Rebelle du désert, Tome 3 : La Tempête

Dès que j’ai ouvert « La Tempête », j’ai été transporté dans l’univers riche et évocateur du désert de Miraji. Alwyn Hamilton nous offre une conclusion sympathique même si j’y ai trouvé quelques points négatifs. En toute honnêteté ce troisième tome est un tourbillon d’aventures, d’émotions et de révélations qui m’ont tenu en haleine jusqu’à la dernière page. 🌟 On retrouve Amani, Jin et leurs camarades de la rébellion dans une situation désespérée, avec le prince Ahmed capturé par le Sultan. La tension est palpable, chaque décision semble cruciale et chaque action peut déterminer le sort de leur combat. Les 100 premières pages ont été un véritable défi. L’histoire semblait piétiner, et j’ai eu du mal à me réengager avec les personnages et l’intrigue. Un autre point de frustration a été le nombre excessif de personnages. Certes, une rébellion implique beaucoup de participants, mais j’ai trouvé qu’il était presque impossible de suivre qui était qui. L’un des aspects les plus saisissants de ce livre est sans aucun doute la capacité de Hamilton à décrire le monde de Miraji avec tant de vivacité. Le style d’écriture de Hamilton est fluide et poétique, ce qui rend la lecture agréable et immersive. Le désert, ses dangers et ses mystères sont peints avec une telle précision qu’on peut presque sentir le sable sous nos pieds et entendre le vent souffler à travers les dunes. La magie imprègne chaque page, des djinns puissants aux créatures mythiques, rendant l’univers encore plus fascinant. Chaque scène est une œuvre d’art visuelle, nous plongeant dans un environnement aussi étrange que captivant. ✨ Cependant, malgré cette belle toile de fond, l’intrigue m’a semblé parfois décousue et moins captivante que dans les tomes précédents. Le rythme, bien que rapide, manquait de la profondeur émotionnelle qui m’avait tant séduit dans « Rebelle du désert » L’histoire est un tourbillon d’actions et de rebondissements. Les rebelles sont confrontés à des défis de plus en plus grands, et chaque chapitre est empreint de suspense et de tension. Le plan pour renverser le sultan est audacieux et complexe, et les moments de calme sont rares. Cela rend la lecture palpitante et difficile à lâcher.🔥 Mais les nombreuses scènes de bataille et les rebondissements incessants ont fini par me sembler répétitifs et prévisibles. Les enjeux, bien que élevés, n’ont pas réussi à créer le suspense ou l’excitation que j’avais espérés. J’ai souvent trouvé mon esprit vagabondant, ce qui n’est jamais bon signe lors de la lecture d’un roman d’aventure. 😴 Ce que j’ai vraiment adoré, c’est la manière dont Hamilton a su lier toutes les intrigues en une conclusion satisfaisante. Les arcs narratifs trouvent leur résolution, et le destin des personnages est traité avec une sensibilité qui m’a profondément touché. Les sacrifices et les pertes sont douloureux, mais ils ajoutent une profondeur et une authenticité à l’histoire. La fin est douce-amère, mais c’est précisément ce qui la rend si belle et mémorable. Mais la fin bien qu’elle lie les fils de l’histoire, m’a semblé précipitée et en deçà de ce que cette saga méritait.💔💫 En conclusion, « La tempête » a certainement ses moments forts et ses mérites, notamment dans son cadre et son écriture. Cependant, comparé aux deux premiers tomes, ce dernier livre m’a laissé sur ma faim. L’intrigue manquait de la profondeur et de l’intensité que j’avais tant aimées

Ce que j’ai particulièrement apprécié, c’est l’évolution incroyable des personnages. Amani, la protagoniste, a parcouru un long chemin depuis son début en tant que simple fille de Dustwalk. Elle s’est transformée en une leader déterminée et courageuse, capable de prendre des décisions difficiles pour le bien de son peuple. Amani, en particulier, brille dans ce dernier chapitre. Elle est confrontée à des choix déchirants et doit faire preuve d’une force et d’une résilience exceptionnelles. Son développement est impressionnant ; d’une simple fille du désert, elle devient une véritable légende vivante. Ce que j’ai particulièrement apprécié chez Amani, c’est sa vulnérabilité cachée sous sa bravoure. Elle porte le poids du monde sur ses épaules, mais elle ne se laisse jamais abattre, ce qui est incroyablement inspirant. Son voyage personnel est inspirant, et sa relation avec Jin ajoute une profondeur émotionnelle qui m’a touché. Leur romance, bien que discrète, est magnifiquement intégrée à l’histoire sans jamais en détourner l’attention principale. Voir Amani et Jin ensemble, après les épreuves qu’ils ont traversées séparément dans le deuxième tome, a été un pur bonheur. Leur relation, remplie de failles réalistes mais profondément attachante, est l’une des pierres angulaires de cette histoire. Jin est le complément parfait d’Amani. Il est loyal, courageux et prêt à tout pour protéger ceux qu’il aime. Mais ce que j’ai vraiment apprécié, c’est la façon dont leur relation est développée. Jin n’est pas seulement le beau gosse typique de l’histoire ; il a ses propres peurs et insécurités, ce qui le rend d’autant plus réaliste. Par ailleurs, les personnages secondaires sont également brillamment développés. Chacun a son propre arc narratif et contribue de manière significative à l’intrigue. Chaque personnage secondaire, du charismatique Shazad au loyal Sam, a son moment de gloire et contribue de manière significative à la résolution de l’histoire. Cette attention aux détails et cette volonté de donner une conclusion satisfaisante à chacun sont vraiment louables. C’est Shazad, avec sa bravoure tranquille et son intelligence stratégique, qui a vraiment capturé mon cœur. Son rôle est crucial, et j’ai adoré la voir en action, toujours prête à se sacrifier pour le bien commun. Dans ce dernier tome, Shazad brille encore plus. Elle n’est pas seulement la stratège brillante de la rébellion, mais aussi une amie fidèle et une figure de soutien pour Amani. J’ai été particulièrement touché par la profondeur de sa relation avec son père. Elle est une leader née, capable d’inspirer ceux qui l’entourent avec sa détermination et sa vision claire. Chaque scène avec Shazad est une leçon de courage et de persévérance. Les jumeaux, Imin et Maz, ainsi que Sam, apportent une légèreté bienvenue à l’histoire. Leur présence ajoute de la chaleur et de l’humanité à l’univers souvent brutal de la rébellion. J’ai aimé voir comment leur dynamique apporte une touche de camaraderie et de réconfort, même au milieu du chaos. Ils représentent cette idée de famille choisie, unie par des liens plus forts que le sang. Leur loyauté et leur affection les uns pour les autres sont une source constante d’inspiration et de réconfort.

Un tourbillon d’aventures captivantes au cœur du désert de Miraji, avec des personnages puissants et émouvants

Mon préféré de la saga, je l'ai dévoré.

Les personnages sont supers, l'intrigue est addictive.

Spoiler(cliquez pour révéler)J'ai beaucoup aimé les morts de personnages principaux et secondaires parce qu'elles rendaient l'histoire plus vivante et réelle, je me suis inquiétée pour tout les personnages sans avoir la certitude qu'ils viraient jusqu'à la fin grâce au Plot Armor.

Par contre j'ai eu beaucoup de mal à identifier les personnages secondaires, je pense que plus de temps passé avec eux ou plus de descriptions de leurs personnalités m'aurait aidé à me souvenirs et a m'attacher à eux un peu plus.

Un troisième et dernier tome que j'ai mis bien trop de temps à lire. Cela fait que je n'avais plus tous les éléments de l'intrigue en tête et que j'ai lu ce tome d'un regard presque extérieur à la saga, que j'avais pourtant adoré dans les deux premiers tomes. J'ai d'ailleurs trouvé Amani totalement antipathique dans ce tome et cela m'a vraiment dérangé au vu de tous les décès des personnages du livre. Je suis déçue par ce dernier tome ; mais je pense que c'est une déception qui est de ma faute car j'aurai du le lire quand j'avais encore tous les éléments en tête.

Un troisième tome toujours captivant entre des légendes racontées et ceux qui font les légendes, entre le désert, les princes, les sultants, les Djins et les Demdjis ! Une bataille finale pour vivre libre et embrasser sa nature. Attention aux fourberies des Djins !

A part que tout le monde à une tendance déprimante à mourrir je suis assez satisfaite de ce dernier tome. La fin est très belle je trouve. Et j’ai bien aimé la façon dont certains chapitres sont racontés style contes. Seulement, j’ai trouvé certains passages long et j’ai dù feuilleté les pages pour ne pas m’ennuyer. Bref. mais tout est bien qui fini bien au final.

L’écriture de ce dernier tome est toujours aussi magnifique que les deux précédents tomes.

On est plongé dans les décors et dans les actions.

Le début était juste un peu long car Amani doutait beaucoup d’elle-même et des décisions qu’elle devait prendre, mais la deuxième partie du roman et à la hauteur et nous surprend jusqu’au bout du récit.

Suite et fin d'une saga qui m'a vraiment réconciliée avec le genre du Young-adult. Cette écriture est juste dingue on arrive à ressentir le désert en soi. Je ne sais pas trop comment l'expliquer mais je trouve qu'entre le tome un et celui-ci on voit vraiment l'évolution de l'autrice et de son écriture. Ici c'est comme un feu d'artifice : on en prend plein la tête et on adore ça ! Je suis passée par toutes les émotions : la joie, la tristesse, la nostalgie aussi car j'ai été un peu dégoutée de refermer les dernières pages : j'avais envie de rester plus longtemps dans cet univers.

Je vais suivre de près les prochaines sorties de l'autrice car vraiment ça vaut le détour.

je vous conseille cette saga à 200% pour passer un moment au top dans un univers qu'on voit assez rarement il faut le dire.

J’ai adoré ce dernier tome autant que les 2 précédents.

Ravi de quitter le palais pour retrouver le désert du Miraji, car comme pour Jin, "le bandit aux yeux bleus" commencé à me manquer. Amani en demji est forte et son rapprochement avec Shazad a la vallée de Dev dans le tome 1 puis avec le sultan au harem dans le tome 2 a affûté son sens de la stratégie et son sens du sacrifice, mais la responsabilité de diriger la rébellion l’éloigne trop du personnage de la fille de Dustwalk que j'ai appris à aimer. Heureusement Jin reste le même en toutes circonstances, partagé entre le fait de tout tenter pour sauver Amani, l’amour de sa vie, et fuir loin d’elle quand le risque qu'elle meurt est imminent (trop peur de la voir mourir).

Comme dans chaque rébellion et/ou guerre, on peut quelques personnages secondaires et je trouve ça dommage. Hala permettait à tous de garder les pieds sur terre et de ne pas oublier pourquoi ils se battent, et Sam l’esprit léger du groupe qui détent l’atmosphère dans les situations critiques.

Un dernier tome qui nous fait faire des looping émotionnels entre amour, chagrin, joie et moment de peur, je me suis fait embarquer dans l'histoire et suis triste de quitter le Miraji.

J'ai eu des difficultés à finir ce dernier tome. Je n'était plus dans l'histoire. J'ai réussis à être de nouveau prise dedans pour le dernier tiers du livre.

C'est avec beaucoup d'émotions que j'ai finis ce tome 3. Rebelle du désert est une trilogie découvert par le plus grand des hasards et je me suis dit que j'allais lui donner une chance. Je ne regrette rien.

Tout d'abord, je tiens à dire que j'ai eu du mal à commencer ce troisième tome. Pourquoi ? A cause des nombreux morts et du stress contant que je ressentais. J'avais peur de lire la suite, et au final, j'ai pris mon courage à deux mains et j'ai finis ce tome. Comme pour les deux premiers tomes, celui-ci se lit aussi bien. Le lore est toujours présent voir même un peu plus dans ce tome par rapport aux précédents.

Je ne suis absolument pas déçue de la fin, si elle avait été différente j'aurais été déçue. C'est ce que je souhaitais et voulais.

Ce n'est pas la meilleure trilogie que j'ai lu c'est vrai mais elle est quand même sacrément bien je l'avoue.