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— J’ai bien aimé quand tu as dit que j’étais ta femme, je lui dis pour détourner son attention et aussi parce que c’est la vérité.

J’ai trouvé ça… possessif et délicieusement sexy.

— Parce que c’est le cas. Et dans quelque temps, quand tu auras fini tes études, je compte bien t’épouser.

Il me dit ça comme si c’était un fait accompli.

Ouah. J’en tremble à l’idée qu’il prévoit de m’épouser. On se connaît depuis peu de temps et il se voit faire sa vie avec moi. Cependant je pense la même chose. Je sais que c’est Oliver que j’aime et que j’aimerai toute ma vie. Mais je décide de le faire marcher un peu.

— Ce n’est pas en faisant ce genre de demande que je risque de dire oui .

— Oh mais, Princesse, ce n’était pas une demande, juste une mise au point au cas où tu aurais eu d’autres projets.

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Elle semble hésiter à me poser une question.

— Si tu te demandes si j’ai touché ou même simplement regardé une autre fille depuis que je te connais, la réponse est non. Personne. Depuis le jour de ton emménagement.

Elle en reste bouche bée.

— Et si tu veux que je sois encore plus clair, tu es à moi, je suis à toi. Et je ne partage pas. Jamais. Il n’y a que toi. Je ne l’ai jamais dit, ni même penser, avant de te rencontrer. Mais avec toi, je vais de découverte en découverte. Je t’aime, Elizabeth. J’aime quand tu souris, quand tu me vannes, quand tu me forces à regarder des séries ridicules pour filles. Je t’aime, toi tout entière.

Une larme coule sur sa joue et tombe sur ma poitrine. Je crains d’abord qu’elle ne soit triste, mais alors elle sourit.

— Oliver. Je t’aime. Probablement depuis que tu as décidé de me donner un surnom rien que pour m’énerver.

Je scelle nos déclarations par un baiser qui commence tendrement mais qui devient rapidement torride.

Je l’aime. Elle m’aime. Le paradis.

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En voyant nos amis s’unir pour la vie, je n’ai pas quitté ma Princesse des yeux. Elle avait les larmes aux yeux et je ne voulais qu’une chose : savoir ce qui la rendait aussi triste. Car ce n’étaient pas des larmes de joie. Je voulais faire disparaître la tristesse de son visage d’habitude si lumineux. Je veux retrouver ma Princesse qui me tacle dès qu’elle le peut. Celle qui mange de la glace devant les séries flippantes et qui se cache les yeux en se collant à moi quand ça fait trop peur. Je veux nos discussions et nos disputes quand on n’est pas d’accord sur le meilleur parfum de cookies ou sur le personnage le plus cruel dans Game of Thrones . Je veux tout et chaque jour. Je la veux, elle . Mais pour l’instant, je n’arrive pas à être seul avec elle pour lui parler. Je vois bien qu’elle m’évite or il faut que je parvienne à la voir.

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Je n’avais jamais ressenti ça avec personne avant Lizzi et j’ai bien cru que j’étais mort et que j’étais arrivé au paradis quand l’orgasme m’a emporté. Quelle plus belle mort que celle-ci ? Mais le meilleur était que j’étais en vie et que mon paradis c’était elle. Ma Princesse. Elizabeth. Je comprends maintenant pourquoi elle tient tant à m’appeler Oliver. Elle ne veut pas être comme les autres. Et j’ai compris que c’était la même chose pour moi. L’appeler Lizzi revient à être n’importe quelle personne de son entourage. Elle n’est pas Lizzi pour moi, elle est ma Princesse. Et il faut que je trouve le moyen de discuter avec elle pour lui dire ce que je ressens et savoir ce qu’il en est pour elle. Si nous ne sommes pas sur la même longueur d’onde… Alors il faudra que je la fasse changer d’avis ! Il n’y a pas d’autre option. C’est elle. Ça a été elle à partir du moment où j’ai posé les yeux sur son magnifique visage. Je ne le savais pas alors, mais maintenant que j’en ai pris conscience, il n’y a pas d’alternative.

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Pourquoi ne m’appelle-t-elle pas ? Ce matin je sais que c’était Dean qui essayait de la joindre. Est-ce qu’elle l’a rappelé, lui ? Mes mains se crispent sur le volant à cette idée. Qu’est-ce que j’aurais voulu ce matin ? Qu’elle se jette dans mes bras ? Oui. C’est ça que je voulais. Qu’elle me revendique. Qu’elle affirme ouvertement que nous étions ensemble. Car oui, nous sommes ensemble. Elle était une de mes meilleures amies. Pour après découvrir que j’avais envie de plus. D’être plus pour elle qu’un ami. Hier soir, j’ai lu dans son regard qu’elle le voulait également. Quand nous avons fait l’amour, ça signifiait quelque chose. Nous n’avons pas simplement baisé, c’était plus profond. En tout cas pour moi. Ce matin a été la douche froide. Est-ce qu’elle veut que l’on revienne en arrière ? Non ! Impossible. Je ne le supporterai pas. La fréquenter et ne plus avoir le droit de la toucher, de l’embrasser, de la tenir dans mes bras… Je n’y arriverai jamais. Maintenant que je sais ce que c’est, je ne pourrai pas m’en passer.

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Quand elle s’est assise à côté de moi, je n’avais qu’une envie, l’embrasser, m’assurer que son goût est toujours aussi divin, aussi addictif. Seulement Maya était encore là. Mais surtout elle ne me regardait pas. C’est à ce moment que j’ai commencé à m’inquiéter et à me poser des questions. Pourquoi est-elle aussi distante ? D’accord pour ne pas se jeter l’un sur l’autre devant Maya, mais… un regard, un sourire complice… Rien. C’est la première fois que je suis confronté à ce genre de situation et j’ai l’impression d’être dans une de ses séries télé dans lesquelles les relations sont toujours compliquées.

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Le mieux serait que, quand je serai face à lui, je garde mes distances.

C’était sympa. Pour une nuit. Mais nous sommes amis, alors autant en rester là.

Oui. Il faut que j’y arrive. Je peux le faire. Pour la suite, j’aviserai. Réparer mon cœur meurtri, reprendre ma vie où elle en était, faire comme si tout allait pour le mieux. Je dois le faire. Pour moi. Pour Maya. Elle adore Oliver. Si elle apprenait qu’il vient de me briser le cœur, elle le tuerait après l’avoir castré. Sauf qu’elle en souffrirait. Elle se sentirait même probablement coupable de me l’avoir présenté. Avant ce matin, j’aurais dit qu’elle ne devait pas s’en vouloir de m’avoir fait connaître l’homme qui m’a fait ressentir autant de choses. Pour la première première fois de ma vie, je sais ce que c’est d’être amoureuse. Et d’avoir le cœur en miettes.

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Des larmes commencent à se former. Des larmes silencieuses. Je ne sais pas si Oliver est encore dans l’appartement. Mais est-ce que cela change quelque chose ? S’il avait apprécié la nuit que l’on a passée, il serait là, dans mon lit, avec moi. J’ai froid. Et ce n’est pas qu’un froid extérieur. Je suis glacée de l’intérieur. Mon cœur est en train de geler sur place. Je me sens vide, alors que dans ses bras je me sentais… entière.

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Putain, il faut que je me calme, sinon elle va vraiment me prendre pour un psychopathe. Je ne me reconnais pas moi-même. Je n’ai jamais eu de pulsion aussi violente. Mais ce type a mis Lizzi en danger en l’amenant ici et en la laissant seule.

— Il aurait pu t’arriver quelque chose de grave ! Tu sais le nombre de filles qui finissent avec un mec qu’elles ne reconnaissent même pas au réveil, tout ça à cause de l’alcool et même parfois de la drogue qui peut être glissée dans un verre si on ne fait pas attention ? Dean aurait dû veiller sur toi. Ne pas te quitter d’une semelle. Tu crois vraiment que quelqu’un t’aurait entendue si un enfoiré t’avait entraînée de force dans une des chambres du haut ?

Je n’attends pas qu’elle réponde et je nous sors d’ici.

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— Merci d’être venu, souffle-t-elle dans un murmure.

— Je suis là pour toi. Je le serai toujours.

Je n’avais pas eu l’intention de dire ça, mais c’est la pure vérité. En même temps que les paroles sont sorties de ma bouche, j’ai compris que c’était exactement ça. Je n’avais jamais eu aussi peur pour quelqu’un. Toute la soirée j’ai gardé mon téléphone près de moi, vérifiant les appels, les messages… J’ai dû à plusieurs reprises me retenir d’aller la chercher sans même qu’elle m’appelle. Il aurait été facile de trouver la soirée. Jamais je ne m’étais préoccupé ainsi d’une personne. D’une fille. D’une femme. Car maintenant que je suis de nouveau calme, je réalise que son corps est contre le mien. Ses formes douces et souples contre mes angles durs et fermes. Je n’avais pas encore fait attention à sa tenue, mais le miroir derrière elle me renvoie la vision de sa petite jupe en cuir, découvrant ses magnifiques jambes. Putain, qu’elle est belle ! Elle relève la tête et ses yeux d’un marron clair, qui rappellent le caramel, me donnent l’impression qu’elle peut lire en moi. Ses lèvres pulpeuses. Sa queue-de-cheval que j’ai envie d’attraper pour mieux…

— Rentrons.

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