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Samarcande, c'est la Perse d'Omar Khayyam, poète du vin, libre-penseur, astronome de génie, mais aussi celle de Hassan Sabbah, fondateur de l'ordre des Assassins, la secte la plus redoutable de l'Histoire. Samarcande, c'est l'Orient du XIXe siècle et du début du XXe, le voyage dans un univers où les rêves de liberté ont toujours su défier les fanatismes. Samarcande, c'est l'aventure d'un manuscrit qui, né au XIe siècle, égaré lors des invasions mongoles, est retrouvé des siècles plus tard.
Amin Maalouf, l'auteur de Léon l'Africain, nous conduit sur la route de la soie à travers les plus envoûtantes cités d'Asie et nous ravit par son extraordinaire talent de conteur. Samarcande a obtenu le Prix des Maisons de la Presse 1988.
J'ai relu ce roman dans le cadre d'une lecture commune dans un groupe. J'ai ressenti la même chose que la première fois. J'ai aimé encore plus (re)voyager avec Khayyam sous la merveilleuse plume de Maalouf.
Une belle histoire qui divise le livre en deux: Une magnifique biographie romancée, racontant la vie de Khayyam dans la première partie du livre et qui se passe au XIe siècle. [J'avoue que c'est ma préférée] On découvre le poète, ses amours et ses écrits, notamment son fameux manuscrit (perdu) ainsi que les complots politiques de l'époque.
La deuxième partie, se déroule huit siècle après. Elle ne m'a pas vraiment plu. Il y a moins de sensations même si la recherche du manuscrit sera une belle aventure: Benjamin (qui porte aussi le prénom d'Omar car ses parents étaient des passionnés des poèmes de Khayyam) , désemparé, nous narre l'histoire de ce précieux manuscrit perdu dans l'Atlantique suite au naufrage du Titanic.
Ce roman est l'histoire d'un pays, d'un homme et d'un manuscrit. Maalouf parle de l'ancien Iran et de ses bouleversements socio-politiques. Khayyam, savant érudit, fera parti de la cour. Il tombe amoureux d'une jeune poétesse qu'il cherchera en prenant la route d'Ispahan. Son périple est jonché de rencontres et d'intrigues. Cependant, Omar est un homme qui veut profiter des plaisirs de la vie, des femmes, de l'amour, ...
Si tu ne sais pas aimer,
à quoi cela sert-t-il
que le soleil se lève et se couche ?
Cet amoureux du verbe et des sciences est aussi un homme pacifiste qui déteste les conflits réfléchi et consulté par les tenants du pouvoir et ses amis. Il écrit. Il n'arrête pas d'écrire des poèmes même quand tout va mal en Perse.
Je passe les détails croustillants et je vous invite à lire ce qui s'est passé. Comment le manuscrit a été perdu? Dans quelles circonstances il s'est retrouvé au bord du Titanic ....
Bercée par le conteur-romancier Maalouf, je me suis régalée avec toutes ces informations historiques sur la Perse. Maalouf est connu pour sa plume poétique qui nous transporte d'une époque historique à une autre avec plaisir.
Ce roman est lui-même un voyage dans le temps. Une histoire magnifique.L'Histoire persane à découvrir.
Une révélation pour moi qui mêle la fiction à la réalité.
Pour commencer, la plume d'Amin Maalouf est exceptionnelle, poétique, douce, tellement agréable à lire... J'ai eu du mal à le quitter.
Ses connaissances sont tellement vastes et il réussit, majestueusement, à mêler l'Histoire de l'Orient, la romantiser un petit peu mais magnifiquement bien, et son côté féministe en inventant des personnages hauts en couleurs et, surtout, les recherches du Manuscrit de Samarcande. J'ai rarement lu un livre qui a réussit à marier tout ça avec autant d'harmonie.
Les Quatrains de Omar Khayyam cités sont exceptionnels, comme le poète qu'il était, et nous le rencontrons et le découvrons sous un angle totalement différent de ce que nous avons l'habitude.
Amin Maalouf a réussit à me faire voyager en Orient, en Amérique, en Europe et m'a fait vivre la vie persane que j'aurais adoré vivre. Il a nourri la passion que j'ai pour ce beau pays qu'est l'Iran et pour l'Orient en général...
Une magnifique épopée qui plonge les lecteurs dans la culture persane, tout en abordant des éléments divers des paysages politiques et culturels de l'époque.
Un véritable petit bijoux qui vous donnera envie de continuer à découvrir la perse, le tout dans une écriture légère qui vous entraîne.
Un coup de maître d'Amin Maalouf qui vous donnera envie de parcourir tous ses autres livres.
Oui, le terme est approprié ! C'est une véritable épopée orientale, pleine de poésie, auquel nous invite l'auteur de Samarcade au fil des pages. Un style d'écriture vif et envoutant, qui nous peint une scène des plus vivantes en quelques mots, comme un peintre en quelques coups de pinceaux.
Le livre est divisé en deux grandes parties : la première est une biographie romancée du poète persan Omar Khayyam, ayant vécu au XII siècle ; la seconde prend place au début du XX et nous entraine dans le quête du manuscrit du dît Omar dans un Iran en plein boulversement.
Je dois avouer que la première partie est de loin ma préférée. La seconde n'est pas mauvaise, loin de là.
Mais la vie d'Omar Khayyam tel que nous la conte Maalouf est si prenante avec ses allures de contes, la poésie qui s'en dégage, que la seconde paraît en comparaison presque terne.
Un livre à lire au moins une fois dans sa vie, assis dans un bon fauteuil, pour se laisser embarquer dans les délices de Samarcande.
Samarcande, c’est bien sûr, un roman sur la quête du Manuscrit d’Omar Khayyâm mais c’est aussi et avant l’Histoire de la Perse et de la religion musulmane au Xième siècle puis au début du XXème siècle. En cela, l’ouvrage d’Amin Maalouf est d’une culture profonde et d’un pouvoir pédagogique immense. Tous les personnages ont réellement existé excepté le narrateur, Benjamin Omar Lesage. Mais Samarcande c’est aussi un ouvrage, philosophique en quelque sorte, sur le sens de la vie : quête du pouvoir et de la puissance ou recherche des plaisirs et du savoir ? Les deux « héros », Hassan Sabbah et Omar Khayyâm, illustrent la thèse et l’antithèse à cette question.
Voici un roman historique à la construction étonnante, dont le fil conducteur est un manuscrit de poèmes, mais aussi la Perse aux prises avec le fanatisme religieux.
Le récit démarre avec la biographie romancée d’Omar Khayyam, poète et homme de science de la fin du XIe et début du XIIe en Perse. Personnage historique présenté de façon exagérément positif par l’auteur, il fut célèbre dès son époque et proche du pouvoir. Il refuse cependant les postes les plus prestigieux, dont celui de vizir, et témoigne de la cour et de ses intrigues auxquelles il ne peut échapper. C’est l’occasion, pour le lecteur, de découvrir un monde peu connu de l’Occident, qui envoûte et fascine par ses odeurs, ses jardins, ses palais et ses quartiers animés.
Omar aime la rationalité et surtout la vie qu’il célèbre dans des robbayats (des quatrains) qui font sa réputation. Il aime le vin, il aime les plaisirs, et il est attaqué par les rigoristes religieux qui l’accusent de ne pas être un bon croyant. L’époque est riche en divers courants religieux, dont certains fanatiques, et très rapidement Omar rencontre Hassan Sabbah, le futur fondateur de la secte des Assassins de sinistre mémoire. Quelques années après, quand Hassan a réalisé un travail de prédication intelligent, tout bascule. La Grande Histoire est une longue série de sang versé. Le rigorisme et le fanatisme religieux font froid dans le dos. On ressent bien la Chappe de plomb implacable sur la ville d’Alamout, et la terreur des autres contrées.
La seconde partie surprend au premier abord : nous sommes projetés dans la Perse de la fin du XIXe et début du XXe, et par les yeux d’un jeune Franco-américain à la recherche du manuscrit de robbayats écrit par la main d’Omar Khayyam, nous découvrons une Perse dirigée par un shah inconséquent, dépensier, qui pour remplir ses caisses livre son pays aux puissances étrangères. Là encore, le fanatisme religieux fait des ravages et appuiera la lutte de la Russie et de la Grande-Bretagne contre une Constitution qui promettait aux Persans un embryon de démocratie et de liberté.
C’est une page d’histoire plus récente que nous découvrons, et on ne peut s’empêcher de penser que l’Iran actuel paye l’écrasement au début du siècle dernier de ce vent d’espoir.
Il manque peut-être au texte un peu de chaleur ou de fureur pour ressentir les événements avec les personnages, mais cela reste très instructif. J’ai trouvé le style riche mais saccadé, proche de l’oral. Il ne m’a pas permis de totalement m’immerger dans le récit et de m’attacher aux personnages, même si ce fut une lecture intéressante.
J'ai rarement eu autant de mal pour lire un livre, que ce soit Amin Maalouf ou un autre auteur. J'ai eu l'impression de lire sans comprendre et je ne peux pas dire "tout au long" de ma lecture car je n'ai pas eu le courage de lire les 30 dernières pages.
Peut être que je ferai une nouvelle tentative plus tard ...
J'ai lu ce roman sans accrocher plus que ça. Maalouf semble peiner à trouver des ressorts narratifs pour emballer son intéressante recherche documentaire (reconstitution historique celle de la secte des "assassins"). Le romancier échoue derrière le travail de l'historien.
Résumé
Samarcande, c'est la Perse d'Omar Khayyam, poète du vin, libre-penseur, astronome de génie, mais aussi celle de Hassan Sabbah, fondateur de l'ordre des Assassins, la secte la plus redoutable de l'Histoire. Samarcande, c'est l'Orient du XIXe siècle et du début du XXe, le voyage dans un univers où les rêves de liberté ont toujours su défier les fanatismes. Samarcande, c'est l'aventure d'un manuscrit qui, né au XIe siècle, égaré lors des invasions mongoles, est retrouvé des siècles plus tard.
Amin Maalouf, l'auteur de Léon l'Africain, nous conduit sur la route de la soie à travers les plus envoûtantes cités d'Asie et nous ravit par son extraordinaire talent de conteur. Samarcande a obtenu le Prix des Maisons de la Presse 1988.
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