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— Tu as le don d’insuffler la vie au cœur même de la mort, ma douce. Tu ramènes les vampires au monde des vivants.

— C’est ce que tu crois ?

— C’est ce que j’ai ressenti. C’est ce que je ressens toujours en ta présence. Comment expliquer autrement les sentiments que j’éprouve pour toi ? Je n’ai pas eu une seule émotion en dix siècles, Rebecca, et aujourd’hui je me sens comme un adolescent de quinze ans face à son premier amour. Tu trouves ça normal ?

Il y avait de la souffrance dans sa voix. Et ça me rendait furieuse.

— Je suis une sorcière mais je suis aussi mortelle, aimer est on ne peut plus normal pour nous, dis-je en plongeant mes yeux dans les siens. On ne considère pas ça comme une tare.

— Ce n’est pas ce que j’ai dit.

— Quand tu as compris ce que ma magie te faisait, pourquoi ne m’as-tu pas tuée ? crachai-je.

La colère a décidément le don de rendre les gens stupides.

— Parce que ça aurait été comme de mourir à nouveau.

— Laisse tomber pour le rituel, je me démerderai autrement.

Je me dirigeai vers la porte lorsque je sentis plusieurs mouvements derrière mon dos.

— Retourne-toi, dit-il d’une voix menaçante.

J’obéis lentement. Il tenait un poignard en argent extrêmement ancien.

— À quoi tu joues ?

— Je te donne la possibilité de te débarrasser de moi définitivement. Après, il sera trop tard, dit-il en le glissant entre mes mains.

— Et pourquoi devrais-je te tuer ?

— Parce que tu vas vouloir quitter mon territoire après avoir réglé cette affaire et que je ne te laisserai jamais partir loin de moi. Jamais. Est-ce que tu comprends, Rebecca ?

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Pour une raison qui m'échappait, le vieux tordu m'avait laissé vivre et je restais là, tétanisée, à regarder le ciel. Le destin semblait me conduire vers des abysses si profonds que la mort elle-même semblait craindre de venir me chercher. Ça aurait dû m’inquiéter mais à part m'enterrer avec ma fille dans un minuscule trou de souris durant ces dix ou vingt prochaines années, je ne voyais pas de moyen d’arrêter le désastre qui se profilait à l'horizon.

J'étais devenue une tueuse patentée, Leonora et moi étions désormais liées de manière bizarre à un vampire (qui, soit dit en passant, était incroyablement sexy), mon ex allait débarquer dans moins d'un mois accompagné d'une horde de suceurs de sang, ma meilleure amie s'était engagé dans une liaison à haut risque avec un muteur et avait dû se transformer en garde du corps pour jeune Alpha peu coopératif, et un démon croyait qu'il existait une sorte de lien métaphysique et sexuel entre nous. Alors rentrer à la maison et dévorer la dernière saison de Mon oncle Charlie, avec un énorme paquet de chips, me sembla tout à coup la meilleure chose à faire...

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— Décidément, tu n’y connais vraiment rien aux mecs, répondit-elle en soupirant.

— Je suis de l’avis de Beth, tu n’y connais absolument rien, fit une voix derrière moi.

Je n’eus même pas besoin de me retourner.

— Tu as fait vite, Raphael, dis-je.

— Khor m’a téléphoné pour me prévenir qu’une sublime psychopathe s’amusait à martyriser mon personnel, tu peux m’expliquer ?

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Extrait ajouté par EGih 2013-11-03T18:46:41+01:00

— Tu crois qu’ils pensent réellement que Michael va se préoccuper de notre sort ? C’est ridicule.

Raphael secoua la tête d’un air exaspéré.

— Je ne crois pas qu’il sache que tu es toujours vivante.

Je plongeai mon regard dans le sien.

— Quoi ?

— On raconte que la rage qui l’anime est due à la mort d’une jeune fille, une jeune fille d’une très grande beauté assassinée par son clan pour l’avoir aimé…

— Et tu penses que…

— Je suppose qu’il s’agit de toi.

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- Tu n'est qu'une petite conne arrogante et teigneuse, dit-il en français.

- Et toi un grand con suffisant.Tu vois on fait la paire tout les deux ! répondis-je dans ma langue natale.

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- Le meilleur moyen pour ne plus avoir peur, c'est d'éliminer celui ou ceux qui ont provoqué cette peur.

chapitre 5, page 63, rebecca

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Extrait ajouté par anonyme 2012-12-18T17:55:47+01:00

— Tuer ou hypnotiser des humains est interdit dans cette ville, messieurs, dis-je d’une voix glaciale, si vous avez faim, il faudra vous contenter du dépôt qui se trouve sur Main Street, on vous fournira selon vos besoins.

Se nourrir directement à la source était proscrit par le traité dans les villes et les agglomérations de moins de 400 000 habitants. En dessous de ce chiffre, les meurtres et les disparitions risquaient d’attirer l’attention des humains et de la police. Depuis plus d’un an, les vampires étaient donc obligés de se ravitailler dans des banques de sang privées, détenues par la communauté.

Évidemment, au début, il y avait bien eu quelques grognements et des réticences, surtout parmi les jeunes vampires, les plus sensibles à l’appel du sang. Mais après quelque temps, et l’élimination systématique des plus récalcitrants, les choses avaient fini par s’installer.

Le grand brun me lança un regard surpris.

— Qui es-tu?

Je levai les yeux au ciel.

— Quelqu’un qui va te tuer si tu continues à poser des questions idiotes, répondis-je avec agacement.

— Elle n’a pas froid aux yeux, pas vrai, Phil? fit-il en me lançant un regard curieux.

— Ça ne va pas durer, fit le petit grassouillet.

Quand on est con, on est con…

— Ça c’est sûr, dis-je en souriant.

Une lumière rouge m’entoura tout à coup, je concentrai mon pouvoir de feu et envoyai sur le trapu vindicatif une boule d’énergie qui l’embrasa en quelques dixièmes de seconde.

— Poussière, tu redeviendras poussière et coetera, et coetera, dis-je en me retournant vers le grand brun.

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- Je suis l'Alpha. Et en tant que tel, je peux remplacer mon petit fils si on le défie, le temps qu'il devienne plus fort, mais je crains que les partisans de Dante ne trouvent des moyens moins "compliqués" de l'éliminer et ne s'en prennent aussi à Beth. Que feriez-vous si c'était le cas?

- Vous connaissez ma réponse, fis-je d'un ton glacial.

- Oui je suppose que oui.

- Prenez garde, Gordon, ne mettez pas Beth en danger dans l'espoir que j'élimine Dante parce que, dans ce cas là, c'est vous que je tuerais.

- Oh! ça, la jolie, je n'ai aucun doute là-dessus, fit-il en s'esclaffant.

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— C’est vrai que c’est surprenant mais tu ne crois pas que tu dramatises un peu, là ?

— Non.

— Non ?

— Non.

— Fait chier.

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— La guerre vient à peine de se terminer, c’est déjà pas mal que vous parveniez à discuter sans vous entre-tuer, dis-je d’un ton admiratif.

— La petite n’a pas tort, il fut un temps où je t’aurais ouvert les tripes pour les bouffer, vampire, grogna Gordon.

— Crois-moi, plus de vingt meutes ont essayé, Gordon, et je les ai saignées, eux, leurs familles, leurs amis et leurs alliés occasionnels, répondit Raphael.

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