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Deux frères qui aiment la même femme, c'est un peu la recette de la tragédie.

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Qui pouvait vraiment savoir de quoi il était capable - avec de mauvaises circonstances et de mauvaises drogues ?

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Ce n'était pas par principe qu'il n'aimait pas ses collègues, juste par instinct.

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Bon. Combien seraient venus à son enterrement ? Huit personnes, ce n'était peut-être pas si mal.

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Nous aurions pu faire quelque chose de bien de cette vie, toi et moi.

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« Je ne sais pas qui a décidé qu’Ivarsson dirigerait l’enquête sur le meurtre de Bogstadveien, mais ça roule sur la jante. » Møller posa son pense-bête dans son panier. « Depuis combien de temps vous travaillez ensemble ? Deux jours complets ?

– Ce n’est pas ça, le problème, chef.

– Est-ce que tu ne peux pas, pour une fois, te contenter de faire du boulot d’investigation, Harry ? Et laisser les autres décider de la façon dont il faut que ça s’organise ? Il n’est pas dit que tu gardes des séquelles graves à essayer de ne pas être en opposition, tu sais.

– Je veux juste que cette affaire soit réglée rapidement. Pour pouvoir continuer avec l’autre affaire, tu sais.

– Oui, je sais. Mais tu as travaillé dessus plus que les six mois que je t’avais promis, et je ne peux pas réclamer du temps et des moyens en fonction des intérêts et sentiments personnels, Harry.

– C’était une collègue, chef.

– Je sais ! » aboya Møller.

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Il était de notoriété publique dans la police que Harry avait des problèmes avec l'alcool. L'alcoolisme n'est pas un motif valable pour licencier un policier, mais le fait de se pointer beurré au boulot l'est.

La dernière fois que Harry avait craqué, c'étaient ceux qui occupaient les étages supérieurs qui avaient émis la possibilité d'un renvoi, mais le chef de la Brigade Criminelle, le capitaine de police Bjarne Moller, avait comme à l'accoutumé levé une main protectrice et plaidé des circonstances exceptionnelles.

.../...

Ellen Gjelten, partenaire de Harry et amie proche - avait été frappée à mort par une batte de base-ball sur un sentier près de l'Akerselva.

Harry s'en était remis, mais c'était une plaie qui le faisait toujours souffrir. En particulier, parce que selon Harry, cette affaire n'était toujours pas élucidée.

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Harry ne bougea pas un muscle, laissant juste ses yeux emmagasiner les détails des mouvements et des mimiques. Vingt-cinq secondes. Il continua à regarder l’heure au-dessus de la porte, mais dans l’extrême coin de son champ de vision, il put voir le chef d’agence ouvrir le distributeur automatique par l’intérieur, en extraire deux oblongues cassettes à billets et les remettre aux deux hommes. Tout se passa rapidement et en silence. Cinquante secondes.

« Celles-ci sont pour toi, bonhomme ! » Le petit avait sorti de sa valise deux cassettes identiques, qu’il tendit à Helge Klementsen. Le chef d’agence déglutit, hocha la tête, les attrapa et les installa dans le DAB.

« Passez un bon week-end ! » dit le petit en se redressant et en refermant la main sur la poignée de la valise. Une minute et demie.

« Pas si vite », dit Helge.

Le petit se figea.

Harry aspira ses joues et essaya de se concentrer.

« La quittance… » dit Helge.

Pendant un long moment, les deux hommes regardèrent le petit chef d’agence chenu. Puis le petit se mit à rire. Un rire aigu, léger, qui sonnait faux, comme celui des gens qui marchent au speed.

« Tu ne crois quand même pas que nous avions prévu de nous barrer d’ici sans signer ? Donner deux millions sans signature, quoi ?

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Je vois en tout cas un petit peu plus que quand Anna m'a montré çà pour la première fois. Je sais maintenant que ce sont les trois personnes qu'elle avait condamnées. Harry fit un signe de tête vers la silhouette féminine qui tenait les trois lampes. Némésis, la déesse de la vengeance et de la justice.

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Je vois en tout cas un petit peu plus que quand Anna m'a montré çà pour la première fois.

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