Commentaires de livres faits par Salyr
Extraits de livres par Salyr
Commentaires de livres appréciés par Salyr
Extraits de livres appréciés par Salyr
— Je tâcherai de m’en souvenir, je réplique en grimaçant.
— Je ne vois pas ce qu’elle irait faire dans sa piaule, de toute façon.
Surprise, je relève les yeux sur Donovan.
— Moi, je vois plutôt bien ! déclare Lewis que je n’ai pas entendu sortir des w.-c. T’es la coloc de Becca, non ?
— Si l’on veut…
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il me colle à son torse en guise de salut. J’espère qu’il s’est lavé les mains !
— Sortez-moi de là, j’articule d’une voix hachée en secouant les bras.
— On dirait Lois, ricane Lane.
— Quoi ? Je me présente en bonne et due forme ! il se justifie en me relâchant enfin. Lewis Conley, enchanté.
Je défroisse mon débardeur avant de créer un périmètre décent entre nous. J’ai horreur des effusions, surtout avec ce genre de type excentrique.
Regarde-la, tu l’as toute chamboulée, exagère Lane d’un air faussement réprobateur.
— Non, ça va ! je les rassure en souriant. Et puis, j’ai eu un chien qui s’appelait Lewis. Il était bruyant et un peu bizarre… mais très affectueux, je conclus en lui tapant sur l’épaule.
— Caresse-moi, poupée, il susurre en jouant des mécaniques.
— Je lui ai roulé dessus en faisant une marche arrière, j’assène d’une voix ferme. Je crois qu’il a souffert. »
Extrait de
Campus drivers - tome 2 Bookboyfriend
C. S. Quill
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Je suis impulsif, je pars en vrille sans prévenir, et je t’ai dans la peau comme jamais personne auparavant.
Tu agis comme si tu me détestais, et l’instant d’après, tu as besoin de moi. Je ne fais jamais ce qu’il faut comme il faut, et je ne te mérite pas... mais putain, je t’aime, Abby.
Je t’aime plus que je n’ai jamais aimé qui que ce soit ou quoi que ce soit. Quand tu es près de moi, je n’ai plusbesoin d’alcool, ni d’argent, ni de combats, ni de baise facile.
Je n’ai plus besoin que de toi. Je ne pense qu’à toi, je ne rêve que de toi. Je ne veux que toi.
J’avais prévu de feindre l’indifférence, mais ce fut un échec total, et mémorable. Comment le regarder de haut alors qu’il venait d’abattre toutes ses cartes ? Le jour où nous nous étions rencontrés, quelque chose avait changé en chacun de nous. Ce quelque chose, sans que l’on sache ce que c’était, nous avait rendus dépendants l’un de l’autre. Pour des raisons que j’ignorais, j’étais son exception, et j’avais beau lutter contre mes sentiments, il était la mienne.