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d'un ton qui résonna comme une menace.

Beth se jeta littéralement entre nous.

- Fiche-lui la paix ! gronda-t-elle.

- Elle m'appartient. Nous nous appartenons l'un à l'autre, répondit-il, d'un ton calme. Tu ne peux rien contre ça, louve.

- Elle ne peut pas te tuer à cause de ce foutu truc charnel entre vous, mais moi, si. Alors, garde tes distances, connard, fitelle tandis que ses yeux viraient au jaune.

J'avais instinctivement enroulé mes bras autour de mon corps comme pour créer une barrière de protection. Mes ongles se plantaient dans mes côtes.

- Regarde-la. Et dis-moi qu'elle ne veut pas de moi...

répondit-il d'un ton condescendant.

- Mark ! fit tout à coup Fergusson, en fronçant les sourcils. Ça suffit. Ce n'est ni le lieu, ni le moment !

Le muteur terrifié du début s'était transformé en médecin sûr de lui, contrarié qu'on puisse entraver son travail avec nos petits conflits personnels. Super.

- Désolé, fit Mark en reculant contre le mur.

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« - Est-ce que… est-ce qu’elle est… ? finit-il par balbutier.

- Oui, fis-je dans un souffle.

Alors il me gifla. Oh pas suffisamment fort pour me mettre KO, mais assez pour que j’arbore demain, un très joli bleu sur la joue. J’allai répliquer lorsque je vis l’éclair de souffrance qui traversait ses yeux.

- Dis-lui qui je suis, Rebecca. Dis-le-lui maintenant, fit-il en s’approchant de Leonora.

- C’est inutile, dit-elle d’un ton dur. Je sais parfaitement qui vous êtes. Je vous ai tout de suite reconnu.

- C’est vrai ?

- Oui, dit-elle en reculant vers Bruce qui assistait silencieusement à la scène.

- Tu as peur de moi ?

- Non, mais je ne parle pas aux gens uqi frappe ma mère, cracha-t-elle. »

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Tu as autant de sensibilité qu'un cobra et autant de tact qu'un nazi .

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Quand Bruce me déposait à la maison, une heure plus tard, le soleil d'août pointait déjà son nez mais il faisait encore un peu frisquet. Burlington, Vermont, Nouvelle-Angleterre était plus réputée pour son calme, son lac, sa proximité avec les stations de ski et ses longs hivers que pour la chaleur de ses étés. Ici, la température dépassait rarement les trente degrés.

- Maman ?

Ma fille, Leonora, était assise en tailleur, par terre, devant la télévision.

- Tu es déjà réveillée ?

Les volets étaient encore fermés. Depuis quelque temps, elle supportait de plus en plus difficilement la lumière du soleil.

- Je sens l'odeur de Bruce, fit-elle en se levant brusquement.

Il était encore avec toi ? Vous vous êtes bien amusés ?

Ses cheveux bruns tombaient le long de son dos et ses yeux avaient la couleur de l'émeraude. Dans quelques années (et quelques centimètres de plus), on aura l'air de vraies jumelles.

- Oh oui, tu penses... une vraie fiesta, répondis-je en balançant mes baskets sur le sol.

Elle se releva brusquement et je vis ses narines se pincer.

- Il y a des gouttes de sang sur tes chaussures, fit-elle, tandis que deux petits crocs de vampire descendaient lentement sur ses gencives.

- Léo, fais attention, dis-je, tu vas encore te couper les lèvres.

- Oh pardon ! fit-elle en posant la main sur sa bouche.

Le père de Léo était un vampire. Ce qui aurait dû le rendre incapable de procréer. Mais j'avais toujours eu le chic pour les situations inédites. Les phénomènes étranges et inexpliqués. Les catastrophes en chaîne. Bref, pour les emmerdes...

- Tu as bien dormi ?

- Oui. Beth t'a laissé un message, fit-elle en me tendant un morceau de papier.

Je lus rapidement les quelques mots griffonnés sur une enveloppe : « J'ai dû partir à 5 heures. Léo dort. Tout s'est bien

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- Comment est-ce arrivé ? demandai-je doucement.

- On l'a retrouvée dans sa chambre. Elle a été violée et assassinée.

- Dans sa chambre ? Tu veux dire dans la maison de ses parents ?

Elle hocha la tête d'un air sombre.

Pourquoi fallait-il toujours que ça tombe sur son clan ? Deux mois plus tôt, ils avaient déjà perdu un jeune Bêta, enlevé par une bande de scientifiques complètement tordus. J'avais réglé le problème, mais le père de la victime, Jerry, y était resté, et la meute était encore traumatisée.

- Et où étaient-ils ? Les parents, je veux dire...

- En week-end chez leur fille aînée. Ils avaient laissé Myriam

à la maison parce qu'elle avait insisté pour rester avec son fiancé.

Ils devaient peaufiner les préparatifs de la fête.

Tuer un loup-garou était assez compliqué. Pas infaisable.

Particulièrement avec des balles en argent, mais compliqué. Ils avaient une force herculéenne et guérissaient systématiquement des blessures qui leur étaient infligées. Le coupable n'était sûrement pas humain.

- A quel titre veux-tu que j'intervienne ?

Elle fronça les sourcils, un instant désarçonnée.

- Comment ça ?

Je renouvelai ma question.

- Tu me le demandes en tant qu'amie ou qu'Assayim ?

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- "Charmant garçon",commenta Gordon en soupirant.

— "Oui. Je compte prochainement déclencher un conflit mondial en lui arrachant le coeur et en le décapitant."

— "Un peu radical mais sûrement très amusant..."

— "N'est-ce pas ?"

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je ne le giflai pas mais ce ne fut pas l'envie qui m'en manquait.

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L'autre Rebecca, la Vikaris, l'aurait probablement fait. Elle se serait délectée de la douleur et de la souffrance de Dante. Mais l'Assayim, elle, s'en moquait pas mal. Elle avait mieux à faire. À commencer par retrouver le meurtrier de Myriam. Un meurtrier assez méticuleux et assez prévoyant pour organiser l'assassinat d'une jeune fille dans les moindres détails. Et il ne fallait pas avoir fait des études de profiler ou bosser pour le FBI comme les héros des séries télé pour se dire qu'il ne s'agissait probablement pas de son premier meurtre et qu'il devait avoir déjà exercé ses talents de sadique sexuel ailleurs. Peut-être même dans des Etats voisins comme celui de New York, du New Hampshire et du Massachusetts. J'avais rencontré les Assayims de ces États lors d'une présentation officielle organisée par nos Directums respectifs et j'avais plus ou moins sympathisé avec Clarence White, l'Assayim de New York, un puma-garou à l'humour corrosif. C'était lui qui m'avait appelée deux jours plus tôt pour m'avertir de la présence du lynx sur mon territoire. Il était tellement furieux de l'avoir laissé s'échapper que j'ai cru à un moment qu'il allait mourir d'une crise d'apoplexie au bout du fil.

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Le loup avait décidé de faciliter mon quotidien et de tenir le rôle de gouvernante. J'avais bien tenté vaguement de résister, mais il avait réussi à s'incruster dans ma vie de manière si discrète et efficace que j'avais fini par céder. - Je sais, mais ce n'est pas pareil. J'adorais vous avoir le matin au réveil, border Léo tous les soirs, t'entendre râler parce que je n'ai pas rabattu le couvercle de la cuvette des W.-C. et me taper toute la série True Blood en boucle à la télé.

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— Michael a dû nous suivre, il adore se mêler de ce qui ne le regarde pas, fis-je à Gordon.

[...]

Il regardait, les oreilles dressées, le combat qui se déroulait sous nos yeux.

— Bon, eh bien puisqu'on a rien de mieux à faire, fis-je, en réinstallant tout contre lui.

Les crocs du loup tentaient de perforer les poumons de Michael et le vampire parvenait difficilement à le maintenir à distance. Ils bougeaient et frappaient tellement vite que leurs mouvements en étaient complètement flous.

— Ça faisait un bout de temps que je n'avais pas assisté à un spectacle pareil, dis-je en souriant.

Gordon me lança un regard consterné qui me fit sourire.

— Inutile de faire cette tête-là. Je n'ai absolument pas l'intention de bouger. Du moins, pas avant que ce maudit vampire se fasse tuer, chuchotai-je.

[...]

— Vous en voulez un bout ? fis-je en tendant à Gordon une barre chocolatée sortie tout droit de la poche de mon blouson.

Gordon émit un grognement.

— J'espère que Michael aura le temps de suffisamment l'amocher avant de crever, grimaçai-je, en dégustant nonchalamment mon petit en-cas.

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