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Commentaires de livres faits par Samaritain

Extraits de livres par Samaritain

Commentaires de livres appréciés par Samaritain

Extraits de livres appréciés par Samaritain

Avec un « ah » de stupéfaction qui marquait son étonnement profond, M. Casimir s’était levé, au moment même où la porte du vestibule s’ouvrait :
— Ah, par exemple, continuait le concierge, voilà précisément Adèle, voilà la bonne.
Juve n’était pas moins surpris que M. Casimir.
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Cependant, une vive animation régnait au sommet des Buttes-Chaumont, à proximité de Belleville, dans cette partie de Paris diamétralement opposée par la situation, l’aspect, le caractère des habitants, au quartier de l’Étoile. Ce même matin, un mouvement populaire agitait la rue de la Mouzaïa.
Il était huit heures et demie, les enfants du quartier se rendaient en courant à l’école voisine, les ménagères faisaient le marché.
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Juve venait de vivre d’extraordinaires heures de détresse morale. Sur le point de mener à bien la plus merveilleuse ruse policière qu’il eût jamais inventée, après avoir cru que l’arrestation de Fantômas ne pouvait manquer, le terrible bandit lui avait filé entre les doigts, et le policier ne s’en faisait pas une raison.
Juve avait repris son service à la préfecture de police. Il y faisait sa besogne, tranquillement, mécaniquement.
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— Qui demande-t-on ? Ah c’est vous, mademoiselle. Donnez-vous donc la peine d’entrer.
— Mais non, madame, je ne veux pas être indiscrète.
— Vous ne le serez pas, ma petite, et puis c’est une façon de faire connaissance, entrez. Vous accepterez bien de prendre le café avec nous ?
La personne ainsi interpellée demeura un instant hésitante sur le pas de la porte d’un élégant petit pavillon tout entouré de lierre situé à l’entrée de la villa Saïd, joli square rempli de maisons élégantes, entouré de jardins à l’anglaise, à l’extrémité de l’avenue du Bois de Boulogne, entre celle-ci et le chemin de fer de ceinture.
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date : 03-02-2018
Presque à la mi-août, place du marché aux chevaux, ânes et mules, l’épidémie dansante ne présente aucun signe de reflux et même elle empire. Resté depuis plus d’une semaine derrière la chaîne empêchant l’accès à la rave party, le jeune chevelu et barbu Melchior Troffea aux allures de haridelle en son léger gilet rouge, comportant deux rangées de dix boutons d’acier, racle à genoux avec sa manche droite la paroi intérieure d’une marmite vidée et abandonnée contre un mur.
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date : 03-02-2018
— Donnez-leur à boire !... de cette eau venue des canaux même si on ne peut pas dire qu’elle soit délicieuse et puis aussi de la bière puisque le brasseur Ammeister offre ses derniers fûts personnels ! Glissez-leur l’une ou l’autre dans le gosier avec les gourdes qui sont là ! Allez, au pas, une, deux... on les réhydrate et les nourrit aussi ! Vous, les cuisiniers, soulevez le couvercle de vos marmites de haricots et filez les gaver ! Ça coûtera ce que ça coûtera à la municipalité mais il ne faut pas qu’ils crèvent de faim ! Ordonnance médicale !
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date : 03-02-2018
— Entre ! Entre et danse, Jérôme, puisqu’on n’a plus rien !
Attale Gebviller, en robe douteuse remontée aux hanches, chevauche son mari tonnelier. Elle l’a étendu à plat dos sur deux rangées de tonneaux
verticaux recouverts d’une paillasse crevée d’où s’échappent à chaque coup de reins des nuages de poussière de froment datant de tant d’années, en tout cas bien avant qu’une petite, chez eux, soit née et qu’ils l’aient ensuite consommée.
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date : 03-02-2018
Toujours dans cette même voie aux écuries dépourvues de hennissements et aux forges silencieuses, un drapier sans clientèle, voisin de l’atelier de gravure, sort prendre l’air sur le seuil de son magasin. Il gratte sa calvitie couverte de gale d’un air très étonné en ouvrant grand la bouche comme un gobeur de mouches :
— Ben, qu’est-ce qui lui prend à la Troffea de danser ainsi ?
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date : 03-02-2018
Rue du Jeu-des-Enfants, une femme sort d’une maison avec le sien dans les bras. Elle est blonde, constellée de taches de rousseur sur le nez et les pommettes sans doute dues au soleil encore brûlant aujourd’hui à l’approche de midi. Retenu au creux d’un coude gauche, le nourrisson ébloui, de trois mois, grimace. La jeune mère très mince, contre le front du petit, étend les doigts de sa main droite en visière pour le protéger de la lumière.
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Tom et Léa pénètrent dans le hall. Le soleil coule à flots par les hautes fenêtres. Le sol est en marbre, les murs sont lambrissés de bois. Un large escalier mène au premier étage.
— Au travail, galopins ! leur lance la gouvernante. Allez, occupez-vous des pièces habituelles !
Mme Tibbs les laisse là et descend par un autre escalier. Un bruit de casseroles remuées indique que la cuisine se trouve au sous-sol.
Ailleurs, tout est silencieux, comme si la maison attendait le retour de la mère et des enfants.
— Je me demande où Charles Dickens écrit, chuchote Léa.
— Dans une pièce tranquille, sûrement.
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— Tu as entendu ? Elle l’a appelé Charly Dickens ! fait remarquer Tom à sa sœur.
— Oui, il doit avoir cinq ou six ans.
— On va encore s’occuper d’un gamin ?
— On dirait.
Cette idée ne plaît pas du tout au garçon :
— S’il est aussi casse-pieds que Mozart au même âge…
Soudain, il fronce les sourcils :
— C’est impossible. D’après le livre, Charles Dickens est né en 1812. La reine Victoria est montée sur le trône en…
Il vérifie dans le volume :
— En 1837 !
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Tom et Léa sont vêtus d’élégantes vestes en velours vert foncé et de pantalons noirs. Ils sont coiffés de larges casquettes de laine et chaussés de bottes luisantes. Le sac à dos de Tom est devenu une besace en velours fermée par une boucle argentée.
— Ce qu’on est chics ! s’exclame le garçon.
— Au moins, je ne me prendrai pas les pieds dans mes jupons en courant, se réjouit Léa.
— Et nos bottes ne sont pas trouées comme celles qu’on portait en Irlande !
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date : 23-01-2018
Outre les progrès de la médecine, l’autre raison pour laquelle l’humanité a gonflé de façon si soudaine au cours du siècle dernier, c’est l’augmentation sans précédent de l’approvisionnement alimentaire. Être en moyen de nourrir tous les individus qui peuplent la Terre – voilà, semble-t-il, une évidence sur le plan moral. Cette question-là est pourtant des plus délicates ; elle soulève un paradoxe qui froisse notre intuition au moins autant que les résultats surprenants de la croissance exponentielle.
La croissance démographique a joué un rôle crucial dans le succès de la révolution industrielle européenne, très gourmande en main-d’œuvre. Mais elle eut également pour corollaire l’obligation pour l’Europe de produire plus de nourriture que jamais pour faire vivre tous ses travailleurs.
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date : 23-01-2018
Le monde devrait avoir compris la leçon, n’est-ce pas ? Et pourtant… en dépit du carnage économique provoqué par cette crise, qui a laissé la Floride avec dans ses registres 300 000 logements vides, les autorités ont donné leur feu vert, depuis lors, à des plans locaux d’urbanisme qui devraient voir sortir de terre 550 000 nouveaux logements sur l’ensemble de l’État. Cet irréalisme absolu traduit une relation de dépendance pathologique, pourrait dire un psychologue, entre notre population et notre économie.
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date : 23-01-2018
les grues et de nombreuses autres espèces d’oiseaux migrateurs. Les agriculteurs menacèrent aussi d’empoisonner les grues qui dévastaient leurs champs de cacahuètes, ainsi que les 70 000 pélicans et les 100 000 cigognes blanches qui pillaient les exploitations piscicoles de carpes et de tilapias, jusqu’à ce que Leshem et ses collègues trouvent des subventions pour disséminer des milliers de tonnes de maïs et de pois chiches sur le marécage pour nourrir les grues, et pour créer dans le lac de la Houla un élevage de gambusie, un poisson d’eau douce, dédié aux cigognes et aux pélicans.
C’est devenu une attraction touristique hivernale : sur fond de plateau du Golan enneigé, 30 000 grues s’envolent en poussant leur cri perçant, chassées des champs de cacahuètes de la Houla par un tracteur pulvérisant des grains de maïs sur le sol spongieux du marécage.
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date : 23-01-2018
« D’après la Guematria – la numérologie kabbaliste –, explique-t-il, les mots “Dieu” et “nature” sont équivalents. Il n’est pas besoin de miracle pour constater que Dieu existe. Je Le vois dans toutes les composantes de la nature : les arbres, les vallées, le ciel, le soleil. » Mystère que seul un kabbaliste est peut-être à même de résoudre, cependant, il souligne aussi que la survie du peuple juif a de tout temps reposé sur des miracles impliquant que Dieu maîtrise ou puisse abroger les lois de la nature. « L’exemple classique, c’est l’ouverture de la mer Rouge qui permit l’exode d’Égypte et la libération du peuple d’Israël. »
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date : 23-01-2018
Le mont du Temple, sans doute le lieu le plus saint du judaïsme, est aussi à cette heure l’un des plus paisibles de cette ville séculaire. Seuls quelques théologiens en pardessus en traversent l’esplanade plantée de cyprès ; livres en main, ils marchent au pas de course dans l’air glacial.
Jadis, le Temple de Salomon se dressait ici : il abritait l’Arche d’alliance avec, en son sein, les tables de pierre sur lesquelles Moïse aurait gravé les Dix Commandements. Au VIe siècle avant notre ère, les envahisseurs babyloniens le détruisirent et déportèrent le peuple juif. Un demi-siècle plus tard, Cyrus le Grand, empereur de Perse, autorisa son retour et la reconstruction du Temple.
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date : 23-01-2018
Maintenant qu’il était propriétaire, Lame Bull souriait tout le temps. Il souriait en fauchant les champs de luzerne et de pâturin. Il souriait en arrivant déjeuner, et le soir, quand le petit tracteur pénétrait dans la cour en pétaradant pour s’arrêter le long du grenier, on voyait briller ses dents blanches à travers l’espèce de voilette anti-moustiques accrochée au bord de son chapeau. Il se laissa pousser les pattes pour que les poils raides et drus viennent encadrer sa figure ronde. Teresa se plaignait de ses mauvaises manières, de ses traits grossiers. Elle n’aimait pas la façon dont il asticotait la vieille, et elle n’aimait pas non plus son habitude de ne pas vider la poussière et la menue paille accumulées dans les revers de ses pantalons. Son sourire représentait un défi silencieux, et les nuits d’été vibraient dans la chambre à côté de la cuisine. Teresa devait aimer sa musique.
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date : 23-01-2018
Lame Bull avait épousé cent quatre-vingts hectares de plantes fourragères, rien que des champs irrigués, nivelés, l’une des meilleures terres de la vallée, de même que mille hectares de pâturages en affermage. Il avait épousé aussi la marque T-Y apposée sur le flanc gauche de chacun des bœufs du ranch. Et, naturellement, il avait épousé Teresa, ma mère. Il avait quarante-sept ans, huit de moins qu’elle, et il réussissait, devenu d’un coup éleveur de bétail florissant.
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date : 23-01-2018
« Alors, on pêche, je vois. Ça mord ? »
Lame Bull dévala la berge au milieu d’un tourbillon de poussière. Il s’arrêta juste au bord de l’eau.
« J’ai perdu mon leurre, dis-je.
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date : 23-01-2018
Je descendis la berge de la rivière qui coulait derrière la maison. Après une demi-heure de recherches dans le grenier étouffant, j’avais fini par trouver une cuillère rouge et blanche dans la boîte à outils de mon père. L’hameçon triple était criblé de rouille, de même que la peinture de la cuillère. Je lançai juste au bord de la rive opposée. Il n’y avait presque pas de courant. Tandis que je ramenais le leurre, trois colverts passèrent devant moi dans un bruissement d’ailes avant de filer en amont.
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date : 23-01-2018
Je pissai dans les hautes herbes du fossé et je regardai la jument alezane accompagnée de son poulain s’avancer dans la prairie roussie vers l’ombre de la cabane en rondins. On l’appelait la cabane des Earthboy, bien que personne de ce nom (ni d’aucun autre) ne l’habitât plus depuis vingt ans. Le toit s’était affaissé, la terre entre les rondins détachée en mottes, et il ne restait plus qu’un squelette nu et gris, demeure des souris et des insectes. Des chardons, raides comme des ossements, s’agitaient sous le vent chaud et venaient balayer le mur ouest. Sur la colline, juste derrière, un rectangle de barbelés délimitait les tombes de tous les Earthboy à l’exception de celle d’une fille qui avait épousé un homme de Lodgepole. Nul ne savait ce qu’elle était devenue, et les Earthboy n’existaient plus.
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Femme Frappe Deux Fois tendit à son fils un bol de bouillon, puis elle se rassit et continua de lui énumérer ses instructions. Elle avait dressé la liste des gens qu’il devrait aller saluer dans les villages où il se rendrait. Il délivrerait un message à plusieurs d’entre eux et après les avoir écoutés avec politesse et leur avoir parlé avec respect, il rapporterait leurs réponses. En outre, il faudrait qu’il récolte tous les échos possibles.
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Le lendemain matin, il faisait froid et une pluie fine tambourinait sur les peaux des tipis. Sous les nuages noirs, les prairies semblaient aussi vertes que les eaux de la Rivière des Deux Médecines, et les premières fleurs s’ouvraient déjà. Chien de l’Homme Blanc menait le cheval gris vers le campement sans même remarquer que ses mocassins étaient trempés, qu’une lourde fumée planait au-dessus des tentes ou qu’un homme venant du village s’avançait vers lui. C’est seulement quand son cheval dressa l’encolure en tirant sur sa longe qu’il leva la tête et reconnut son père. Il s’arrêta.
Chevauche-à-la-porte alla droit au but : « Je désire te parler au sujet de la nuit dernière. Quelque chose dans le récit de Rein Jaune t’a troublé et à présent me trouble. J’attends tes explications. »
L’adolescent lui raconta donc son rêve sur les filles dans le tipi de mort et comment Rein Jaune avait souffert à cause de ce rêve.
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Chevauche-à-la-porte lui lança un regard sévère. Un murmure de désapprobation parcourut l’assistance. Un jeune homme ne devait pas interrompre ses aînés, et surtout pas lors d’un récit de cette importance.
L’adolescent se sentit rougir de honte et, en outre, un poids oppressait sa poitrine, qui le rendait tremblant de faiblesse et incapable de parler même s’il l’avait voulu.
Rein Jaune leva les yeux au-dessus du feu. « Sans cœur que vous êtes ! Ne grondez pas ce jeune homme ! Il s’est comporté avec bravoure et avec sagesse contre les Corbeaux. Et aujourd’hui, j’ai entendu dire par Femme Bouclier Puissant qu’il avait chassé pour ma famille pendant mon absence. C’est un bon jeune homme et je le remercie devant vous, membres des sociétés d’honneur. »
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D’une certaine façon, pour ce qui est du Moyen Age, les deux divorces se rejoignent dans la même défiance vis-à-vis de la pratique. Ils se rejoignent aussi dans une même défiance vis-à-vis des praticiens, mécaniciens, manuels, inventeurs, industriels avant la lettre… L’enjeu était de taille, puisque l’attirance exercée par les arts mécaniques sur un public toujours plus large provenait, justement, des possibilités de réussite matérielle, d’expansion, d’enrichissement qu’ils autorisaient dans une civilisation en pleine mutation, ce mouvement même que nous décrit La Révolution industrielle au Moyen Age.
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