Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 586
Membres
1 012 944

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

« —Maintenant ma jolie, tu vas me dire ce que je veux savoir ou je vais me faire un plaisir de t'arracher la gorge, morceau par morceau.

—Désolée, marmonnai-je, mais j'ai du mal à parler quand je suis stressée. »

Afficher en entier

- avez vous deja vu un aedh passer la main dans la poitrine d une personne et lui arracher le coeur, directrice?

- non mais j ai vu plus que ma pary de vampires, et autre creatures, le faire.

- ah!

Afficher en entier

—Lucian, c'est Risa.

—Risa ! (La lueur froide disparut de ses yeux pour être remplacée par un sourire plein de chaleur.) Quel plaisir ! Je ne m'attendais pas à avoir de tes nouvelles si vite.

Je ne pus m'empêcher de sourire en retour.

—Je me demandais si tu serais libre pour déjeuner.

—Justement, mon rendez-vous de ce midi vient à l'instant d'être annulé, me répondit-il, le regard pétillant. Tu peux faire de moi ce que tu veux.

—Tu pourrais bien regretter ces paroles, le taquinai-je. Les lycanthropes sont réputés pour leur appétit insatiable.

Il laissa échapper un petit rire dont le son glissa sur ma peau avec la sensualité d'une caresse.

—Pas autant que le mien, je te le garantis. Oh oui! Ce déjeuner allait être délicieux.

—Est-ce que tu as des préférences en ce qui concerne la nourriture?

—Pas vraiment. (Il réfléchit un instant.) Pas italien. L'ail pourrait se révéler problématique.

—Pas si nous en mangeons tous les deux, rétorquai-je. Il s'esclaffa.

—Ce sera donc italien. Je connais un adorable restaurant, L'Alimento, à Carlton. Nous pourrions nous retrouver là-bas, disons à... (il baissa les yeux) 13 heures.

Mon rythme cardiaque s'emballa. Il vivait à Carlton. J'étais prête à parier que le restaurant se trouvait tout près de chez lui.

—Parfait.

—Alors à tout à l'heure, charmante Risa.

Il coupa la communication. Je soupirai et résistai à l'envie de m'éventer. Dire que j'étais excitée comme une puce aurait été en deçà de la réalité, et pourtant il n'avait fait que flirter avec moi.

Je n'avais jamais rencontré un homme qui me fasse un tel effet.

Mais, d'un autre côté, je n'avais jamais non plus rencontré de véritable Aedh avant ça.

Afficher en entier

Au bout du couloir, une porte était ouverte, et à l'intérieur deux hommes se battaient. Ecrasé sous le poids de son adversaire, Tao se prenait une sacrée dérouillée.

Je m'arrêtai dans un dérapage contrôlé et levai mon arme.

Jusqu'à ce jour, je n'avais jamais eu un être humain vivant dans ma ligne de mire, mais j'avais appris à tirer.

D'ailleurs, maman aurait eu une attaque si elle avait découvert l'étendue de l'entraînement au combat prodigué par tante Riley.

Maman. Mon ventre se noua rien qu'en pensant à elle. Je mis ma peur de côté.

—Hé !

Le garde fit volte-face et attrapa son arme. Il était rapide, je dois l'admettre, et le pistolet fut dans ses mains en un éclair.

Mais je ne lui laissai pas l'occasion de s'en servir. Ma balle l'atteignit à l'épaule et le projeta contre le mur. Son flingue tomba à terre, et Tao se contorsionna pour l'envoyer valser d'un coup de pied à l'autre bout de la pièce.

—Putain, il était temps que tu arrives, s'exclama-t-il.

Afficher en entier

Il leva les yeux au ciel.

—Cette chère vieille dame a les mains baladeuses. Tu le sais, n'est-ce pas ?

—Comme la plupart de nos clients. Nous servons des loups garous, il faut faire avec.

Après un autre bref baiser, j'ajoutai :

—Et tu peux t'estimer heureux d'être un aussi bon cuisinier, sans quoi tu serais toujours de service en salle pour charmer la clientèle.

—Merci, mais sans façon. (Il pivota et me fit signe de passer.)

Tu ferais mieux d'y aller ou ta mère va appeler pour savoir ce qui te retarde.

Il avait raison. J'enfilai un gilet par-dessus mon tee-shirt à moitié transparent, puis sortis.

Afficher en entier

Le 4 x 4 de Rocky était garé un peu plus bas. Tao se pencha par-dessus le siège passager pour m'ouvrir la portière. Ses narines frémirent alors qu'il se redressait, et il esquissa un sourire.

—Dis donc, mais c'est que tu sens la frustration à plein nez.

—Et toi tu m'as l'air bien satisfait. (Je balançai mon sac à l'arrière avant de m'installer.) Et si tu te fais ne serait-ce qu'une allusion à mon état je te réduis en bouillie.

Il s'esclaffa en démarrant la voiture et s'engagea sur la route.

—Je suis disponible pour te soulager si tu le souhaites. Tu n'as qu'un mot à dire.

—Nous sommes tombés d'accord il y a six mois pour ne plus franchir cette ligne.

Parce que c'était facile, et sans danger. Parce que ça m'évitait de sortir, et de risquer d'avoir de nouveau le coeur brisé.

—Certes, mais à l'époque ton degré de frustration n'avait pas atteint un tel niveau. (Il me lança un regard amusé.) Tu vas provoquer une émeute au Phénix.

Afficher en entier

—Des chiens des Enfers ? répéta Tao, incrédule. Genre des chiens noirs enragés tout droit sortis de la bouche des Enfers ?

—Oui, confirma Azriel. Je peux sentir leur force.

Et moi aussi. La sensation qui électrisait l'atmosphère s'intensifiait, et l'air autour de nous commençait à s'agiter, comme si les créatures étaient précédées d'un vent maléfique.

—Est-ce que tu peux les arrêter ?

—Oui. (Il se tourna vers moi.) Mais pour cela je devrai laisser la charna m'échapper. La piste du messager est déjà en train de disparaître.

—Alors que faites-vous encore là ? demanda Tao avec la détermination d'un homme qui n'avait jamais entendu les histoires de tante Riley à propos de ces molosses. Plus vite vous aurez retrouvé et neutralisé la charna, plus vite ces clébards retourneront dans les Enfers, non ?

—Oui.

Azriel soutenait mon regard dans l'attente d'une réponse, tout en m'évaluant.

S'il espérait trouver de la bravoure, il pouvait toujours chercher. J'étais terrifiée, si terrifiée que j'avais le cœur au bord des lèvres et les jambes en coton. Mais si c'était le seul moyen d'arrêter cette horrible femme, je ne pouvais laisser la peur influencer ma décision.

Je serrai le poing.

—Vas-y. Mais dépêche-toi.

Il s'inclina légèrement, et, l'espace d'un instant, je crus voir briller dans ses yeux une lueur de respect. Mais cela pouvait aussi n'être que le reflet des flammes dansant au bout des doigts de Tao.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

Afficher en entier

Ilianna et Tao m'attendaient tous les deux quand j'arrivai à la maison.

Dès que la porte s'ouvrit, mon amie se jeta dans mes bras et me serra de toutes ses forces.

—Que la terre soit remerciée, murmura-t-elle. Tu es en vie.

Je lui rendis brièvement son étreinte, puis m'écartai pour la tenir à bout de bras.

—Tout va bien ? Rassure-moi, tu n'as pas été touchée ?

Elle secoua la tête en me dévisageant avant de poser les yeux sur mon cou écorché.

—Il va falloir te mettre un baume là-dessus.

Afficher en entier

J'avais besoin de discuter avec quelqu'un de ce qui se passait, quelqu'un pour qui les traceurs, les métamorphes bizarres et les tentatives d'agression n'avaient aucun secret.

Quelqu'un qui avait une réserve de chocolat et de Coca sous la main pour les visiteurs impromptus.

Afficher en entier

Le métamorphe resserra sa prise, et sa montre s'enfonça plus profondément dans ma chair. Le sang commença à dégouliner le long de mon cou, et si j'avais eu assez de souffle pour jurer je ne m'en serais pas privée.

Il fit un pas en arrière en m'entraînant avec lui.

Son attention était accaparée par l'étranger, et je sus que je n'aurais pas de meilleure opportunité.

Je passai une main derrière, lui attrapai les testicules et les tordis aussi fort que possible. Il poussa un cri et, par réflexe, relâcha son étreinte. Le poing toujours fermé, je me dégageai, fis volte-face et lui envoyai un direct en y mettant toute ma puissance.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode