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Rome, du libéralisme au socialisme : Leçon antique pour notre temps



Résumé

ROME a commencé son histoire comme les États-Unis d'Amérique, devenus l'hyperpuissance hégémonique mondiale en moins d'un siècle, et s'est effondrée de la même façon que l'URSS.

Philippe Fabry retrace sur plusieurs siècles l'évolution des mentalités romaines. Il montre que le passage d'une pratique libérale aux origines de la République à un socialisme totalitaire sous l'Empire est la clef permettant de résoudre une des grandes énigmes de l'Histoire : la chute de Rome. Son étude brillante unifie toutes les explications proposées à cette catastrophe géopolitique. Elle souligne la «cause des causes» que suggéra Montesquieu : la liberté perdue.

Au-delà de son intérêt pour qui aime comprendre le pourquoi de l'Histoire, cet essai original est l'occasion d'entamer une réflexion sur le monde contemporain et sur l'évolution politique, économique et sociale des États-Unis, qui semblent suivre la voie de la Rome antique. Ces derniers sortiront-ils vainqueurs du grand bouleversement du monde contemporain, ou connaîtront-ils la décadence et la destruction ?

Esprit novateur, Philippe Fabry est historien du droit, des institutions et des idées politiques. Il a enseigné à l'Université Toulouse 1 Capitole. Féru d'histoire romaine, il est aussi passionné par la doctrine libérale, politique comme économique, et spécialement les travaux de l'École autrichienne. Il contribue au site d'information Contrepoints.

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Classement en biblio

extrait

Le développement du culte impérial et la volonté du pouvoir de l'imposer à tous fut l'une des premières occasions sérieuses de friction avec les Juifs, notamment avec la lubie de Caligula de faire placer sa statue dans tous les temples, et donc aussi les synagogues ; ce fut ensuite l'escalade avec la destruction du Temple, la politique antijuive de Vespasien et finalement les grands massacres de Juifs lors des révoltes de ceux-ci sous Trajan et Hadrien (guerre de Kitos et révolte de Bar Kokhba) qui firent, proportionnellement à la population juive de l'époque, autant de morts que la Shoah.

On a beaucoup critiqué le terme de persécution " religieuse " des Chrétiens et des Juifs, et ce à raison : la persécution n'était pas religieuse mais politique ; le culte impérial romain était un culte politique, une religion civile à laquelle il fallait adhérer pour ne point être suspect de vouloir menacer la paix sociale.

[...] Lorsque Domitien exigea de se faire appeler " dominus et deus ", cela suscitait nécessairement le refus des Chrétiens et des Juifs monothéistes et donc une occasion de trouble public, occasion de trouble qui n'aurait jamais existé sous le régime républicain puisqu'aucun dirigeant romain n'aurait alors songé à exigé d'être appelé ainsi.

Chapitre III : Le Principat, dictature socialiste.

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Rome, du libéralisme au socialisme : Leçon antique pour notre temps

  • France : 2014-04-05 - Poche (Français)

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