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Extrait ajouté par mickaeline 2015-04-10T10:57:57+02:00

_ (...) Mais d'abord, aide-moi à enlever cela. (Louise s'exécuta.) La laine me gratte. Tu peux le reprendre à ta taille si tu le souhaites, proposa-t-elle une fois déshabillée. Je ne le mettrais plus.

_ Mais je vous l'ai acheté mardi ! s'étonna Louise en pliant le vêtement. Ce n'est pas dans les habitudes de madames de ne porter qu'une fois ses tenues.

_ Je sais bien, mais elle ne me va pas. Ces tailles standardisées, quelle aberration...Comme si les femmes étaient toutes bâties sur le même modèle.

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Extrait ajouté par mickaeline 2015-04-10T10:57:41+02:00

Il avait appliqué la même stratégie payante qu'à Londres : il avait choisi la femme la plus en vue de la capitale - Pauline de Metternich à l'époque -, s'en était fait une amie, l'avait habillée gratuitement, à condition qu'elle portât ses créations lors d'événements mondains, et tout avait démarré de là. Les robes avaient plu, la princesse les portant divinement, et le bouche-à-oreille avait fait le reste.

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Extrait ajouté par mickaeline 2015-04-10T10:57:26+02:00

Rien n'a d'importance que l'amour, parce que tout le reste s'achète ou s'enfuit.

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Extrait ajouté par mickaeline 2015-04-10T10:57:09+02:00

Quand j'ai su ce qu'il se passait avec votre mari, j'ai manqué aller le provoquer en duel, jusqu'à ce que je me rende compte que cela ne se faisait plus que dans les romans.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2015-01-05T21:18:38+01:00

— Mrs Redfern ! n’insultez pas madame la marquise ! Elle ne mérite pas ce terme déshonorant jeté dans sa figure !

— Tiens, vous savez parler français, maintenant, vous ? répliqua la veuve, très aigrie.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2015-01-05T20:50:36+01:00

— Il n’est jamais venu dans cette rue, et ne le fera jamais. Il vous cherche dans des endroits huppés ! Je crois qu’il ne lui viendrait pas à l’idée que vous puissiez être logée chez une concierge et sa servante de fille.

— Et puis s’il passait, annonça Mme Accard, je vous cacherai sous mes jupes ! Il y a bien assez de place pour une brindille dans votre genre !

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2015-01-05T19:32:35+01:00

— Peut-être, mais il arrive parfois que l’époux révèle des défauts, et soit moins aimable qu’on l’ait cru de prime abord. Ensuite, c’est trop tard… Prenez le temps de bien le choisir, ne faites pas la tête folle. Les jeunes filles s’emballent souvent pour les beaux visages et les jolis mots mais, une fois qu’ils vous ont épousée, les hommes perdent leur belle figure autant que leurs cheveux, et ne vous courtisent plus.

Emilia hocha la tête, soudain plus grave.

— Je vous le promets.

— Attendez d’être vraiment amoureuse, ajouta-t-elle en voyant de loin la silhouette d’Alexander évoluer sur la piste. Rien n’a d’importance que l’amour, parce que tout le reste s’achète ou s’enfuit.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2015-01-05T01:57:29+01:00

— Toi, en revanche, tu ne laisserais pas passer ta chance. À ce propos, tu sais que le locataire du troisième a fini de s’installer ? Tu devrais aller lui dire bonjour.

Louise haussa les épaules.

— Comme ça ?

— Tu veux faire comment ?

— Avec un peu plus de subtilité que « bonjour, je suis la fille de votre concierge et je viens vous saluer parce qu’elle voudrait que je vous épouse. Post-scriptum : je vous trouve très beau. »

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2015-01-05T01:10:58+01:00

— Voilà une de vos idées comme je les aime ! s’écria la duchesse d’Abaranthe en battant des mains, passons en revue tous les célibataires que nous connaissons !

Emilia s’enfonça un peu dans son fauteuil, très gênée. Le supplice ne faisait que commencer.

— M. Picquart ! s’écria Laure, lançant les hostilités.

Élisabeth éclata de rire.

— Mais il est myope et déjà à moitié chauve à trente ans…, se désola Rose.

— Justement ! se moqua Mrs Redfern.

— Ou alors, ce banquier, M. du Velay ? Il n’est pas myope, lui !

— C’est sûr, renchérit Clémence, il n’a pas ses yeux dans sa poche.

Rose s’offusqua.

— Pas ce…

— … pervers, vous pouvez le dire !

Les rires reprirent de plus belle.

— M. d’Abbeville ? proposa Laure. Il est riche, lui. Et plutôt beau garçon.

Rose leva les yeux au ciel et expliqua à Emilia :

— Je crois qu’elles veulent vous proposer tous les pires partis possibles. M. d’Abbeville a plus de quatre-vingts ans. Il était beau garçon.

— Mais c’est très bien, quatre-vingts ans, souffla la duchesse, vous n’aurez pas à attendre votre fortune bien longtemps, ma petite !

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2015-01-05T01:07:04+01:00

— Oui, votre Charles est si adorable ! renchérit Clémence. Tandis qu’Élisabeth a bien le droit de se chercher quelques compensations.

— En effet, répondit Élisabeth en prenant un scone, quatre hommes, c’est bien ce qu’il faut pour parer aux quatre défauts majeurs d’Henri.

— Et qui sont ? demanda Laure.

— La laideur, la laideur, la laideur et la laideur !

Cette fois, même Rose éclata de rire. Élisabeth et Clémence avaient l’art de formuler les pires inconvenances avec talent. Souvent, elle enviait leur désinvolture.

— Si seulement, soupira Clémence, je n’étais pas aussi laide. Je pourrais moi aussi en avoir un, d’amant, pour égayer mes vieux jours ! Mais qui voudrait d’une vieille bique décrépite comme moi ?

— Allons, allons, vous exagérez, la consola Élisabeth en lui tapotant le poignet, il y a plus d’un homme qui serait heureux de vous avoir !

— Donnez-nous un exemple !

— Voyons voir… Joseph ?

Laure pouffa et faillit s’étouffer avec un macaron.

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