pour nous, dit-il sèchement. Marquer une femme, c'est lui déclarer son amour et la faire sienne pour l'éternité. Micheal était très sérieux. Je ne comprends pas comment il a pu te laisser partir.

Je baissai la tête, un peu gênée.

- Je ne lui ai rien dit. J'étais trop en colère pour ne pas avoir terriblement envie de le tuer, et comme je n'étais pas certaine de parvenir à mon contrôler, je lui ai simplement laissé une lettre.

- Tu aurais aussi bien pu lui planter un pieu dans le coeur, ça aurait été moins douloureux, dit Raphael avec amertume.

- Tu plaisantes? Il pouvait avoir n'importe quelle femme et ne se gênait pas. Une de plus ou une de moins, je ne vois pas la différence.

- Tu n'as aucune idée de ce que tu dis, fit Raphael en fermant les yeux. Un vampire ne marque qu'une ou deux femmes dans toute son existance, Rebecca. S'il apprend que tu es vivante, il fera n'importe quoi pour te récupérer.

Ben voyons. Comme si j'vais la moindre importance pour lui...

- Arrête. Il est incapable d'aimer qui que ce soit...

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2012-07-16T16:25:59+02:00

- Oh Rebecca, que vais-je faire de toi?

Il posa sa main sur mon épaule et me broya l'omoplate. La douleur était intenable. J'envoyais un flux d'énergie pour lui faire lâcher prise et le projetais contre le cheminée.

- Qu'est-ce que... dit Maurane, surprise.

J'entendis soudain un éclat de rire.

- Tu as raison, Tyriam, cette gamine ne vas pas servir à grand chose, si ce n'est à botter les fesses de Raphael et, entre nous, je trouve ça déjà pas mal, fit Aligarh.

Afficher en entier

Elle est mortelle mais elle n’a ni cœur ni âme.

Elle inflige la souffrance et invoque une justice ignorée.

Elle est le glaive et la main qui la guide s’appelle vengeance.

Ne la croise pas sur ton chemin car cruauté est son nom et ton sang est son emblème.

Afficher en entier

Soudain la magie explosa et se propagea jusqu’au vampire qui se mit à hurler. Raphael la projeta loin de moi mais il était trop tard. Une odeur de chair brûlée envahissait déjà mes narines.

— Rebecca ! fit Raphael d’un ton glacial en se dirigeant rapidement vers Hope.

Sous le choc, elle ne bougeait pas. Je ne l’avais pas réduite en cendres mais une bonne partie de son visage, celle qui avait été en contact directement avec ma peau, semblait avoir fondu. Elle était totalement défigurée.

Je le fusillai du regard.

— Tu aurais pu, tu aurais dû éviter ça ! crachai-je d’une voix étranglée. Pourquoi n’es-tu pas intervenu plus tôt ?

Raphael ne répondit pas et prit doucement la tête de Hope pour la poser sur ses genoux.

— Pourquoi ne lui as-tu pas dit que j’étais envoyée par le Directum et que j’étais une sorcière ? Pourquoi as-tu laissé les choses s’envenimer à ce point ? dis-je en luttant pour ne pas hurler.

Je me précipitai vers la porte pour prendre un peu l’air, chasser la nausée que je commençais à ressentir et ne plus entendre les gémissements de la femelle vampire. Hector me rejoignit et posa une veste sur mes épaules. Je ne m’en étais pas encore rendu compte mais j’étais en train de grelotter.

— Merci, fis-je en m’asseyant sur le perron.

— Rien de ce que mon maître aurait pu dire n’aurait changé quoi que ce soit, fit Hector en soupirant. Hope savait parfaitement qui vous étiez.

— Mais alors pourquoi… ?

— À cause du maître. Elle voulait tester son attachement pour vous. Vous savez, rien de ce qui se passe ici ou ailleurs ne reste longtemps secret.

— Je ne comprends pas.

— Raphael s’est montré particulièrement bienveillant à votre égard. Vous l’avez défié. Et plusieurs fois. D’abord en le provoquant devant le conseil, puis en torturant l’un de ses protégés au Glam’s et enfin en déclenchant une bagarre. Ça fait beaucoup. Surtout pour quelqu’un comme lui.

— Vous ne voulez quand même pas dire que le fait qu’il ne m’ait pas encore tuée a rendu Hope jalouse ?

— Si. C’est exactement ce que je veux dire.

— Génial, il ne manquait plus que ça, fis-je.

Afficher en entier
Extrait ajouté par anonyme 2012-12-18T18:05:53+01:00

- Tu es censé diriger ton clan, non? Eh bien, laisse-moi te dire que tu fais un boulot de merde!

— Tu n’es vraiment qu’une petite conne arrogante et teigneuse, dit-il en français.

— Et toi un grand con suffisant. Tu vois, on fait la paire tous les deux! répondis-je dans ma langue natale.

Afficher en entier

- Chaque clan a ses règles, Beth, dis-je d'une voix calme. Si je ne m'abuse, les loups sont même champions dans ce domaine.

- Non. Nous, on ne se serait jamais permis de faire ça. On a trop le sens de l'hospitalité.

- T'as raison. Pas plus tard qu'hier, un de tes petits copains a menacé de ma violer puis ensuite de m'égorger parce que j'étais entrée sur votre territoire. Maurane, elle, au moins, m'a servi des petits gâteaux avant de tenter de me droguer avec son thé.

- Faut toujours que tu critiques, dit-elle en amorçant un sourire.

- Qu'est-ce que tu veux, c'est mon côté français, on n'est jamais content, dis-je d'un ton las. Au fait, quand est-ce que le conseil compte recruter l'Assayim ?

Afficher en entier

J'avais enfilé un peignoir et je me dirigeais vers ma chambre lorsque je ma figeai tout a coup. Quelque chose ou quelqu'un m'attendait. Je sentais son énergie parcourir ma peau comme autant de coups de semonce.

-Tu fais des entrées fracassantes, dis-moi, fis-je en ouvrant la porte.

-Je na voulais pas de malentendu. Alors, j'ai préféré m'annoncer, répondit-il, perché sur la rebord de ma fenêtre.

Raphael m'avait suivie et je n'avais rien senti.

-Qu'est que tu veut ?

-Puis-je entrer ?

Il ne pouvait pas pénétrer dans un maison sans y avoir été préalablement invité. Et je n'avais pas du tout l'intention de prendre un tel risque.

-Non, répliquai-je en seconent la tête.

Je l'entendis pousser un soupir.

-Je ne viens pas pour me battre. J'ai vraiment besoin de te parler, insista-t-il.

-Eh bien, parle, je t'entends très bien d'ici.

Afficher en entier
Extrait ajouté par adele 2011-05-28T22:04:06+02:00

Burlington, Vermont, Nouvelle-Angleterre, était considéré par le reste du pays comme un trou perdu.

Charmant, mais tellemnent ennuyeux. Ca me convenait plutôt bien au début, du moins jusqu'à ce que je réalise que ce paisible petit bled abritait en secret l'une des plus vieilles communautés surnaturelles du pays. Vous me direz, rien n'est parfait...peut être, mais si j'avais su, j'y aurais regardé à deux fois avant de de venir m'y installer six mois plus tôt. Les humains de l'office du tourisme auraient dû le mentionner dans leurs prospectus. Ca aurait donné un truc du genre:

"Venez visiter Burlington, l'été, vous pourrez pratiquer les sports nautiques ou pêcher sur le lac Champlain et l'hiver, vous pourrez faire du ski ou de la randonnée en raquettes, ah, au fait, n'oubliez pas d'amener avec vous quelques fusils munis de balles d'argent, un ou deux pieux, trois ou quatre lance-flammes, les habitants du coin sont du genre irritable..."

Afficher en entier
Extrait ajouté par fitz 2013-06-10T13:26:48+02:00

Je les suivis vers un petit couloir, situé de l’autre côté de l’ascenseur. Le passage était étroit et peu éclairé. J’entendais le bruit rauque de ma respiration et un râle qui transperçait les murs. Je tournai ensuite sur la droite et captai enfin une signature énergétique faible. C’était Leonora. Je me mis à courir comme une folle dans sa direction, suivie par Raphael et Mark.

— Rebecca, fit Raphael en me saisissant soudain le bras, il se tient à peine à quelques mètres.

Je le croyais volontiers. Il faisait complètement noir mais l’obscurité n’était pas un problème pour un vampire et d’après les deux flammes rouges qui illuminaient le visage de Mark, pour un semi-démon non plus.

Je me concentrai et appelai le pouvoir du feu. Bientôt, une boule de lumière apparut juste devant moi, suspendue entre le sol et le plafond. Et j’aperçus enfin Charzac. Il n’essayait plus de fuir et tenait une minuscule poupée entre ses énormes bras. Leonora.

J’eus une remontée de bile. Un bâillon entravait la bouche de ma fille. Elle semblait endormie ou droguée. Son visage était tuméfié. Ils avaient du la frapper au moins avec des barres de fer pour réussir à lui laisser des marques. Sa peau se régénérait si facilement…

— Lâche-la, fis-je tandis qu’une vague de pouvoir déferlait autour de moi.

— C’est une gentille petite fille, fit la créature en caressant son bras.

Je sentais son envie de lui faire mal, de la blesser.

— Ne la touche pas, crachai-je.

— Et qu’est-ce que tu comptes faire pour m’en empêcher ?

Bonne question. Et aucune réponse valable ne me venait à l’esprit.

— Le professeur Thomson est mort. Je l’ai tué. Tu n’as plus ni à rester enfermé ni à te plier à sa volonté. Tu peux venir vivre parmi les tiens, on trouvera une solution.

Il se mit à ricaner et dit d’un ton amer :

— Il voulait utiliser ses recherches pour guérir les humains mais nous sommes des monstres, dit-il. Notre chair, nos cellules, notre âme sont corrompus. Ta fille est comme moi, si ce n’est que j’ai été créé par les hommes et elle par la nature.

— C’est pour ça que tu l’as sauvée ? Pour ça que tu ne les as pas laissés la tuer ?

Il hocha la tête.

— Comment as-tu fait ? demanda-t-il.

— Qu’est-ce que tu veux dire ?

— Comment as-tu fait pour avoir cet enfant avec un cadavre ?

— Pourquoi faut-il toujours qu’on me pose cette question ?… Je n’en sais rien. Vraiment, je n’en sais rien.

Leonora ouvrait lentement les yeux.

— Elle ne le savait pas. C’est moi qui le lui ai dit, fit-il en la regardant. Hein ? Petite ? Tu ne savais pas que ton père était un vampire ?

Elle secoua la tête de droite à gauche, le menton tremblant, comme si elle allait pleurer.

— Au début, elle ne voulait pas me croire mais je lui ai montré. Elle a des petits crocs juste là, prêts à sortir, dit-il en glissant un doigt sur ses gencives.

Leonora ne réagissait pas. Elle était tétanisée par la peur.

Mark et Raphael le regardaient, fascinés.

— Ne bougez pas ou il la tuera, ordonnai-je aux deux hommes.

— Il est trop tard pour la sauver, dit la créature en posant ses mains sur le cœur de ma fille.

— Maman… gémit-elle d’une petite voix en me tendant les bras.

Soudain un vent de panique m’envahit. Je propulsai mon pouvoir sur le monstre sans que ça produise aucun effet.

— Tu es trop faible, s’esclaffa-t-il.

— D’accord, alors, regarde, fis-je.

Je laissai tomber mes barrières laissant enfin la colère et la peur m’envahir totalement. Plus de contrôle. Plus de limites. Je sentis rapidement la bête tapie au fond de moi se réveiller et grandir. Bientôt, sa brûlure parcourut mes veines, transformant mon corps en un énorme brasier, un geyser de pouvoir prêt à éclater. Ce n’était plus moi qui chevauchais le pouvoir mais le pouvoir qui me chevauchait. J’étais incapable de le brider, il me dévorait le cœur et l’âme et réduisait ma volonté à néant. Je n’étais plus qu’un réceptacle créé pour accueillir sa main vengeresse et terrifiante.

— Rebecca ! fit Raphael, affolé. Qu’est-ce qui se passe ?

— Elle a répondu à l’appel des quatre éléments, ils sont réunis et prêts à frapper, dit Mark, la gorge serrée. On doit récupérer l’enfant et quitter cet endroit avant que tout n’explose !

— Et Rebecca ?

Je vis Mark secouer la tête tristement à travers un regard qui n’était plus le mien mais celui d’une créature inconnue et terriblement puissante.

— Pas question, dit Raphael en saisissant mon poignet.

Charzac me regardait, subjugué. Plus de sourire cruel, plus de provocation. J’aurais presque pensé qu’il comprenait ce qui allait arriver et l’attendait avec impatience.

— Pose mon bébé, dis-je.

Mes cheveux étaient écarlates et une lumière rouge entourait chaque parcelle de mon corps.

Je me libérai de la main du vampire d’un geste vif et dirigeai l’énergie sur le visage déformé de la créature.

— Mark, attrape Leonora ! criai-je tandis qu’une boule solaire percutait le monstre en pleine face et lui arrachait la tête.

Le semi-démon prit ma fille dans ses bras et disparut. Puis je me tournai vers le vampire.

— Va-t’en, Raphael ! Je ne peux plus la canaliser ! hurlai-je en me tournant vers lui.

La magie était sur le point d’imploser comme une bombe. Elle allait se répandre telle une mer de ténèbres et absorber toute vie sur son passage.

— Non, dit-il.

Je sentis soudain sa main dans la mienne. Son pouvoir froid me transperça la poitrine et jaillit en moi. Nos énergies se mêlèrent dans une danse de mort et de vie, se nourrissant l’une l’autre, s’absorbant, s’annihilant presque. Je tombai à genoux tandis qu’il me serrait dans ses bras et nous nous mîmes à hurler, le regard fou, dévastés par un pouvoir trop puissant pour tenir dans des corps si fragiles. Sous l’effet de la douleur, toutes mes perceptions s’engourdirent et je ne distinguai rien. Rien à part le merveilleux mélange de nos auras, l’une blanche, l’autre rouge, qui, ensemble, avaient la couleur unique d’un crépuscule de printemps.

Puis ce fut le néant.

Afficher en entier

Une seconde plus tard, j’étais affalée sur le sol, les fesses à l’air, les genoux écorchés, et je jurais comme un charretier. Lorsque je levai la tête, l’emmerdeur du parking se tenait devant moi. Il était toujours grand, brun et terriblement viril. — Charmante, dit-il d’un air goguenard. J’étais pétrifiée.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode