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Et qu'importait ce que le destin me réservait : j'avais bien l'intention de me battre pour nous. J'avais mis du temps à prendre conscience de ce que Quinn représentait pour moi, mais, à présent, il était hors de question que je le perde.

- Je te vois bien maman, murmura-t-il en glissant les mains sous mon tee-shirt. (Un frisson de désir me parcourut tandis qu'il me le retirait.) Je suis sûr que tu serais parfaite dans ce rôle.

Je le regardai dans les yeux.

- Mais est-ce que tu te vois dans la peau de l'un des papas ? Tu m'as dit un jour que tu ne tolérais pas les enfants.

- Riley, ce sera ton enfant, et d'une certaine manière ça sera aussi un peu le mien, en tout cas ce qui s'en rapprochera le plus. Et ça fait toue la différence. (Il m'adressa un sourire si doux et si chaleureux que je sentis mon cœur fondre.) Et tu es encore trop habillée à mon goût.

- Dit l'homme qui porte un costume, répliquai-je en déboutonnant sa chemise.

Quand elle fut entièrement ouverte, j'appuyai légèrement mes mains contre sa peau, les laissant reposer sur ses abdominaux musclés, me délectant de ce simple contact. Puis, prenant mon temps, je fis remonter mes doigts sur son torse, appréciant la fermeté de son corps, savourant la façon dont ses muscles se contractaient sous mes caresses.

Je glissai les mains sous le tissus au niveau de ses épaules et fis lentement descendre la chemise et la veste le long de ses bras, pour me retrouver bloquée aux poignets.

- Et merde ! m'exclamai-je. J'avais oublié ces foutus boutons de manchette.

- Ça n'arrive jamais dans les films, n'est-ce pas ? fit-il remarquer, un sourire amusé aux lèvres, en se chargeant du problème.

- La magie du grand écran, répondis-je en admirant sa musculature tandis qu'il se mettait torse nu.

Je croisais à nouveau son regard, et ses yeux pleins de promesses me réjouirent.

- Je parie que tu n'avais jamais vu ça au cinéma.

Il se baissa et d'un mouvement fluide passa un bras dans mon dos, l'autre sous mes genoux et me souleva.

Je souris en lui entourant le cou de mes bras.

- Dans tous les bons films romantiques, le héros porte l'héroïne jusqu'à son lit et lui fait l'amour jusqu'à lui faire perdre la tête.

Il haussa un sourcil, le regard malicieux.

- Mais est-ce qu'il fait ça ?

Et sur ce il me lança. Je criai, puis m'esclaffai, ravie, en rebondissant sur le lit.

- Je ne crois pas qu'il y ait beaucoup d'humains capables de balancer leur femme avec autant d'aisance.

- Et il y a peu d'humaines qui aient un appétit tel que le tien.

- Tu le sais d'expérience, n'est-ce pas ?

- Oui. souviens-toi que je suis dans le coin depuis un bon moment.

- Un très, très long moment, approuvai-je d'un ton solennel? Je suis d'ailleurs surprise que tu parviennes encore à bander.

Il tenta de me frapper, mais j'esquivai en roulant dans un éclat de rire.

- Et moi qui étais sur le point de dire quelque chose de vraiment gentil.

- Comme ? demandai-je, la mine perplexe.

- Comme : chaque jour je remercie le destin d'avoir mis sur mon chemin une si têtue, sexy, et surtout si merveilleuse louve-garou.

Je me sentis fondre une nouvelle fois.

- Rien que pour ça, je vais peut-être accepter que tu me mordes.

- compte sur moi pour te le rappeler.

Il se pencha par-dessus le pied du lit afin d'atteindre mon jean. Je soulevai les hanches pour lui donner un meilleur accès à la fermeture Éclair et son sourire s'épanouit.

- Quelle impatience, murmura-t-il en me débarrassant de mon pantalon et de ma culotte.

- C'est qu'on ne peut pas se permettre de perdre du temps en maladresse avant de passer aux choses sérieuses. N'oublie pas que je dois bientôt retourner travailler.

- Après mille deux cents années sur terre, j'aime à croire que j'ai dépassé le stade de la maladresse.

Il laissa tomber mes vêtements sur le sol, puis acheva de se dévêtir. Je souris de plus belle à mesure qu'il dévoilait son corps, faisant courir mon regard sur ses jambes musclées et son impressionnante érection.

Ce vampire était le désir personnifié, et je dus me retenir pour ne pas lui sauter dessus sur-le-champ.

- Tous les hommes sont maladroits, répliquai-je, car il y a toujours un moment où vous laissez la petite tête penser à la place de la grande.

Il remonta sur le lit à quatre pattes, me surplombant sans me toucher. Son odeur et son désir imprégnaient chacune de mes respirations, m'embrasant le corps et me déchirant le cœur.

- Il n'y a que deux fois dans ma vie où le sexe a pris le pas sur la raison, dit-il à vois basse en me regardant dans les yeux d'un air sérieux. Et, dans le second cas, c'est la meilleure chose qui me soit jamais arrivée.

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-La même chose qu'avant. (Son regard s'assombrit.) Je veux que tu sois mienne. Complètement. Je veux ton coeur, ton corps, et ton âme. Pas seulement pour une nuit, ni en jouant la comédie, mais pour de vrai.

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SPOILER:

Il tira et je me jetais sur le côté, consciente que je ne serais jamais assez rapide. Fendant l'air, j'attendis le moment ou l'argent déchirerait ma chair-j'attendis la mort.

Mais ce n'était pas la mienne qu'il voulait.

La balle passa en sifflant près de mon oreille et atteignit sa cible.

Je heurtais le béton, roulais pour me remettre debout et me retournais tandis qu'un hurlement de déni m'arrachait la gorge. Kade était encore debout sur la passerelle, un trou dans le torse, du sang commençant à dégouliner de la blessure. Je vis le sang et la chair sur le mur derrière lui et sus que c'était un homme mort.

Il croisa brièvement mon regard et sourit, un sourire plein de tendresse et de regret évoquant ce que nous avions partagé et ce que nous ne partagerions plus jamais, puis la vie quitta ses yeux et son corps bascula par-dessus la rambarde.

Je ne le vis pas s'écraser. Je ne me souviens même pas avoir appuyé sur la détente.

La seule chose que j'aperçus fut la surprise dans les yeux de Kye avant que la balle lui explose le crâne.

Puis il y eu la douleur, une douleur comme jamais je n'en avais connu, touchant mon coeur, mon âme et mon corps. Je laissais tomber le pistolet et me pliai en deux, cherchant à reprendre mon souffle, à retenir ma vie.

Sans succès. Je m'écroulais sur le sol de béton. Puis les ténèbres s'abattirent sur moi, et il n'y eut plus rien.

Rien excepté l'envie de lâcher prise.

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_ Tous les hommes sont maladroits, répliquai-je, car il y a toujours un moment où vous laissez la petite tête penser à la place de la grande.

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« — Tu ne peux pas m’abandonner, Riley. Je ne te laisserai pas faire.

— Ce n’est pas si simple, ma puce…

— Si, ça l’est. Nous t’aimons.

Soudain elle disparut, et je vis la chambre d’hôpital à travers ses yeux. J’étais sur le lit, entourée par des machines qui me gardaient en vie tout en suivant ma progression vers la mort. Rhoan, Liander et Quinn étaient là, amaigris, le teint terne et l’air inquiet. Dia était là également, pâle et triste. Même Jack et Sal étaient présents, assis au fond de la pièce, attendant patiemment le verdict.

Les gens auxquels je tenais, et qui tenaient à moi, même si nous n’étions pas toujours ce que l’on peut appeler des amis. »

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La seul chose que j'aperçus fut la surprise dans les yeux de Kye avant que la balle lui explose le crâne. Puis il y a eu la douleur, une douleur comme jamais je n'en avais connu, touchant mon coeur, mon âme et mon corps. Je laisser tomber le pistolet et me pliant en deux, cherchant à reprendre mon souffle, à retenir ma vie.

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-Tu t'es regardé dans un miroir récemment? Répliqua Cole en retirant ses gants souillés avant de les jeter dans la poubelle prévue à cet effet.

-J'essaie d'éviter. entre mon service de jour et les appels au milieu de la nuit, les valises que j'ai sous les yeux pourrait me servir de garde-robe.

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- je devais revenir, dis je d'une voix rauque apres un long silence.parce que je ne vous avais pas donné ma reponse à toi et a liander.

- te reponse? demanda t il confus.

- oui. c'est oui, annonçai je en tournant la tete vers liander. allons-y creons notre propre meute.

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-Étalon un jour, étalon toujours.

-C'est tellement vrai, ma belle.

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Soit j'était en train de devenir désespérément coincé en vieillissant, soit il me paraissait trop dangereux. Ou alors, j'avais finalement pris conscience que le sexe ne se résumait pas à l'acte et au plaisir, et que c'était bien meilleur avec les émotions qui s'y ajoutaient quand on le faisait avec la bonne personne.

Bon, en ce qui me concerné j'en avais deux, mais c'était juste le destin qui ce foutait de ma gueule.

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