Commentaires de livres faits par SamBouquine
Extraits de livres par SamBouquine
Commentaires de livres appréciés par SamBouquine
Extraits de livres appréciés par SamBouquine
J'ai beaucoup aimé la manière dont leur périple à New York est mené. Je m'attendais, pour être honnête, à trouver parmi leurs amis des gamins des rues, ou des gamins tout courts... Aussi j'ai été assez surprise de voir que leurs amis sont... tous adultes, et tous différents. C'est ce qui fait le charme de ce livre, je trouve. Le style n'est pas trop lourds, malgré certaines thématiques très difficiles.
Malgré les défauts cités, ça a été une lecture agréable, qui c'est faite relativement vite. Entre autre, j'aurais découvert la plume de Valeria Montaldi (belle plume par ailleurs), et lu pour la première fois un auteur italien!
Une enquête très prenante, bien menée et bien ficelée. Des personnages attachants, un coupable qui cache bien son jeu et un mobile qui n'était pas celui que j'attendais.
En bref, un roman policier très bon, avec un Holmes et un Watson tels que je me les imaginais, et tels que la série me les avait fait espérer.
Bravo, pour moi c'est un sans faute!
Si Léa à mûri, il lui arrive parfois de redevenir la petite peste arrogante que je détestait au début du tome 1. On ne voit jamais clair dans le jeu de François, mais c'est encore pire pour Raphaël.
Deux poèmes se disputent ma préférence: "Roy the Toxic Boy", et "James".
On suit Sonia et Lou dans leur première année universitaire, en colocation loin de chez leurs parents, et tout n'est pas toujours rose pour elles!
Étant moi-même étudiante, je me suis beaucoup retrouvée dans ce roman. Je me retrouvais déjà dans le personnage de Lou, mais dans le tome 3, c'est l'apothéose.
J'ai particulièrement aimé le parallèle entre le personnage de Sonia et l'auteur dans le chapitre du bureau.
J'ai été triste de quitter ces personnages que j'ai appris à aimer et à connaître. En revanche, je suis frustrée de ne pas avoir vu plus Mathieu. C'est un personnage que j'aime énormément dans la saga.
Mis à part ça, j'ai beaucoup apprécier ma lecture, même si ce n'est pas le roman que j'ai préféré chez Gemmell. Ça n'enlève rien à l'attachement que j'ai eu pour certains personnages et l'agacement ressenti pour d'autres (attention, je parle bien d'un agacement vis à vis du personnage en lui-même, et non vis à vis de la manière dont il est écrit/traité).
Contrairement à mes craintes en approchant de la fin, la chute finale ne m'a absolument pas déçue. J'ai trouvé que ça faisait légèrement doublon avec la fin du T.1, mais heureusement, la chute est bien menée, ce qui relègue cette mini-déception au second plan. Rien à redire sur l'épilogue non plus, elle est appréciable, même si le roman aurait pu se terminer à la fin du chapitre 18. [spoiler]Les retrouvailles entre Cormac et Aduine étaient une fin parfaite, d'autant que j'avais déjà fait mes adieux à Culain et Goroien. On pouvait se passer de leurs retrouvailles dans le Vide...
Des trois, je pense avoir largement préféré Ivan Illitch. Il est le personnage qui m'a le plus toucher, dont l'histoire m'a le plus émue. Cette longue agonie déclenchée par une broutille (
La fin est trop rapide. On ne sait pas ce qui arrive aux différents personnages qu'on a pu côtoyer, ni comment s'organise la vie après le dénouement final.
[spoiler]Les Trublions en parlent, Yaki (évidemment entourée d'un pseudo-mystère...) est indispensable pour ce bébé... Le bébé serait la preuve que les Humains ne sont pas supérieurs aux Valides. Résultat: Nathan, Zaha et Yaki arrivent chez les Trublions avec leurs jumeaux; Zaha annonce que "cette monstruausité" (un Valide avec un boîtier d'Humain) ne sera jamais sont enfant... Et c'est tout! On ne saura jamais ce qui leur arrive, comment seront élevés les jumeaux, ni même si le bébé avait vraiment de l'importance pour l'avenir, puisqu'on ne sait PAS comment la vie s'organise après la victoire des Trublions.[/spoiler]
Le bébé est un élément de décor qui fait monter la pression autour de lui pour finalement disparaître sans raison ni justification! Dans ce cas, autant supprimer cet élément du scénario!
Le mode de vie et la philosophie des Forestiers par rapport à celle des Trublions n'est pas expliquée, ni développée, et c'est dommage. Je range dans la même case la religion de cet univers, dont on ne sait absolument rien. Qu'est-ce que ça coûtait de l'expliquer?
Il n'y a, à mon goût, pas assez d'attachement pour les personnages. [spoiler]Lorsque Nefta est torturés, qu'on la croie morte puis qu'ont apprends qu'elle est vivante, je n'ai rien ressenti sinon de la lassitude, alors que je pensais m'être mise à apprecier son personnage.[/spoiler]
Quand au chapitre final, il est de trop. [spoiler]L'auteur a voulu ressuscité Paul. C'est possible, étant donné que le sujet de la résurrection est abordé plusieurs fois. Mais alors que la dernière phrase est "Anzie avait trouvé amusant de joindre l'utile à l'agréable", il n'y a aucune description du nouveau corps de Paul. Le livre finit donc sur une nouvelle question sans réponse. C'est louable de vouloir laisser un peu de mystère, mais pas quand il y a autant de questions sans réponses et des éléments dits importants dont on ne reparle plus. C'était une lecture très décevante alors que le livre était bien parti. Je pensais recommander ce livre aux amateurs de science-fiction, mais là... non, je ne recommande pas ce livre. Vous risqueriez d'être déçus comme moi je l'ai été.
Et l'épilogue à la table ronde est géniale aussi.
Je recommande ce livre à tous les passionnés de Moyen-âge et de contes et légendes!
Un excellent tome, et je ne doute pas que le troisième sera à la hauteur des deux premiers!
Par contre, j'ai absolument haï cette petite peste de Shaniah! Ouh, je lui aurais bien coller une paire de baffes! La bulle finale de Thorghal est pour moi la plus belle case de la BD. [spoiler]"Tu devras vivre pour enterrer tous ces morts. Ils t'appartiennent." C'est lui qui lui aura mis la claque, finalement.
Même si Chris McCandless m'est apparu comme arrogant et égocentrique dans certains chapitres (dites moi que je ne suis pas la seule?), c'est une extraordinaire aventure qu'il a eu le courage de vivre, sans renoncer. Bref, j'admire son dévouement à son rêve d'aventure, indépendamment de ce que je pense de son égoïsme vis à vis de sa famille.