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Extrait ajouté par Evgenia 2010-08-18T20:05:51+02:00

Juliette : Ô Roméo! Roméo! pourquoi es-tu Roméo? Renie ton père et abdique ton nom; ou, si tu ne le veux pas, jure de m'aimer, et je ne serai plus une Capulet.

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Extrait ajouté par Maravilla 2012-04-11T21:05:43+02:00

Dois-je dire du mal de celui qui est mon mari ?

Ah ! mon pauvre seigneur, quelle est la langue qui caressera ta renommée, quand moi, ton épousée depuis trois heures, je la déchire ? Mais pourquoi, méchant, as-tu tué mon cousin ?

C'est que, sans cela, ce méchant cousin aurait tué mon Roméo ! Arrière, larmes folles, retournez à votre source naturelle : il n'appartient qu'à la douleur, ce tribut que par méprise vous offrez à la joie. Mon mari, que Tybalt voulait tuer, est vivant ; et Tybalt, qui voulait tuer mon mari, est mort. Tout cela est heureux : pourquoi donc pleurer ?... Ah ! il y a un mot, plus terrible que la mort de Tybalt, qui m'a assassinée ! je voudrais bien l'oublier, mais, hélas ! il pèse sur ma mémoire comme une faute damnable sur l'âme du pécheur.Tybalt est mort et Roméo est... banni. Banni ! ce seul mot banni a tué pour moi dix mille Tybalt. Que Tybalt mourût, c'était un malheur suffisant, se fût-il arrêté là. Si même le malheur inexorable ne se plaît qu'en compagnie, s'il a besoin d'être escorté par d'autres catastrophes, pourquoi, après m'avoir dit : Tybalt est mort, n'a-t-elle pas ajouté : Ton père aussi, ou ta mère aussi, ou même ton père et ta mère aussi ?

Cela m'aurait causé de tolérables angoisses. Mais, à la suite de la mort de Tybalt, faire surgir cette arrière-garde : Roméo est banni, prononcer seulement ces mots, c'est tuer c'est faire mourir à la fois père, mère, Tybalt, Roméo et Juliette ! Roméo est banni ! Il n'y a ni fin, ni limite, ni mesure, ni borne à ce mot meurtrier ! Il n'y a pas de cri pour rendre cette douleur là. Mon père et ma mère, où sont-ils, nourrice ?

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Extrait ajouté par Altanais 2011-05-05T20:24:42+02:00

Mon cœur jusqu’à présent a-il-aimé ?

Jurez que non, mes yeux,

Car jamais avant cette nuit je n’avais vu la vraie beauté.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-11T01:14:53+01:00

[…] Car il n’est rien

De si vil sur la terre qu’il ne procure

A la terre un bienfait spécial – comme il n’est rien

De bon qui, détourné de son vrai usage,

Ne devienne rebelle à son origine

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-11T01:14:53+01:00

JULIETTE :Il est presque jour. Je voudrais que tu fusses parti, mais sans t'éloigner plus que l'oiseau familier d'une joueuse enfant : elle le laisse voleter un peu hors de sa main, pauvre prisonnier ambarassé de liens, et vite elle le ramène en tirant sur le fil de soie, tant elle est tendrement jalouse de sa liberté !

ROMEO : Je voudrais être ton oiseau !

-Acte II, sc II-

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Extrait ajouté par Evgenia 2010-08-18T20:05:51+02:00

Qu'y a-t-il dans un nom ? Ce que nous appelons rose, Par n'importe quel autre nom sentirait aussi bon.

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Extrait ajouté par Lilinie 2010-08-10T16:24:09+02:00

Les messagers d'amour devraient être des pensées, plus promptes dix fois que les rayons du soleil, qui dissipent l'ombre au-dessus des collines nébuleuses. Aussi l'amour est-il traîné par d'agiles colombes ; aussi Cupidon a-t-il des ailes rapides comme le vent. Maintenant le soleil a atteint le sommet suprême de sa course aujourd'hui ; de neuf heures à midi il y a trois longues heures, et elle n'est pas encore venue ! Si elle avait les affections et le sang brûlant de la jeunesse, elle aurait le leste mouvement d'une balle ; d'un mot je la lancerais à mon bien-aimé qui me la renverrait d'un mot. Mais ces vieilles gens, on les prendrait souvent pour des morts, à voir leur inertie, leur lenteur, leur lourdeur et leur pâleur de plomb.

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Extrait ajouté par Lilinie 2010-08-10T16:24:09+02:00

«L’amour des jeunes gens n’est pas vraiment dans le coeur, il n’est que dans les yeux.»

"L'amour est une fumée de soupirs ; dégagé, c'est une flamme qui étincelle aux yeux des amants ; comprimé, c'est une mer qu'alimentent leurs larmes."

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Extrait ajouté par BibHLM 2010-07-25T17:58:42+02:00

BENVOLIO : Faut-il que l'amour si doux en apparence, soit si tyrannique et si cruel à l'épreuve ?

ROMÉO : Hélas ! faut-il que l'amour malgré le bandeau qui l'aveugle, trouve toujours, sans y voir, un chemin vers son but ! ô Amour ! ô tumultueux amour ! ô amoureuse haine ! ô tout, créé de rien ! ô lourde légèreté ! Vanité sérieuse ! Informe chaos de ravissantes visions ! Plume de plomb, lumineuse fumée, feu glacé, santé maladive ! Sommeil toujours éveillé ! Voilà l'amour. L'amour est une fumée de soupirs ; dégagé, c'est une flamme qui étincelle aux yeux des amants ; comprimé, c'est une mer qu'alimentent leurs larmes. Qu'est-ce encore ? La folle la plus raisonnable, une suffocante amertume, une vivifiante douceur !

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Extrait ajouté par Anne-118 2010-03-18T23:19:29+01:00

Ah ! chère Juliette, pourquoi es-tu si belle encore ? Dois-je croire que le spectre de la Mort est amoureux et que l'affreux monstre décharné te garde ici dans les ténèbres pour te posséder ?... Horreur ! Je veux rester près de toi, et ne plus sortir de ce sinistre palais de la nuit ; ici, ici, je veux rester avec ta chambrière, la vermine ! Oh ! c'est ici que je veux fixer mon éternelle demeure et soustraire au joug des étoiles ennemies cette chair lasse du monde...

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