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"-Diana ! cria-t-il.

Son cri angoissé mourut, et pendant un temps elle n'entendit plus que le doux clapotis des vagues sur le rivage.

-Diana, j'ai besoin de toi...

À la façon dont sa voix se brisa en prononçant son nom, elle le crut. Mais elle ferma les yeux et continua à marcher vers l'hôtel, là-bas où les lumières brillaient et d'où montait une musique sourde.

-Diana, poursuivit-t-il de la même voix désespérée tout en la suivant sur la plage, Diana, je vais la quitter.

En entendant ces mots, elle s'arrêta et le regarda. Le visage d'Henry avait toujours été parfaitement civilisé, mais là il la fixait avec une passion désespérée, presque sauvage.

-C'est vrai ? chuchota-t-elle.

-Je ne peux pas me passer de toi.

-Vraiment ?

Diana savait qu'elle était en danger de perdre à nouveau la tête, mais l'espoir renaissait en elle.

Henry s'approcha encore et la contempla avec une conviction plus forte que jamais. Il lissa ses boucles en arrière, puis caressa ses yeux et ses lèvres du bout des doigts.

-Viens, il vaut mieux que tu te changes, lui dit-il en passant son bras sur son épaule.

Ils marchèrent ainsi en direction de l'hôtel illuminé de l'autre côté de la pelouse, jusqu'au moment où ils s'aperçurent qu'ils s'en étaient trop approchés. Ils se séparèrent pour qu'elle puisse retourner dans sa chambre pendant qu'il endosserait à nouveau son rôle de mari. Elle garda l'image de son visage dans son esprit. Il lui avait fait la plus belle des promesses, belle comme toutes celles qu'il lui avait faites jusque-là"

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Extrait ajouté par nienor 2011-05-03T21:03:04+02:00

Car là, à côté d'Henry, se trouvait Penelope. Diana ferma les yeux et se retint de pleurer. Quand elle les rouvrit, Penelope était toujours là. Elle était arrivée derrière Henry et avait enroulé ses bras autour de son torse d'une façon très intime. Elle était en chemise de nuit et ses cheveux bruns et soyeux tombaient sur ses épaules. Cela faisait de nombreuses années que Diana n'avait pas vu Penelope les cheveux libres, sans une coiffure savamment arrangée, et l'aspect désordonné de sa silhouette, dans ce lieu et à ce moment précis, était à la fois beau et terrible. Les deux personnes qui se tenaient sur cette terrasse étaient bien plus averties et rusées qu'elle ne le serait jamais, mais ce qu'elle était assez grande pour voir en eux à ce moment, malgré toutes les protestations d'Henry, c'était qu'ils étaient un couple marié en toute intimité. Cela crevait les yeux. Autour des pelouses du Royal Poinciana tout était calme, mais le coeur de Diana Holland saignait.

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Extrait ajouté par Ellen-x 2014-06-05T18:07:02+02:00

-Impossible de rester plus longtemps. Si ma détestable épouse découvrait que je suis avec toi maintenant, si elle savait que je t'ai avoué la raison de notre mariage, et à quel point je meurs d'envie de t'embrasser...

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Extrait ajouté par Virgile 2010-01-23T03:44:44+01:00

Extrait en anglais :

…“I hope, for my own sake, that the day you realize that you were made for better things is later rather than sooner.”

They had reached the huge, classically proportioned windows that faced northward onto the street, and Diana dropped her friend’s arm for a moment to gaze down at the fallen snow reflecting the warm light from above. Behind them the voice of Leland Bouchard could be heard going into raptures about his recent purchase of a horseless carriage, an Exley, which was displayed in the first-floor vestibule so that guests could, upon their arrival, stare at its shiny modernity with covetous curiosity.

Their host was tall, with a uniquely broad forehead and wheat-colored hair that always seemed a little overgrown.

“It can cover twenty-four miles in an hour, without undue racing effort,” he was saying to Mr. Gore.

“He is an investor in the Exley Motor Carriage Company,” Barnard remarked, sotto voce, to his protégé.

Though Diana should have listened for more information, she found her attention already wandering to the street below. The lace flower on her gown rose and fell with her breath, and a delicate sensation settled across her chest. The crowd behind her, which was full of stories that the protagonists would rather not have told, and also of small deceptions certain to amuse the reading public, dimmed for her. Just a moment ago she had felt the cleverest player in a game that obsessed the whole room, but she was overcome now by the strong impulse to hide herself and the brassy sound of her famous laugh.

Down below, Henry Schoonmaker had stepped out of his coach and was lighting a cigarette as he paused by the iron gate that encircled Leland Bouchard’s mansion. He was the man who had drawn out Diana’s affections last season, and then pounded on them. There was much history between them, but as Diana watched him, posing there with the elbow of his smoking arm rested on his wrist, in a wide, pensive stance, she reminded herself that she felt no emotion for him. And when Henry’s wife, Penelope—of the so newly grand Hayes family—arrived at her husband’s side, with her fierce blue eyes cast directly in front of her, Diana reminded herself that Henry had chosen to marry mere weeks after taking Diana’s virginity.

“I’d like to know what goes on in their bedroom.” Barnard smirked.

“The Schoonmakers are the envy of every young couple in the city,” Diana answered mechanically, as though repeating some lesson learned by rote.

Barnard took two champagne glasses from a passing tray and handed one to Diana. She closed her eyes and took a long sip that did nothing to settle her insurgent nerves. In a moment, Henry Schoonmaker would be coming through the door.

He must not see her.

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Extrait ajouté par Ellen-x 2014-06-05T18:07:51+02:00

Alors il lui sourit et, en un instant, le mauvais temps sembla s’adoucir. Elle ressentait cette ancienne légèreté, cet étourdissement qui la faisait se sentir capable de tout, comme toujours, en présence d’Henry.

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Extrait ajouté par Ellen-x 2014-06-05T18:07:15+02:00

Sans Will, chacun de ses pas était un vacillement. Elle ne sentait plus les limites de son corps, qui étaient devenues vagues, incertaines, et peut-être était-ce pour le mieux, car ce qui allait se passer maintenant, elle n’avait aucune envie de l’éprouver. Elle se sentit submergée par une immense vague de tristesse, et elle ferma les yeux. Son front se plissa, et la tristesse ne passa pas ; elle pria pour que Will la voie, de là où il était, et l’aide à ne pas pleurer.

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Extrait ajouté par anonyme 2013-11-09T00:40:47+01:00

"Teddy serra fort son verre dans sa main, s'accouda à la balustrade, et, avec un petit sourire :

- Toujours est-il que je ne peux pas m'éterniser ici, à rêvasser devant les jeunes dames qui se pavanent dans leurs nouvelles robes, et à boire de quatre heures de l'après-midi à quatre heures du matin. Non, ce ne serait pas faire un bon usage de ma vie. Je refuse de fuir le danger ; être un homme, ce n'est pas ça. Regarder la vie en face, affronter l'adversité et aller de l'avant, c'est cela le devoir d'un homme."

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Extrait ajouté par SlythKhaleesi 2016-12-18T20:58:09+01:00

" Que devrait-elle subir encore, se demande-t-elle, pour remplir les pages de l'histoire de sa vie ? Ce livre était déjà trop dense. "

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Extrait ajouté par SlythKhaleesi 2016-12-18T20:57:10+01:00

" Le monde était merveilleux - il vous infligeait des épreuves, mais si vous restiez calme et concentré, si vous essayiez de faire ce qu'il fallait, il vous ménageait toujours des planches de salut. "

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Extrait ajouté par SlythKhaleesi 2016-12-18T20:52:55+01:00

" Gardez l'esprit aiguisé lors des voyages en chemin de fer et des croisières, car les déplacements ont l'avantage de tout clarifier. "

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