Reines de sang

La première partie, passe encore, mais le reste est d’un ennuyeux ! Un vrai roman à l’eau de rose ! En plus d’être ennuyeux, il n’y a que des répétitions ! On n’apprend pas grand chose, donc dommage pour un roman historique. A éviter!

J'ai bien aimer mais j'ai trouver que c'était long a un moment puis c'est redevenu bien. C'est un très bon roman historique ! J'étais sensée le lire pour le collège mais l'époque ne correspondait pas . Au finale, je ne regrette pas puisque c'est un très bon livre!

J'adore cette sage qui commence avec la guerre des deux roses et se finis avec la fin des Tudors. On est sûre de trouver des complots, des secrets, des trahison que peut tout faire basculer en un rien de temps. C'est une période de l'Angleterre très dangeureuse. Où juste un mariage ou une religion peut vous condamner à la mort. Et comme d'habitude, je prend plaisir à retrouver la plume de l'autrice.

Et cette fois-ci, dans ce tome on découvre l'histtoire des trois soeurs Grey, qui ont eu le malheur d'être née avec du sang Tudor de par leur grand-mère maternel. L'histoire est coupé en trois partis où l'on suit chacune une soeur, en premier Jane, puis Catherine et on finis avec Mary. Elles souhaitent vivre leur vie selon leur désire, et l'on va bien leur caractère différent. Elles vont essayer chacune leur tour apprendre de l'erreur de la précédente, pour échaper à la mort. Hélas, on voit bien qu'elles ne sont que des pions sur l'échiquier. Philippa Gregory arrive avec merveille à nous faire compatir à leurs malheurs, ainsi que leurs joie.

Quand on connait l'histoire des Tudors, ce livre confirme qu'ils se sauto-détruit jusqu'à ce que la dynastie disparaisse complètement. On découvre encore plus le coté paranoïaque à voir des complots partout dans la façon dirige les Marie et Elisabeth. Car à travers se livre, on survole leur régne sans jamais vraiment y renter en profondeur. Ce qui est agréable, car les soeur Grey sont des personnages historique peut connu. Personnellement, j'ignorais leur existence. Je ne peux donc pas savoir si tout est exacte sur leur vie.

http://lecholitteraire.e-monsite.com/blog/histoire/reines-de-sang.html

Je n'avais jamais lu de roman de Philippa Gregory avant Reines de sang... Et je ne sais pas si je vais tenter d'autres titres de cet auteure par la suite...

En effet, j'ai eu bien du mal à venir à bout de ce livre qui pourtant, sur le papier, avait tout pour me plaire : l'histoire par le petit bout de la lorgnette d'une de mes époques préférées de l'histoire anglaise, la confrontation entre Marie Stuart et Elisabeth 1ere.

Petit bout de la lorgnette car Philippa Gregory s'appuie sur la vie des 3 soeurs Grey, cousines d'Elisabeth et de Marie, et qui sont les légitimes prétendantes du trone d'Angleterre. Chacune a son caractère, chacune aborde sa possible royauté à sa manière, mais toutes avec fierté et conviction, avec abnégation et honneur.

Et pourtant, j'ai trouvé ça bien mou. Une idée, reprise, tournée en boucle, détricotée, retricotée, pour définir la méchanceté, l'obsession, la folie d'Elisabeth, ça ne reste toujours qu'une seule idée.

Enfin bref, on ne m'y reprendra plus !

Un aperçu historique riche mais peu d'histoire romancée. Les références de personnages oubliés sont intéressantes mais cela manque d'événements. Des redondances, des schémas répétitifs et des intrigues de cour incessantes sont au menu. Toutefois, cela donne un aperçu des manipulations à l'interne et des conséquences des événements sur les femmes décrites.

Dans ce roman, Philippa Gregory nous emmène dans l'histoire des sœurs Grey, arrière-petites-filles d'Henri VII et à ce titre faisant partie des héritiers possible des Tudor.

En effet, après la mort d'Edouard VI, la guerre fait rage pour sa succession et 3 reines vont se succéder: Jane Grey, Marie Ière et Élisabeth Ière.

L'auteure se met donc successivement dans la tête des 3 soeurs: Jane, Catherine et Mary. Si la première est un peu connue, je n'avais jamais entendu parler des deux autres.

J'ai donc appris pas mal de choses et j'ai apprécié de suivre le destin quelque peu tragique de ces personnages. Philippa Gregory ne semble définitivement pas fan d'Élisabeth Ière, je la trouve un peu dure avec cette reine, décrite comme cruelle et inconstante. J'ai un peu moins aimé la troisième partie, trouvant que les destins de Catherine et Mary un peu redondants.

J'ai aimé l'écriture, le style de l'auteur. Un grand travail de recherche pour nous rendre compte de cette guerre de succession au trône (de 1550 à 1573), sur fond de guerre de religion entre protestants et catholiques.

J'ai été prise d'affection pour les sœurs Grey, des pions sur l'échiquier politique, qui nous racontent en 3 parties leurs mésaventures. Tiré de fait réel, ce roman nous plonge dans une part d'histoire méconnue d'Angleterre. Une époque bien dure pour les femmes, et surtout pour les femmes dans l'entourage d'une reine, que ce soit la reine Marie 1er ou la reine Elisabeth 1er, chacune à tour de rôle se révélera égocentrique, colérique, calculatrice, fourbe, jalouse... pour le plus grand malheur de leurs cousine, les sœurs Grey, ainsi que toute la famille Tudor.

Quelques longueurs et pas beaucoup d'action, dû sens doute au fait que toutes trois ont passé beaucoup de temps en prison. Je me suis accrochée sur les 100 dernières pages.

En tout les cas, si vous aimez l'histoire, c'est un roman à lire ;)

Le roman se scinde en trois parties, chacune de trois sœurs se raconte. Les sœurs Grey ont été broyées par des guerres fratricides pour un trône, manipulées comme de simples poupées de chiffon pour un pouvoir absolu. De simples pions pour leurs parents, forts de leur ascendance et surtout prêts à tout pour l’ascension vers un trône tant convoité. Une vie, la vie tout simplement n’a pas vraiment de valeur. Leurs chères petites blondes ne sont certes pas leur bien le plus précieux. Tant pis, si la hache tranche une existence dont l’aube pointait seulement le début de ses rayonnements. Jane Grey, reine de neuf jours, est jetée sur le trône de l’Angleterre par son entourage et les partisans de l’Eglise anglicane. Même si la partie consacrée à Jane force le trait sur sa foi et son côté martyr, il est très difficile de ne pas s’émouvoir devant cette jeune fille fauchée dans ses plus belles années. N’oublions pas, elle n’avait pas encore 17 ans. La toile de Paul Delaroche : « Le supplice de Jane Grey » grave à jamais, toute l’horreur de cette exécution. L'Histoire a retenu seulement cette sœur Grey. Jane comme Catherine se ressemblent par bien des côtés. Fières, opiniâtres, elles s’obstinent, l’une dans sa foi, l’autre dans une passion amoureuse. Elles font fi des menaces et elles ne souhaitent que vivre selon leurs cœurs. La petite dernière, Mary s’affirme plus maligne, plus souple, mais toute aussi passionnée par la vie dans un univers dur et cruel. Autre temps, autres mœurs, les portes de l’enfance se claquaient trop vite et ces jeunes femmes faisaient preuve d’une grande maturité d’esprit difficilement envisageable à notre époque. Marie Tudor, colérique et revancharde ne recule devant aucune exécution pour asseoir son pouvoir et la religion catholique. Une guerre sans fin contre ses prétendus ennemis durera tout le long de son règne. Ce personnage historique a dû inspirer Lewis Caroll pour sa reine de cœur et son impressionnante réplique : « Qu’on lui tranche la tête ». Je pourrais même avancer une certaine ressemblance physique !

Quant à sa non moins célèbre demi-sœur, la reine Elisabeth I, son auguste père ne peut vraiment pas la renier : autoritaire, colérique avec juste ce qu’il faut ou ne faut pas pour son entourage, de paranoïa. La romancière brosse un portrait assez noir qui s’éloigne de l’image de grande souveraine que l’Histoire a l’habitude de retenir.

Une autre femme, la figure maternelle, Frances Brandon, fière de son sang bleu. Elle estime que sa branche est la digne et unique héritière du trône. La mort de sa fille aînée n’a pas laissé de traces d’un deuil sans fin. Une mère dure, autoritaire que ses aigreurs emporteront.

Philippa Grégory a su, une fois de plus, rendre vie aux fantômes du passé. Accompagner ces jeunes femmes a été une formidable expérience de lecture, de beaux moments prenants, voire stressants. Sa plume efficace et sa grande érudition déroulent tout le faste, la fureur d’une époque révolue. Une course au trône d’Angleterre des plus passionnante ! Cette lecture offre la possibilité à notre mémoire de s’exercer. Retenir tous ces noms, titres et filiation donnent parfois le tournis.

La romancière possède un véritable don pour raconter l’Histoire et plus particulièrement celle de cette famille très célèbre les Tudors. Par bien des points, les intrigues, les trahisons, les meurtres et les guerres intestines sans fin évoquent cette aussi célèbre famille grecque, les Atrides. La renaissance anglaise aurait pu servir le théâtre classique et ses tragédies sans fin !

http://www.my-bo0ks.over-blog.com/2020/08/reines-de-sang-philippa-gregory.html

Je continue mon petit marathon de lectures historiques dans le cadre du Grand prix du roman historique de chez Hauteville avec Reines de sang de Philippa Gregory. J'étais curieuse de découvrir l'histoire de ces trois sœurs dont les destins vont être bousculés lorsque le Roi d’Angleterre est sur le point de passer le flambeau.

Reines de sang, c'est l'histoire de Jane, Catherine et Mary Grey. Toutes les trois sont encore jeunes et pourtant, leur vie semble déjà toute tracée. Leur sang et leur héritage royal font d'elles des possibles futures reines mais aussi des cibles. Car lorsqu'il est question de pouvoir et de couronne tous les coups sont permis et c'est Jane, l'aînée qui va s'en rendre compte en premier.

Dans la première partie du roman, nous nous concentrons sur l'histoire de Jane. Et autant vous dire que c'était à la fois intéressant pour le côté histoire, qu'un calvaire pour moi. En effet, l’héroïne, Jane est pieuse comme pas possible alors avoir ses réflexions sur Dieu et la religion à chaque page comme quoi, Dieu seul peut juger, décider etc. cela a eu un effet assommant sur moi et même plus. Mais en plus, je n'ai vraiment pas accroché à l’héroïne en elle-même. Elle dit qu'elle ne juge pas, mais elle le fait systématiquement. Elle ne jalouse pas, mais bien au contraire. Bref, elle a la critique facile et j'avoue l'avoir trouvé très hautaine, tant avec ses proches qu'avec les autres personnages.

Les rebondissements de l'histoire ne m'ont pas plus captivés que cela et honnêtement, j'ai vraiment essayé d'aller au bout de ma lecture mais en vain. Plus j'avançais et moins j'en avais l'envie. Le style de l'auteure ne m'a pas semblé si accrocheur que ça et aucun personne ne s'est véritablement démarqué à mes yeux.

Finalement, après avoir posé mon livre plusieurs fois en me disant "tant pis, j'abandonne", j'ai repris deux fois celui-ci pour tenter de poursuivre sans réussir à aller au bout. En conclusion, je préfère ne pas empirer les choses, car quoiqu'il arrive, l'envie n'y est pas. Reines de sang n'aura donc pas été fait pour moi et plaira sans doute à d'autres.

J'ai trouvé ce livre en fouinant chez le libraire, donc un peu par hasard.

J'ai vraiment aimé découvrir cette période et ses que je ne connais pas très bien, et j'ai envie d'en découvrir plus grâce à ce livre.