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- Je sais que c'est égoïste de ma part de te le demander, poursuit-il. J'ai très peu de choix dans ma vie. Je suis lié à ce pays par devoir et je sais que je te demande de te plier aux mêmes obligations. Mais il y a un choix que je peux faire. Je peux te choisir toi et c'est ce que je fais - je te choisis toi plus que quiconque - et pour le restant de mes jours.
Afficher en entier- J'ai essayé de m'en empêcher.
Ses mots lui échappent, incontrôlées. Icontrôlables. Il fouille mon visage à la recherche d'un pardon que je ne lui donnerai jamais, parce qu'il n'y a rien à pardonner.
- J'ai essayé de te protéger, mais j'en suis incapable. Je t'aime. Dieu me vienne en aide, je t'aime tellement.
Afficher en entierAlors que je me presse encore plus fort contre lui, il grogne :
- Je t'aime.
Ses mots sont un aphrodisiaque, l'affirmation que j'ai tant désirée, et je poursuis mes mouvements de haut en bas en ondulant des hanches. J'en veux plus. Je veux fusionner avec lui. Je veux que mon cops soit rivé au sien jusqu'à ce que plus rien ne puisse nous séparer.
- Je t'aime.
Afficher en entier– Tu es à moi, Clara. Tu ne peux rien faire contre ça. Tu m’appartiens.
Même lorsqu’il me fait cette déclaration et même si je presse mes cuisses l’une contre l’autre, parce que je sais ce que ça fait d’appartenir à Alexander, je ne peux ignorer la vérité.
– Mais toi, tu ne m’appartiens pas.
– Mon cul ! grogne-t-il. Tu me tiens par les couilles, Clara. Je ne peux penser à rien d’autre qu’à être en toi. Je dois faire appel à tout mon self-control pour ne pas te balancer sur mon épaule et te traîner à la maison pour te baiser jusqu’à ce que tu ne puisses plus marcher.
Te baiser jusqu’à ce que tu comprennes que je ne te laisserai pas partir, pas sans me battre.
Je secoue la tête en m’extirpant de son étreinte. Ma tristesse s’est transformée en rage fumante.
– Dis-moi que je ne serai pas ton sale petit secret. Dis-moi que je suis plus qu’un bon coup
à tirer, Alexander. Dis-moi que quoi qu’il advienne, quoi que ton père pense ou attende de toi
à l’avenir – dis-moi que tu m’appartiens.
Afficher en entierJe sais que tu ne lis pas ces letres. Sinon, tu serais déjà là. Combien de temps vas-tu résister, Clara ?
Tu es à moi. Il n'y a que toi. Pour l'éternité.
X.
Afficher en entier- Je ne suis pas sûr que tu me comprennes.
Le ton de sa voix est mesuré, mais le feu de la possessivité brûle dans son regard.
- Je comprends le monde dans lequel tu vis, je réponds en murmurant et je comprends celui dans lequel j'évolue. Là, tout ce que je veux, c'est prétendre qu'il peut en être autrement.
Alexander glisse une main sous mes fesses et me prend dans ses bras.
- Alors, comprends bien ça, Clara. Mon monde, c'est toi.
Afficher en entier- Je ne pouvais pas rester loin de toi, murmure-t-il contre ma nuque. J'ai besoin de toi, mon chou.
Afficher en entierJe lui donne un ordre :
- Reviens-moi.
- J’essaierai. Je te le promets, j'essaierai.
Et il s'en va.
Afficher en entier- Tu pourrais toujours annoncer au monde entier que tu habites avec lui. La dispute est monstrueuse, mais la réconciliation sur l'oreiller est spectaculaire.
Afficher en entier- Il n'y a que toi. Il n'y aura jamais personne d'autre que toi. Tu es à moi, mais ne l'oublie pas, je suis à toi - tout ce que je peux te donner de moi t'appartient.
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