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"Esther, je ne fais plus que penser à toi. Dis moi ce que tu attends de moi et je deviendrais l'homme que tu espères. Demande-moi ce que tu veux, n'importe quoi, et je te l'offrirai. Si tu désires que je te décroche la lune, même si je sais que c'est impossible, je passerai le reste de mes jours a essayer de chercher le moyen d'y arriver."
Source Lune&PLume
Afficher en entier" Vous quittez un conjoint infidèle pour vous installer chez une personnes décédée?!
Mais que veut-il insinuer? Que la maison pourrait être hantée? J'avoue que je n'avais pas imaginé mon déménagement sous cet angle.Et encore moins quand j'ai vu le policier jeter un coup d’œil dans mon sac d'épicerie et ressortir ma bouteille de Téquila.
-Oh!
-Madame, veuillez sortir de la voiture.
-Non, je n'ai pas bu, c'est pour ce soir, je vais dormir dans une maison qui est peut-être hantée...
-Sortez du véhicule immédiatement!"
Source Lune&Plume
Afficher en entier" Je te commande un pizza a soutenu César en faisant signe au serveur. Une fille aussi splendide que toi n'a pas le droit de se priver de bonne bouffe parce qu’elle croit avoir un ou deux demi-kilos à perdre.
Ce soir, tu manges une pizza et demain tu mangeras toute la verdure que tu voudras.
Avec moi, Esther, la restriction n'est pas une option, tu n'as qu'un seul choix qui s'offre à toi, et c'est celui de la délectation."
Source Lune & Plume
Afficher en entierJe suis restée tapie derrière l’étagère jusqu’à ce que M. Delon m’assure que César Laurin était hors de vue. En sortant de mon terrier, j’ai failli me mettre à rire en apercevant l’agent de sécurité. Il était tout maigre et plus petit que moi. Il contrastait considérablement avec le concierge. Pour me sortir de ce mauvais pas, j’ai opté pour la solution la plus simple : l’honnêteté. J’ai pris le petit bonhomme à part, je ne voulais surtout pas que M. Delon entende ce que j’avais à dire pour ma défense et qu’il aille par la suite tout raconter à César qui semblait être un habitué des lieux. Je me demandais bien qui il visitait si régulièrement pour en être venu à être si familier avec le concierge.
Puisque je n’avais sur moi aucune pièce à conviction qui aurait pu m’incriminer et que j’avais parlé en toute franchise, l’agent de sécurité a accepté de me laisser partir. Il m’a clairement indiqué comment me rendre jusqu’à la sortie qui menait au stationnement. C’est avec soulagement que j’ai appuyé sur le bouton qui permettait de déverrouiller la double porte. Mon téléphone s’est mis à sonner à l’instant où je tirais sur la poignée. J’ai voulu prendre l’appel, mais M. Delon, qui ne m’avait toujours pas quittée des yeux, m’a rappelé que les cellulaires étaient interdits dans les hôpitaux. J’ai remis l’appareil dans mon sac, alors que l’agent de sécurité, tout sourire, m’envoyait un clin d’œil tout en pointant du doigt mon derrière. Vraiment ! Il y a de ces hommes qui ne savent pas vivre. J’ai vite passé la double porte, j’ai fait quelques pas rapides dans le couloir désert et j’ai ressorti mon téléphone. Sur l’afficheur, j’ai vu que c’était Brigitte qui m’appelait. J’avoue qu’à cet instant je n’avais pas du tout envie de lui parler. J’ai attendu une minute ou deux et j’ai écouté son message. Bla, bla, bla, elle ne voulait pas me faire de peine tout à l’heure lorsqu’elle m’avait parlé de Frédéric. Elle aimerait ça qu’on se voit, mais pas ce soir, elle était occupée avec Pénélope.
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