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Commentaires de livres faits par Saarah72

Extraits de livres par Saarah72

Commentaires de livres appréciés par Saarah72

Extraits de livres appréciés par Saarah72

- On ne peut pas trop désirer quelque chose, répliquai-je. C'est comme ça qu'ils nous musellent. Ils nous ont dit qu'on avait de la chance d'être à la colonie pénitentiaire plutôt que dans l'éther. De la chance de succomber au NitVite plutôt qu'à la corde. De la chance d'être vivants, à défaut d'être libres. Ils nous ont dit d'arrêter d'en vouloir plus que ce qu'ils nous offraient déjà, car ce qu'ils nous offraient était plus que nous le méritions. (Je ramassai ma veste.) Tu n'es plus un prisonnier, Arcturus.
Le gouverneur me dévisagea en silence. Je le laissai dans cette salle à l'abandon, à l'intérieur de laquelle la musique résonnait encore.
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La chanson s'acheva abruptement et mes genoux lâchèrent. Mais au lieu de souffrir, je riais, sonnée. Le gouverneur vint me soutenir, plaçant ses mains sous mes coudes.
- C'est la musique que je voulais entendre, m'annonça-t-il. Depuis quand n'avais-tu pas ri ?
- Et toi, ça t'est déjà arrivé, gouverneur ?
- Il n'y a pas souvent matière à rire, lorsqu'on est le consort de sang de Nashira Sargas.
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- Je suis moi-même, dit Linus qui ne comprenait pas où il voulait en venir. Je ne sais pas comment être quelqu'un d'autre. J'ai toujours été comme ça. Ce n'est pas l'idéal, mais je fais de mon mieux avec ce qu'on m'a donné.
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Spoiler(cliquez pour révéler)
Nous avons tous des problèmes. J'ai une bouée autour de la taille. C'est le fils de Satan. Rien d'insurmontable en somme, si l'on y met du sien.
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A-Chiche - avec un nom pareil, Linus se méfie tout de suite de lui - baissa les yeux vers Talia qui était assise par terre et fredonnait en admirant ses nouveaux outils.
" Le petit bonhomme a une barbe. Et c'est une nana."
- Sa barbe est très douce, lui dit Lucy. Elle la lave avec tout un tas de savons différents. Ils sentent les fleurs et les trucs de filles.
- Trop fort, souffla A-Chiche. Respect, petite nana.
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Quand Linus releva la tête, il s'aperçut qu'Arthur le dévisageait. "Quoi ?"
Celui-ci secoua lentement la tête. "Je n'arrive pas à comprendre comment vous faites pour ne pas le voir.
- Voir quoi ?
- Vous. Tout ce que vous êtes."
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- Les déroutes empruntent rarement les chemins de la dignité, cita Griffont.
- Qui a dit ça ?
- Aucune idée. Mais je suis sûr que ça sonnerait mieux en latin.
- Tout sonne mieux en latin. A croire qu'ils ne s'exprimaient qu'avec des proverbes et des devises, sous Cicéron.
- Je pense que c'est la toge qui fait ça. Quand on a les mollets à l'air, on a tout intérêt à donner dans le sentencieux si on veut être pris au sérieux.
Ils échangèrent un regard complice et pouffèrent, à la fois amusés et affligés des bêtises qu'ils pouvaient dire ensemble.
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- Azincourt est un chat et les chats découchent, dit Isabel. Même ailés. (Elle se reprit). Surtout ailés d'ailleurs ...
- Vous avez raison.
- Toujours.
- Parfois, corrigea Griffont.
- Souvent, affirma la baronne.
Ils échangèrent un sourire.
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Laissant tout le monde en plan, il se précipita et disparut par la porte arrière de la voiture.
- Il fait souvent cela ? demande calmement le Petit Maître des Rêves après un temps.
- Oui, fit la baronne.
- Et qu'est-ce qui lui a pris ?
- Il a deviné ce que je viens de comprendre, sire.
- A savoir ?
- A savoir que nous nous sommes fait avoir.
- Et pourquoi ne faites-vous rien, vous ?
- Parce qu'il est déjà trop tard.
- Ah! ... En ce cas, que diriez-vous d'un thé ?
- Je n'en dirais que du bien, sire.
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- Tu n'en as rien à fiche, de ma colère ?
- Non. Pas plus que toi de mon amour.
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date : 11-05-2021
Pourquoi les mecs peuvent-ils faire ce qu'ils veulent tandis que les filles deviennent des salopes en un quart de seconde ?
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date : 11-05-2021
Notre amitié va devoir grandir. Rokia répète depuis quelques semaines comme pour exorciser : "On se verra moins, mais on se verra mieux." En attendant : elle dans sa Maths sup, moi à la Sorbonne, tous ces arrondissements entre nous ... Bien sûr, on sera toujours du même quartier ; bien sûr, on sera toujours de la même histoire partagée. Mais j'ai peur que quelque chose se perde, tout comme il m'est parfois arrivé de craindre de devenir un adulte raisonnable, sage et emmerdant. J'espère que notre amitié saura garder un peu de notre connerie.
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"Lorsque l'homme aura coupé le dernier arbre, pollué la dernière goutte d'eau, tué le dernier animal et pêché le dernier poisson, alors il se rendra compte que l'argent n'est pas comestible".
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C'était fatigant, cette faculté à tout sentir, tout ressentir. A se laisser pénétrer par une intonation de voix, une remarque ironique, un haussement de sourcils. Elle ne parvenait pas à mettre de barrières entre les gens et elle. Elle se disait, cette fois, je vais essayer, je vais sortir armée, casquée, cuirassée, je ne laisserai personne me donner un coup de canif. Mais ça ne marchait jamais ...
Un rien l'égratignait ou la rendait heureuse. Un rien l'abattait ou soulevait en elle une vague d'espoir et de chaleur. Je suis un immense buvard, se dit-elle pour s'encourager à sourire. A rire d'elle et de sentimentalité. Un immense buvard pleins de tâches.
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- Je suis tout proche.
- Du précipice ?
- De lui.
- Il y a une différence ?
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" Je ne sais pas ce que c'est, la féminité. Peut-être est-ce seulement une façon d'être un homme."
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C'est terrible d'avoir peur, la nuit. La nuit, tout devient menaçant. La nuit, tout devient définitif.
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- Les femmes sont si … pragmatiques ! Vous pensez aux détails, vous avancez mues par une logique implacable, vous or-ga-ni-sez votre vie ! Pourquoi est-ce que je ne rencontre que des filles qui savent exactement où elles veulent aller, ce qu'elles veulent faire, comment elles vont le faire … Faire, faire, faire ! Elles n'ont que ce mot à la bouche !
- Peut-être parce qu'on est dans la matière tout le temps. On pétrit, on lave, on repasse, on coud, on cuisine, on récure ou on se défend contre les mains baladeuses des hommes ! On ne rêve pas, on fait !
- Nous aussi, on fait …
- Pas pareil ! A quatorze ans, on a nos règles et on n'a pas le choix. On "fait" avec. A dix-huit ans, on comprend très vite qu'il va falloir se battre deux fois plus qu'un homme, faire deux fois plus de choses si on veut exister. Ensuite, on "fait" des bébés, on les porte pendant neuf mois, ils nous donnent le mal de mer, des coups de pied, ils nous déchirent en arrivant au monde, encore des détails pratiques ! Puis, il faut les laver, les nourrir, les habiller, les peser, leur beurrer les fessiers. On "fait" sans se poser de questions et on "fait" le reste en plus. Les heures de travail et la danse du ventre pour l'Homme, le soir. On est sans arrêt en train de "faire", rares sont les filles qui vivent dans les étoiles, le nez en l'air ! Vous, vous faites une seule chose : vous faites l'homme ! Le mode d'emploi est inscrit depuis des siècles dans vos gènes, vous le faites sans effort. Nous, il faut nous battre tout le temps … on finit par devenir pragmatique, comme tu dis !
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Pourquoi aime-t-on toujours les hommes qui vous repoussent, qui vous traitent mal, pourquoi n'est-on pas émue par un homme qui se traîne à nos pieds ?
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J'ai rien dit à ma mère. Ca me tue quand j'y pense. Je me demande si, elle aussi, elle a les entrailles qui explosent quand elle pense à Philippe. Je me demande si l'amour, c'est pareil à tous les âges ...
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L'émotion était un luxe qu'elle ne pouvait s'offrir. A chaque fois qu'elle était sur le point de succomber, elle bloquait tout. Clic, clac, elle fermait les écoutilles. Et ainsi, elle continuait à être de bon conseil pour elle-même. Elle restait sa meilleure amie. C'est le problème avec les émotions, elles vous torpillent. Vous éparpillent en mille morceaux. Vous tombez amoureuse et, tout à coup, vous vous trouvez trop grosse, trop maigre, trop petits seins, trop gros seins, trop basse sur pattes, trop haute sur pattes, trop grand nez, trop petite bouche, dents jaunes, cheveux gras, stupide, ricanante, collante, ignare, moulin à paroles, muette. Vous n'êtes plus votre meilleure amie.
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- Ma chère Hortense, lui avait dit Gary un jour qu'ils descendaient Oxford Street, tu devrais aller te faire psychanalyser, tu es un monstre.
- Parce que je dis ce que je pense ?
- Parce que tu oses penser ce que tu penses !
- Hors de question, je perdrais ma créativité. Je ne veux pas devenir normale, je veux être une névrosée géniale comme Mademoiselle Chanel ! Tu crois qu'elle s'est fait psychanalyser, elle !
- Je n'en sais rien, mais je vais me renseigner.
- J'ai des défauts, je les connais, je les comprends et je me pardonne. Un point c'est tout.
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Dès qu'on aime quelqu'un, faut-il obligatoirement souffrir ? Est-ce la rançon à payer ? Elle ne savait qu'aimer. Elle ne savait pas se faire aimer. C'était deux choses bien différentes.
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"- Je vois, fit-il. Vous avez peur d'elle. Plus que de moi, on dirait.
- Qui est-elle ? s'enquit-elle d'une voix blanche.
- C'est son secret. Pas le mien."
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Enfin, la tombe fût terminée. Il s'interrogea longtemps sur la nécessité de graver leurs noms sur le verre et décida au bout du compte de préserver discrétion et anonymat. Lui savait qui reposait là et pourquoi. C'était bien suffisant.
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- Comment peux-tu remettre ta vie entre mes mains ?
- J'ai plus confiance en toi qu'en n'importe qui, affirma-t-il avec force. Plus qu'en moi-même.
Elle balaya sa protestation d'un geste, puis se laissa aller contre lui. Il l'attira plus près, l'obligea à caler sa tête contre son cou afin de la protéger. Derrière la vitre du brougham, New York défilait en un ballet incessant de murs, fenêtres, portes, allées, ruelles sombres et rais de lumière, et le djinn se vit que s'il avait eu le loisir de choisir un moment à emporter avec lui dans le flacon, un moment à vitre pour l'éternité, c'est peut-être celui-là qu'il aurait retenu. Avec cette femme à son côté.
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