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Extrait ajouté par anonyme 2012-04-23T20:14:15+02:00

Acte III :

BERENGER : Contre tout le monde, je me défendrai ! Je suis le dernier homme, je le resterai jusqu'au bout ! Je ne capitule pas !

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Extrait ajouté par x-Key 2010-12-01T18:10:58+01:00

La culpabilité est un symptôme dangereux. C'est un signe qui manque de pureté.

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Extrait ajouté par Ynys-Avallach 2022-07-23T12:40:23+02:00

BERENGER [...]

Comme j'ai mauvaise conscience, j'aurais dû les suivre à temps. Trop tard maintenant ! Hélas, je suis un monstre, je suis un monstre. Hélas, je ne deviendrai jamais rhinocéros, jamais, jamais ! Je ne peut plus changer. Je voudrais bien, je voudrais tellement, mais je ne peut pas. Je ne peux plus me voir.J'ai trop honte !

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Extrait ajouté par _celi_ane_ 2022-02-19T21:07:06+01:00

BÉRANGER, à Jean.

Moi, j'ai à peine la force de vivre. Je n'en ai plus envie peut-être.

[…]

La solitude me pèse. La société aussi.

‎‎‎

JEAN, à Béranger.

Vous vous contredisez. Est-ce la solitude qui vous pèse ou est-ce la multitude ? Vous vous prenez pour un penseur et vous n'avez aucune logique.

[…]

‎‎‎

BÉRANGER, à Jean.

C'est une chose anormale de vivre.

[…]

Je me demande moi-même si j'existe !

….

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Extrait ajouté par Maririe 2022-01-22T16:16:39+01:00

Les morts sont plus nombreux que les vivants. Leur nombre augmente. Les vivants sont rares.

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Extrait ajouté par Maririe 2022-01-22T16:16:30+01:00

Je ne me suis pas habitué à moi-même. Je ne sais pas si je suis moi.

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Extrait ajouté par Maririe 2022-01-22T16:16:14+01:00

Daisy: ... il s'agit tout simplement d'un chat écrasé par un pachyderme: un rhinocéros en l'occurrence.

- Botard: C'était peut-être tout simplement une puce écrasée par une souris. On en fait une montagne.

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Extrait ajouté par Maririe 2022-01-22T16:15:33+01:00

Autre syllogisme: tous les chats sont mortels. Socrate est mortel. Donc Socrate est un chat.

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Extrait ajouté par Ledesignerdu29 2019-04-07T14:28:28+02:00

"Le Vieux Monsieur et le Logicien se dirigent vers la droite, doucement, par où ils vont sortir. Ils devisent tranquillement."

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Extrait ajouté par Bluefunny 2017-03-22T17:27:39+01:00

Jean: Vous vous oubliez!

Bérenger: Je suis fatigué de vivre, depuis des années fatigué. J'ai du mal à porter le poids de mon propre corps..

Jean: C'est de la neurasthénie alcoolique, la mélancolie du buveur de vin...

Bérenger, continuant: Je sens à chaque instant mon corps, comme s'il était de plomb, ou comme si je portais un autre homme sur le dos. Je ne me suis pas habitué à moi-même. Je ne sais pas si je suis moi. Dès que je bois un peu, le fardeau disparaît, et je me reconnais, je deviens moi.

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