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Extrait ajouté par Tiate 2016-08-11T09:52:40+02:00

- Cara Avery, je...je te prends pour épouse, lâche-je en haussant les sourcils à plusieurs reprises pour accentuer mon sous-entendu graveleux. Et, bon sang ! J'aimerais tellement pouvoir, à cet instant, te prendre autrement mais...mais je vais attendre encore un peu parce que je sais que, désormais, je vais pouvoir user et abuser de ton corps à ma guise et jusqu'à la fin de ma vie... Bref, maintenant que mon cerveau du bas vient de parler, c'est à mon coeur. Cara Avery, je te veux pour épouse. Tu es mon tout, ma vie, ma raison de me lever le matin, et tu l'es depuis toujours. Sans toi, ma vie est inconcevable. Sans toi, ma vie n'est que noirceur et tristesse. Sans toi, je ne suis rien. L'enfant, notre enfant que tu es en train de créer est la preuve de notre amour, alors, il est de notre devoir de lui donner amour, stabilité et sécurité. Par cet acte, nous scellons cette promesse... Donc, en conclusion, je suis désolé si je suis un peu gauche et si je tarde un peu, mais, Cara Avery veux-tu de moi pour époux ? Acceptes-tu de passer toute ta vie avec deux enfants à tes côtés ? Moi et notre bébé ?

J'achève mon monologue en poussant l'anneau jusqu'au bout.

- Evidemment, je le veux, lance-t-elle en m'embrassant.

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Extrait ajouté par Tiate 2016-08-10T13:53:52+02:00

- Oui, je suis enceinte. Enfin, disons que j'aurai la confirmation demain. (Elle me détaille avec davantage d'intensité et d'inquiétude.) Tu...le prends comment ?

- Je suis heureux, ma puce. Follement heureux !

Elle peine à le croire.

- C'est vrai ? Ce n'est pas trop...tôt ?

- Je veux cet enfant. Je le veux plus que tout.

Elle m'enlace avec plus de vigueur et pose sa tête contre mon épaule.

Je m'enquiers à mon tour :

- Et...toi ?

- Je l'aime déjà.

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Extrait ajouté par Tiate 2016-08-08T12:40:51+02:00

- Reed ?

- Hum ?...

- Epouse-moi !

Perplexe, il m'interroge du regard avant de s'exprimer :

- Euuuh... oui. C'est ce qui est prévu, non ? Tu ne porte pas cette bague pour rien, si ?

- Oui, je sais, mais je veux dire...Marions-nous...Ce soir, demain, après-demain ou même le week-end prochain. Je n'en peux plus d'attendre. Je veux devenir Madame Reed Hamilton.

Il a un réflexe de recul face à ce soudain engouement.

- Je peux savoir ce qu'il t'arrive ? Pourquoi ce soudain revirement ? Je pensais que tu voulais attendre l'an prochain.

- Il m'arrive que, jusqu'à présent, je subissais ma vie. Je veux en devenir l'actrice. Tu es l'homme de ma vie, je n'ai plus aucun doute là-dessus. Ces dernières semaines ont été dures, intenses, jonchées de troubles et de désillusions. Mais j'ai beau faire le tour de la question, je ne vois qu'une seule personne pour m'aider à dépasser les aléas de l'existence et c'est toi. Tu es tellement merveilleux...Contrairement à ce que tu penses, tu n'es pas que noir ou blanc, tu es un nuancier, une palette de couleurs à toi tout seul. Chaque jour, j'aime en découvrir une nouvelle. Il y en a de plus sombres que d'autres, c'est vrai, et elles me touchent, mais il y a aussi des pastels. Ces couleurs-là sont si douces et si agréables que ma vie à tes côtés n'en sera que plus resplendissante.

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Extrait ajouté par kaory 2016-03-29T13:39:41+02:00

Je suis comme je suis. On m’accepte ainsi ou pas du tout. Le ressenti des gens m’importait peu, jusqu’il y a peu. Je vivais au jour le jour, à cent à l’heure. Ma vie n’a jamais été rose, avec son cortège d’embûches, de drames, de débauches. Pourtant, je dois vivre avec. Aujourd’hui, j’implore ma rédemption, mon pardon. Je suis désormais guidé par ma fiancée, ma future épouse, Cara. L’unique amour de ma vie. Celle qui a le pouvoir de me rendre ma pureté, mon honneur et mon bonheur. La tenir dans mes bras, la sentir contre moi, humer le parfum fruité de sa peau et lui faire l’amour avec cette douceur dont je me croyais incapable est un don du ciel.

J’ai passé des jours, des nuits à rêver de son corps, de sa présence, et maintenant qu’elle est enfin à mes côtés, je ne suis pas prêt à la lâcher. Je fais des efforts et lui ai fait des promesses auxquelles je dois me tenir. Le chemin est encore long, j’en suis conscient, mais avec elle, tout est possible. Elle tient ma vie entre ses mains. Elle est ma force autant que ma faiblesse, et même si je suis encore en train de me chercher, je suis en proie à l’espoir qu’un jour, je trouverai cette lumière à laquelle j’aspire.

Ces derniers temps n’ont pas été de tout repos pour nous. J’ai appris que mon père biologique était toujours en vie. Enfant, je le pensais mort. Du moins, je l’imaginais comme un de ces héros de guerre tombé au combat. C’était ridicule, je le sais, mais cette conclusion expliquait qu’il m’ait abandonné entre les mains d’un pédophile et elle me donnait la force nécessaire pour survivre. Les choses ne seront pas simples, mais il va me falloir apprendre à pardonner à ce père bel et bien vivant et de retour dans ma vie.

Récemment, j’ai aussi appris que Lucas n’était en fait que mon demi-frère. Cette nouvelle ne fait aucune différence pour moi, mais il est peut-être le fils de l’homme qui m’a pris mon âme d’enfant, mon adolescence, de l’homme que j’ai assassiné. Je vais devoir m’y faire, et surtout le surveiller de près.

Le temps où je fuyais mes responsabilités est désormais terminé.

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Extrait ajouté par Pegh 2019-01-05T10:54:59+01:00

Le cœur cognant vivement contre ma poitrine, je bondis.

- Qu'est-ce qu'il y a ?

Je pivote vers Cara et répète ma question :

- Qu'est-ce qu'il se passe ?

Elle ne me réponds pas, je poursuis :

- Tu as fait un cauchemar ?

Elle secoue la tête et me montre du doigt l'extérieur.

- Quelqu'un... peut-elle seulement prononcer.

Rondement agacé, je m'assieds, m'extirpe du duvet et enfile mon jean.

Cette petite entêtée n'arrivera pas à dormir tant que je ne lui aurai pas prouvé que personne ne rôde dehors.

- Où vas-tu ? s'inquiète Cara en me maintenant par le bras.

- Dehors !

- Non ! Et s'il...

- Il n'y a personne dehors, Cara ! C'est ton imagination débordante qui te joue des tours !

- Il y avait une main contre mon visage !

Ahuri, je répète :

- Une main ?!?

Elle hoche la tête, le regard révulsé par la peur.

Soucieux, je me dégage de sa poigne, ouvre la fermeture et me faufile hors de la tente après avoir enfilé mes chaussures.

Prudent, je me lève et inspecte les alentours, une lampe torche à la main.

- Qu'est-ce qu'il vous arrive ? retentit la voix de Jackson.

- Rien, grogné-je en ne voyant que l'obscurité de la nuit nous entourer.

Miller sort la tête dehors.

- Pourquoi hurlait-elle ?

- Cara se refait sa propre version de Blair witch, raillé-je en balayant les arbres de la lampe.

- Blair witch ?!?

- Un film d'épouvante où de viiiiilaines sorcières que l'on ne voit JAMAIS terrorisent des adolescents STUPIDES en mal de sensations fortes, m'emporté-je, trouvant tout ceci parfaitement ridicule.

- J'ai vu une main, Reed ! Elle me caressait au travers de la toile, explique Cara en s'extirpant prudemment de la toile de tente.

Irrité, je reporte mon regard et la lampe sur elle.

- Toi ! Tu fais demi-tour, tu te mets la tête sous le duvet et TU DORS !...

- Une main ? reprend Jackson, étonné.

Je m'emporte encore.

- ÉVIDEMMENT QUE NON !... Ce n'était pas une main ! Il n'y a personne ici ! Allez ! Rendormez-vous. S'il faut, je reste un peu là.

Esquissant un sourire forcé en direction de Cara, j'ajoute :

- Rassurée ?!?...

- Attends ! Ramène la lampe par ici, c'est quoi, par terre ? se tracasse Jackson en me désignant une trace à ma droite.

Au bord de la crise de nerfs, je m'exécute en râlant.

- Vous êtes sérieusement en train de me les cass...

Je me tais et m'avance en pointant le faisceau lumineux sur ce qui ressemble à un cercle tracé au sol à l'aide d'un bout de bois sorti des braises. Le survolant avec davantage d'attention, je peste. Putain ! C'est quoi cette merde ? Je ne mets pas deux secondes avant de voir rouge.

- C'est quoi ? demande Jackson.

- Un cœur !

Je secoue la tête, bouillonnant de l'intérieur, fulminant.

- Quoi ? répètent Cara et Jackson, à l'unisson.

- Un cœur entourant une putain de lettre C ! vociféré-je.

Jackson et Cara sortent à la hâte des tentes pour me rejoindre.

- Je veux partir, Reed, lance Cara. Je veux partir d'ici...

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Extrait ajouté par Karine89 2020-11-10T09:08:33+01:00

Mon frère m'obsède de plus en plus. En admettant qu'il s'agisse bien d'un ressenti, je n'arrive pas à le décrire. C'est un combat intérieur, une lutte incessante entre les deux facettes de mon être. J'ignore comment agir. C'est une dépendance. Un instinct. Un besoin qui s'empare de mon esprit à longueur de journée. Certains appellent cela de l'amour, d'autres, de la fascination ou de l'idolâtrie. Moi, je ne sais pas, mais je pourrais le qualifier de fragilité...

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Extrait ajouté par Tiate 2016-08-09T13:14:09+02:00

- ...Par contre, ce soir, j'avais en tête, peut-être, de sortir en discothèque.

- Quoi ? m'estomaqué-je, surpris. On pourrait rester tranquillement ici, non ? Ta copine ne vient pas pour sortir en boîte de nuit, tu ne crois pas ?

- Oh, mais rassure-toi ! Toi, tu resteras ici. Tranquille. Le "on" ne concernait que Jenyfer et moi... C'est-à-dire une soirée entre filles...

Je m'étouffe avec ma bouchée de bacon.

- Hors de question ! dis-je en avalant difficilement le morceau de viande.

- Je ne te demande pas l'autorisation.

Sentant la colère me comprimer l'estomac, je lâche mes couverts dans l'assiette et réplique sèchement.

- Tu n'iras pas en boîte de nuit sans moi, Cara ! Tu oublies ça tout de suite !

- Et pourquoi ? s'indigne-t-elle.

- Parce que...! Tu n'iras pas. Point !

- Tu m'as demandé l'autorisation pour aller au Bianquiz ?

- Arrête ! Je t'ai prévenue.

- Ben, moi aussi, je te préviens ! ...s'emporte-t-elle. J'irai en discothèque avec ma copine que tu le veuilles ou non !

- Ce n'est pas la même chose !

- Ah bon, et tu m'expliques la différence ?

- Tu n'y vas que pour te venger de ma petite virée.

- C'est faux... Je te fais confiance. Tu me fais confiance.

- Ce n'est pas la même chose, répété-je.

- Je t'écoute ? En quoi n'est-ce pas la même chose ?

- Tu es une fille !

- ET ?...

- Et si je ne suis pas là, je ne peux pas te protéger !

- Me protéger OU me surveiller ?... Ce n'est que de la jalousie, Reed ! Je n'ai pas besoin de ta protection. Je m'en suis bien passée jusque-là !

- Que tu dis ! J'ai toujours été derrière toi pour éloigner tous les connards qui ne voulaient que te baiser ! Et, crois-moi, il y en a eu un bon paquet !

Elle reste ahurie un instant puis se reprend.

- Eh ben, tu feras autrement pour une fois ! Tu feras confiance à ma capacité à me défendre toute seule et au fait que je ne ferai rien d'autre que de faire la fête avec copine. Tu feras comme moi quand je t'ai laissé aller seul à New York.

Su ces mots, elle quitte la pièce.

- La discussion n'est pas finie, Cara ! m'écrié-je.

- Si !

Je peste en tapant du poing contre la table.

- Putain !

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