Extraits

« -… Je ne veux pas d’une autre fille, ni une de celles que j’ai déjà rencontrées dans des bars ni une du milieu de la musique! Je te veux, toi. Ta normalité, tes chocolats, tes rires, ton enthousiasme pour tout, ta répartie, ton humour. »

- 𝑽𝒐𝒖𝒔 𝒔𝒂𝒗𝒆𝒛 𝒒𝒖𝒆, 𝒂𝒑𝒓𝒆̀𝒔 𝒄̧𝒂, 𝒐𝒏 𝒗𝒂 𝒅𝒆𝒗𝒐𝒊𝒓 𝒆̂𝒕𝒓𝒆 𝒂𝒎𝒊𝒔. 𝑪'𝒆𝒔𝒕 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆 𝒔𝒊 𝒍𝒆 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒂𝒗𝒂𝒊𝒕 𝒆𝒏𝒗𝒐𝒚𝒆́ 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒓𝒐𝒖𝒕𝒆 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒒𝒖'𝒐𝒏 𝒔𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆.

- 𝑳𝒆 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒂 𝒆𝒏𝒗𝒐𝒚𝒆́ 𝒅𝒂𝒏𝒔 𝒍𝒆𝒔 𝒕𝒐𝒊𝒍𝒆𝒕𝒕𝒆𝒔 𝒅𝒆𝒔 𝒉𝒐𝒎𝒎𝒆𝒔, 𝑳𝒐𝒖𝒊𝒔𝒆. 𝑬𝒕 𝒍𝒆 𝒅𝒆𝒔𝒕𝒊𝒏 𝒄𝒉𝒆𝒓𝒄𝒉𝒆 𝒎𝒂𝒊𝒏𝒕𝒆𝒏𝒂𝒏𝒕 𝒖𝒏 𝒎𝒐𝒚𝒆𝒏 𝒅𝒆 𝒗𝒐𝒖𝒔 𝒆𝒏 𝒔𝒐𝒓𝒕𝒊𝒓.

- Méfie-toi quand même. Je connais des gens très bien qui sont tombés amoureux rien qu'en embrassant.

- Vous avez dit : "On va trouver une solution. "

Donc , j'imagine que vous êtes en train de vous rejouer l'épisode 41 de MacGyver, où il parvient à forcer une serrure avec une branche de céleri et un vieux lacet.

J'éclatai de rire. Malgré la situation, cette fille n'avait pas perdu son sens de l'humour.

« -Tu peux lutter et me repousser autant que tu veux, je reviendrai toujours à la charge.

-Pour me persuader?

-Pour te gagner. Tu es une guerre, Louise. S’il faut que je bataille chaque matin pour te démontrer que ça peut marcher, je le ferai. »

« -J’adore ce que tu me fais. »

« -Et ce que j’ai vu en deux heures m’a convaincu. Tu es drôle, tu as de la repartie, un goût douteux en musique, un décolleté prometteur, des mains dangereuses et des tenues nocturnes tout à fait affriolantes. »

« Louise, la fille du bar à la chevelure impétueuse. Louise, la fille du supermarché, affamée de cornichons. »

« À l’évidence, Nicolas était aussi mufle que beau. »

Je connais des gens très bien qui sont tombés amoureux en s'embrassant.