Ajouter un extrait
Liste des extraits
Je n’essaierai pas de coucher avec toi. (Il leva une main.) Parole de scout.
— Pour la dernière fois, tu n’as jamais été…
— Si, me coupa-t-il. Je l’ai été pendant un an. Une horreur. Et jusqu’à aujourd’hui, j’ai fait un usage abusif de mes connaissances en nœuds et ficelage.
Afficher en entier"Mais ce n'était pas vrai, et on le savait tous les deux.
Perdre Ronan Black lui fichait la trouille de sa vie. En fait, il était possible que ce soit précisément la raison pour laquelle Chase ne voulait pas aimer une nouvelle personne.
Chase Black rejetait l'amour parce qu'il avait peur de le perdre. Et moi ? Je courais après parce que j'avais perdu le plus grand amour de tous.
Nous étions mauvais l'un pour l'autre, à tous les niveaux possibles. Je désirais tout ce dont il avait peur, et il méprisait tout ce qui me tenait à cœur. Une fille saine d'esprit aurait mis fin au stupide pari des azalées, tourné les talons et pris la fuite." [...]
Afficher en entierUn type qui portait des leggings et des cravates Pat'Patrouille me surpassait. Je pense que le moment était venu de mettre fin à mes jours.
Afficher en entier« — Je peux pratiquement t’entendre réfléchir, grommela Chase en montant derrière moi.
Bizarre, il ne semblait pas du tout désolé. Simplement le connard habituel.
— Je peux pratiquement sentir tes yeux sur mon cul, répliquai-je du tac au tac.
— Tu pourrais aussi sentir d’autres parties de moi, si tu le voulais.
Ne le poignarde pas à coups de couteau à beurre, Maddie. Il ne vaut pas la peine d’aller en prison.
— C’est qui, le type ? demanda-t-il en bâillant d’un air provoquant.
Il y avait toujours une connotation diabolique dans ses paroles. Tout ce qui sortait de sa bouche était empreint d’un ton moqueur, pour bien vous rappeler qu’il valait mieux que vous.
— Seigneur. Pfff.
Je secouai la tête en soufflant. Il avait du culot de parler d’Ethan.
— Seigneur Pfff ? C’est un nom de scène ? Il aurait besoin d’un relooking. Parle-lui du Club Black & Co. On fait une remise de quinze pour cent sur les services d’un styliste personnel.
Je lui adressai un doigt d’honneur sans même me retourner ni prêter attention à son gloussement cruel. »
Extrait de: L. J. Shen. « Rich Bastard: Par l'autrice de "Vicious" et "Dirty Devil. » iBooks.
Afficher en entierL'intervalle entre la réalité et tes rêves ? C'est là que se trouve la vie.
Afficher en entierOn dit que quand on fait ce qui est juste, on se sent bien.
C’est faux.
Je me sentais minable de faire ce qui était juste. Carrément pitoyable.
Afficher en entierJe collai mes lèvres contre l’oreille de Madison. Elle fixait l’objectif des yeux, le sourire toujours aux lèvres, mais de là où je me trouvais, à cent cinquante mètres au-dessus d’elle (elle était vraiment minuscule), je discernais dans son regard l’horreur de se retrouver coincée ici pour l’éternité.
— J’ai envie de te faire des trucs très coquins.
Elle frémit et je souris en effleurant son oreille avec mes dents.
— Sous la douche, poursuivis-je. Tu pourrais t’asseoir sur le banc de ma douche pendant que je te dévore.
— Seigneur (elle ferma les yeux avec un léger gémissement), c’est tellement… hygiénique.
On éclata tous les deux d’un rire spontané, ce qui nous attira un regard noir de la part de Becky.
Afficher en entier- Tu es douée pour faire les choses en douce.
- Comme quoi ?
- Te faufiler dans mon coeur
Afficher en entierMange bien.
Et souviens-toi d’une autre règle des fleurs : si ça ne te fait pas grandir ou t’épanouir…laisse tomber.
Afficher en entierPutain, je t’aime Madison Pétale Goldbloom. A tel point que parfois ça me fait mal de te regarder.
Afficher en entier