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Princes, Mercenaires, généraux, drapeaux, couronnes et serments sont autant d'artifices qui permettent d'imposer des traités et des ultimatums.
A ce qu'il m'a semblé, Kant nous livre ici un essai sur l'art de l'agression préméditée et des conditions précaires d'élaboration des capacités de dissuasions, au risque de voir les armes répondre aux armes. (celles des mercenaires entre autre)
Un constat amer qui nous interroge sur la qualité d'une paix aussi périssable que les valeurs qu'elle défend, reléguant à l'utopie la paix libérée des contraintes humaines.